Maintenant c'est officiel : l'adoption du projet de loi portant révision constitutionnelle aura lieu dimanche 7 février. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed-Larbi Ould Khelifa l'ont en effet confirmé hier. Maintenant c'est officiel : l'adoption du projet de loi portant révision constitutionnelle aura lieu dimanche 7 février. Le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, et le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed-Larbi Ould Khelifa l'ont en effet confirmé hier. Le vote "du projet de révision de la Constitution aura lieu dimanche 7 février", a indiqué Sellal dans une déclaration à la presse en marge de la séance de clôture de la session d'automne de l'APN. Et d'ajouter que "plus aucune équivoque ne subsiste maintenant sur la date du vote du document". Cette dernière précision du Premier ministre est justifiée dès lors qu'avant-hier mardi le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a annoncé que l'adoption du projet de loi en question n'aura pas lieu le mercredi 3 février. Les interrogations sont alors allées bon train quant à la date de la réunion des deux chambres du Parlement pour adopter le projet de révision constitutionnelle. Finalement c'est en fin d'après-midi de mardi que la date du 7 février a été retenue à l'issue de la réunion tripartite entre le Premier ministre et les présidents de l'APN et du Conseil de la nation. Mais ce n'est qu'hier donc que la date a été annoncée par Sellal et Ould Khelifa. En effet, c'est ce dernier qui a précédé le Premier ministre en annonçant la date du 7 février après avoir terminé son allocution de clôture de la session d'automne de l'APN et avant la levée de la séance plénière. Dans cette même allocution, Ould Khelifa a, en toute logique, évoqué le projet de révision constitutionnelle. Pour le présdent de l'APN; ce projet "consacre la souveraineté du peuple et renforce l'immunité de l'Algérie, c'est également une chance qui s'offre aux élus du peuple pour hisser le socle de la démocratie, de la justice et du développement dans l'Algérie actuelle et celle du futur". Le président du Conseil de la nation n'a pas été en reste. Dans son discours de clôture de la session d'automne de la chambre haute du Parlement a lui aussi appelé les parlementaires des deux chambres a adopter le projet de loi en question pour éviter l'anarchie. Cela dit le processus de l'adoption du projet de loi sera entamé aujourd'hui. En effet ce mercredi aura lieu au Palais des nations la réunion de la commission parlementaire mixte élargie. C'est cette commission, composée des membres des bureaux du Sénat et de l'APN ainsi que des membres des commission juridiques des deux chambres , qui élaborera le règlement intérieur de la séance plénière de dimanche prochain et un rapport sur le projet de loi. Avant d'entamer ses travaux cette commission recevra le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui leur présentera le projet de loi portant révision constitutionnelle. Et c'est aussi Abdelmalek Sellal qui présentera dimanche le projet de loi devant les parlementaires des deux chambres. Pour qu'il soit adopté le projet de loi a besoin de l'adhésion des 3/4 des voix des parlementaires et ce conformément aux dispositions de l'article 176 de la Constitution. En termes de chiffres, il faut le vote positif de 455 parlementaires alors que les deux chambres réunies en comptent 606 entre députés et sénateurs. Les partis représentés dans les deux chambres ont déjà engagé la course contre la montre pour mobiliser leurs élus. C'est ainsi que le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, a tenu hier une réunion avec les parlementaires de son parti. Les partis de la majorité qui soutiennent mordicus le projet, à savoir notamment le FLN, le RND et leurs alliés, ne veulent laisser aucune place au hasard et à la surprise. L'opposition affûte, elle aussi, ses armes même si certains partis n'ont pas encore définitivement tranché sur la position à adopter lors du vote. Le Parti des travailleurs se prononcera le vendredi. Idem pour l'Alliance de l'Algérie verte (AAV). Le FFS a, quant à lui, décidé hier de boycotter la séance de dimanche. Le vote "du projet de révision de la Constitution aura lieu dimanche 7 février", a indiqué Sellal dans une déclaration à la presse en marge de la séance de clôture de la session d'automne de l'APN. Et d'ajouter que "plus aucune équivoque ne subsiste maintenant sur la date du vote du document". Cette dernière précision du Premier ministre est justifiée dès lors qu'avant-hier mardi le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, a annoncé que l'adoption du projet de loi en question n'aura pas lieu le mercredi 3 février. Les interrogations sont alors allées bon train quant à la date de la réunion des deux chambres du Parlement pour adopter le projet de révision constitutionnelle. Finalement c'est en fin d'après-midi de mardi que la date du 7 février a été retenue à l'issue de la réunion tripartite entre le Premier ministre et les présidents de l'APN et du Conseil de la nation. Mais ce n'est qu'hier donc que la date a été annoncée par Sellal et Ould Khelifa. En effet, c'est ce dernier qui a précédé le Premier ministre en annonçant la date du 7 février après avoir terminé son allocution de clôture de la session d'automne de l'APN et avant la levée de la séance plénière. Dans cette même allocution, Ould Khelifa a, en toute logique, évoqué le projet de révision constitutionnelle. Pour le présdent de l'APN; ce projet "consacre la souveraineté du peuple et renforce l'immunité de l'Algérie, c'est également une chance qui s'offre aux élus du peuple pour hisser le socle de la démocratie, de la justice et du développement dans l'Algérie actuelle et celle du futur". Le président du Conseil de la nation n'a pas été en reste. Dans son discours de clôture de la session d'automne de la chambre haute du Parlement a lui aussi appelé les parlementaires des deux chambres a adopter le projet de loi en question pour éviter l'anarchie. Cela dit le processus de l'adoption du projet de loi sera entamé aujourd'hui. En effet ce mercredi aura lieu au Palais des nations la réunion de la commission parlementaire mixte élargie. C'est cette commission, composée des membres des bureaux du Sénat et de l'APN ainsi que des membres des commission juridiques des deux chambres , qui élaborera le règlement intérieur de la séance plénière de dimanche prochain et un rapport sur le projet de loi. Avant d'entamer ses travaux cette commission recevra le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, qui leur présentera le projet de loi portant révision constitutionnelle. Et c'est aussi Abdelmalek Sellal qui présentera dimanche le projet de loi devant les parlementaires des deux chambres. Pour qu'il soit adopté le projet de loi a besoin de l'adhésion des 3/4 des voix des parlementaires et ce conformément aux dispositions de l'article 176 de la Constitution. En termes de chiffres, il faut le vote positif de 455 parlementaires alors que les deux chambres réunies en comptent 606 entre députés et sénateurs. Les partis représentés dans les deux chambres ont déjà engagé la course contre la montre pour mobiliser leurs élus. C'est ainsi que le secrétaire général du FLN, Amar Saadani, a tenu hier une réunion avec les parlementaires de son parti. Les partis de la majorité qui soutiennent mordicus le projet, à savoir notamment le FLN, le RND et leurs alliés, ne veulent laisser aucune place au hasard et à la surprise. L'opposition affûte, elle aussi, ses armes même si certains partis n'ont pas encore définitivement tranché sur la position à adopter lors du vote. Le Parti des travailleurs se prononcera le vendredi. Idem pour l'Alliance de l'Algérie verte (AAV). Le FFS a, quant à lui, décidé hier de boycotter la séance de dimanche.