Au moment où la phobie de la loi de finances 2016, fait des siennes au sein de la société, alors que les hautes autorités du pays, à leur tête, Abdelmalek Sellal, tentent tant bien que mal d'adoucir le climat, la direction générale de l'Aadl somme ses locataires-acquéreurs avec les nouvelles conditions de versement de l'apport personnel, qui est de 25 % du montant du logement dans le cadre de la location-vente. Au moment où la phobie de la loi de finances 2016, fait des siennes au sein de la société, alors que les hautes autorités du pays, à leur tête, Abdelmalek Sellal, tentent tant bien que mal d'adoucir le climat, la direction générale de l'Aadl somme ses locataires-acquéreurs avec les nouvelles conditions de versement de l'apport personnel, qui est de 25 % du montant du logement dans le cadre de la location-vente. Selon un décret exécutif signé par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, les 25 % doivent être versés sur quatre étapes : 10 % après la validation de la demande formulée par l'acquéreur auprès du promoteur AADL, 5 % au moment du démarrage des travaux du site d'implantation du logement, 5 % au moment de l'affectation et les derniers 5 % au moment de la prise de possession du logement par le bénéficiaire. Pour Lotfi Ramdani, fondateur du site spécialisé dans l'immobilier Lkeria.com, cette répartition est "logique". La modification apportée touche l'article 7 du décret exécutif numéro 01- 105, publié en 2001, fixant "les conditions et modalités d'acquisition dans le cadre de la location-vente de logements réalisés sur fonds publics". L'article en question ne précisait pas l'échéance de cet apport ni sa répartition. Il stipulait seulement que le paiement devait se faire "dans les limites de la période convenue entre les parties au contrat". C'est-à-dire le futur acquéreur et le promoteur public. Quand bien même cet avis est conforme aux termes du contrat liant le client à l'AADL, les conditions de son application demeurent toutefois difficilement réalisables en ce moment. En effet, est-il aisé de nos jours, avec a cherté de la vie et les dépenses quotidiennes du simple employé, de trouver la totalité de la somme ? Il leur faut un temps suffisant pour "dégoter" l'argent nécessaire. Et comment ? Car, il ne s'agit pas d'une somme que l'on peut amasser aussi facilement surtout pour de simples fonctionnaires. Les habitants de ces sites viennent à peine de commencer à rembourser leurs dettes contranctées, qui auprès de membres de la famille, qui de leurs entreprises, que l'AADL les pousse à s'endetter davantage pour payer les tranches restantes ! Selon un décret exécutif signé par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, les 25 % doivent être versés sur quatre étapes : 10 % après la validation de la demande formulée par l'acquéreur auprès du promoteur AADL, 5 % au moment du démarrage des travaux du site d'implantation du logement, 5 % au moment de l'affectation et les derniers 5 % au moment de la prise de possession du logement par le bénéficiaire. Pour Lotfi Ramdani, fondateur du site spécialisé dans l'immobilier Lkeria.com, cette répartition est "logique". La modification apportée touche l'article 7 du décret exécutif numéro 01- 105, publié en 2001, fixant "les conditions et modalités d'acquisition dans le cadre de la location-vente de logements réalisés sur fonds publics". L'article en question ne précisait pas l'échéance de cet apport ni sa répartition. Il stipulait seulement que le paiement devait se faire "dans les limites de la période convenue entre les parties au contrat". C'est-à-dire le futur acquéreur et le promoteur public. Quand bien même cet avis est conforme aux termes du contrat liant le client à l'AADL, les conditions de son application demeurent toutefois difficilement réalisables en ce moment. En effet, est-il aisé de nos jours, avec a cherté de la vie et les dépenses quotidiennes du simple employé, de trouver la totalité de la somme ? Il leur faut un temps suffisant pour "dégoter" l'argent nécessaire. Et comment ? Car, il ne s'agit pas d'une somme que l'on peut amasser aussi facilement surtout pour de simples fonctionnaires. Les habitants de ces sites viennent à peine de commencer à rembourser leurs dettes contranctées, qui auprès de membres de la famille, qui de leurs entreprises, que l'AADL les pousse à s'endetter davantage pour payer les tranches restantes !