Dans le cadre de la mise en oeuvre des décisions prises lors de la conférence nationale sur l'évaluation de la mise en oeuvre de l'école Dans le cadre de la mise en oeuvre des décisions prises lors de la conférence nationale sur l'évaluation de la mise en oeuvre de l'école En juillet dernier, qui a vu la participation de nombreux experts, de professeurs universitaires, de syndicalistes et de représentants de la société civile, qui s'est soldée par plusieurs recommandations visant à améliorer la réforme et à assurer une meilleure qualité de l'enseignement, la ministre a insisté sur la "nécessité de préserver la dynamique amorcée à l'occasion de ladite conférence". C'est en s'engageant résolument dans la voie des réformes clairement identifiées qu'il sera possible de conforter l'importante mobilisation qui s'est manifestée tout au long du processus. Pour ce faire, elle a mis l'accent, jeudi dernier à Alger, sur "l'adoption d'un nouveau système d'évaluation des élèves basé sur la définition exacte des lacunes dans chaque matière en vue de les pallier". Nouria Benghebrit a indiqué lors d'une visite à certains établissements éducatifs à l'occasion de la remise des bulletins de notes du premier trimestre aux élèves, que "le système d'évaluation des élèves sera révisé, en passant d'une évaluation globale (notes et observations) à celle de la définition exacte des lacunes dans chaque matière en vue de faciliter leur traitement et leur assurer un soutien scolaire". "L'évaluation à travers l'observation générale de l'élève dans une matière précise n'a pas donné de résultats, voila pourquoi il sera procédé à la définition exacte des lacunes relevées chez l'élève dans chaque matière en vue d'y remédier", a-t-elle précisé. Le ministère de l'Education souhaite mettre en place une école à la hauteur de ses ambitions. Une école, selon Nouria Benghebrit, qui "permettra aux élèves de parfaire leurs capacités". Un tel projet "est possible. Il suffit d'y croire et d'oeuvrer tous ensemble", a-t-elle affirmé dernièrement devant la commission parlementaire de l'Education. Pour atteindre cet objectif, la ministre de l'Education ne ménage pas ses efforts, avec le rétablissement des "bonnes" relations avec ses partenaires sociaux. D'ailleurs, à ce titre, et selon ses propos, l'inspecteur de l'Education est "le principal acteur de cette opération, car il supervise l'accompagnement de l'enseignant", appelant l'inspecteur à prendre plusieurs facteurs en compte lors du processus de titularisation de l'enseignant, dont la compétence et la pédagogie. Le directeur de l'établissement éducatif assume, lui aussi, un rôle important, en motivant le corps enseignant à fournir de meilleurs résultats à la fin de l'année, grâce au suivi et à la discipline. Par ailleurs, elle a insisté sur "l'importance de l'entraide entre les élèves, à travers l'organisation de groupes pour la révision des leçons et la résolution des exercices, supervisés par des élèves ayant obtenu de bons ou d'excellents résultats durant le premier trimestre". Les écoles seront ouvertes durant la première semaine des vacances d'hiver, en vue de dispenser des cours de soutien aux élèves des classes d'examen. La ministre a appelé les établissements éducatifs à "la nécessité d'encourager l'élève à lire, en vue d'améliorer son niveau scolaire". À une question sur les méthodes à suivre pour éviter à l'élève de redoubler, le ministère a avancé "l'organisation d'examens de rattrapage à la fin de l'année scolaire. Les élèves, qui sont notés sur 10 et ayant obtenu une moyenne générale entre 4 et 4,99, sont habilités à passer ces examens de rattrapage à la fin de l'année, ainsi que ceux notés sur 20 et ayant obtenu une moyenne entre 9 et 9,99, qu'il s'agisse des cycles primaire, moyen ou secondaire, en vue de donner une seconde chance à l'élève, a-t-elle expliqué. Cette mesure ne concerne pas les classes d'examen, a-t-elle précisé. En juillet dernier, qui a vu la participation de nombreux experts, de professeurs universitaires, de syndicalistes et de représentants de la société civile, qui s'est soldée par plusieurs recommandations visant à améliorer la réforme et à assurer une meilleure qualité de l'enseignement, la ministre a insisté sur la "nécessité de préserver la dynamique amorcée à l'occasion de ladite conférence". C'est en s'engageant résolument dans la voie des réformes clairement identifiées qu'il sera possible de conforter l'importante mobilisation qui s'est manifestée tout au long du processus. Pour ce faire, elle a mis l'accent, jeudi dernier à Alger, sur "l'adoption d'un nouveau système d'évaluation des élèves basé sur la définition exacte des lacunes dans chaque matière en vue de les pallier". Nouria Benghebrit a indiqué lors d'une visite à certains établissements éducatifs à l'occasion de la remise des bulletins de notes du premier trimestre aux élèves, que "le système d'évaluation des élèves sera révisé, en passant d'une évaluation globale (notes et observations) à celle de la définition exacte des lacunes dans chaque matière en vue de faciliter leur traitement et leur assurer un soutien scolaire". "L'évaluation à travers l'observation générale de l'élève dans une matière précise n'a pas donné de résultats, voila pourquoi il sera procédé à la définition exacte des lacunes relevées chez l'élève dans chaque matière en vue d'y remédier", a-t-elle précisé. Le ministère de l'Education souhaite mettre en place une école à la hauteur de ses ambitions. Une école, selon Nouria Benghebrit, qui "permettra aux élèves de parfaire leurs capacités". Un tel projet "est possible. Il suffit d'y croire et d'oeuvrer tous ensemble", a-t-elle affirmé dernièrement devant la commission parlementaire de l'Education. Pour atteindre cet objectif, la ministre de l'Education ne ménage pas ses efforts, avec le rétablissement des "bonnes" relations avec ses partenaires sociaux. D'ailleurs, à ce titre, et selon ses propos, l'inspecteur de l'Education est "le principal acteur de cette opération, car il supervise l'accompagnement de l'enseignant", appelant l'inspecteur à prendre plusieurs facteurs en compte lors du processus de titularisation de l'enseignant, dont la compétence et la pédagogie. Le directeur de l'établissement éducatif assume, lui aussi, un rôle important, en motivant le corps enseignant à fournir de meilleurs résultats à la fin de l'année, grâce au suivi et à la discipline. Par ailleurs, elle a insisté sur "l'importance de l'entraide entre les élèves, à travers l'organisation de groupes pour la révision des leçons et la résolution des exercices, supervisés par des élèves ayant obtenu de bons ou d'excellents résultats durant le premier trimestre". Les écoles seront ouvertes durant la première semaine des vacances d'hiver, en vue de dispenser des cours de soutien aux élèves des classes d'examen. La ministre a appelé les établissements éducatifs à "la nécessité d'encourager l'élève à lire, en vue d'améliorer son niveau scolaire". À une question sur les méthodes à suivre pour éviter à l'élève de redoubler, le ministère a avancé "l'organisation d'examens de rattrapage à la fin de l'année scolaire. Les élèves, qui sont notés sur 10 et ayant obtenu une moyenne générale entre 4 et 4,99, sont habilités à passer ces examens de rattrapage à la fin de l'année, ainsi que ceux notés sur 20 et ayant obtenu une moyenne entre 9 et 9,99, qu'il s'agisse des cycles primaire, moyen ou secondaire, en vue de donner une seconde chance à l'élève, a-t-elle expliqué. Cette mesure ne concerne pas les classes d'examen, a-t-elle précisé.