En prévision du congrès national qui doit avoir lieu en 2017, les travaux d'organisation battent leur plein au sein du plus vieux parti de l'opposition. En prévision du congrès national qui doit avoir lieu en 2017, les travaux d'organisation battent leur plein au sein du plus vieux parti de l'opposition. A l'instar de plusieurs wilayas, qui ont déjà organisé cette semaine leurs congrès fédéraux, la fédération de Tizi-Ouzou, s'est mise de la partie, et a organisé le sien, hier samedi à la maison de la culture Mouloud-Mammeri, et ce, après son report, suite au décès du leader et fondateur du parti, le 23 décembre dernier. Selon les organisateurs, pas moins de 220 militants ont été élus pour représenter leurs sections respectives à ce congrès, en attendant le 12 février prochain qui verra l'assemblée de la section des anciens militants de 1963 élire leurs cinq délégués. Après l'ouverture des travaux du congrès, par Mohamed Klaleche, président de la CPF, par le souhait de bienvenue à tous les présents, les 220 congressistes, les invités et les membres de la presse ont été conviés à se mettre debout par respect à l'hymne national, qui a ainsi retenti sur la maison de la culture de Tizi-Ouzou, ensuite à observer une minute de silence, à la mémoire de leur chef historique, Hocine Aït Ahmed , et celle de tous les martyrs de la démocratie. Le premier secrétaire national du parti, Mohamed Nebbou, quant à lui, est revenu dans son intervention sur les objectifs politiques du congrès et sur la dimension politique que le parti doit donner à sa dynamique organique. Il a expliqué que le FFS via les congrès organisés dans toutes les régions du pays, affirme de plus en plus son caractère national. Puis parlant de la situation politique du pays, le premier secrétaire national du FFS, n'a pas été tendre à l'égard du pouvoir en place qu'il a accusé de non transparent en matière de gestion des réserves et ressources du pays, d'oppresseur dans la gestion des revendications citoyennes et de sourd face aux appels à une alternative démocratique. Néanmoins, il n'a pas versé dans le pessimisme absolu, "le pouvoir ne veut pas une alternative démocratique et pacifique, mais nous allons le pousser à accepter" a estimé le premier secrétaire national du plus ancien parti d'opposition en Algérie qui a conditionné cela par la mobilisation sans faille des militants. Le rassemblement des énergies constructives, leur engagement en vue d'un changement démocratique et pacifique et la fidélité aux idéaux et au combat des anciens militants ont été l'essentiel de l'intervention de Mohamed Nebbou. A travers la conservation de ces valeurs, le premier secrétaire national du FFS, déclare que "c'est le meilleur hommage qu'on puisse rendre au défunt Dda L'houcine". Après la pause-déjeuner, la deuxième étape du congrès a été ouverte toujours par Mohamed Klaleche, président de la CPF, et actuel président de l'APW de Tizi-Ouzou, qui a confirmé la validation des deux candidatures au poste de 1er secrétaire fédéral, puisque les programmes présentés par les deux candidats, Farid Bouaziz et N. Belasla, sont conformes aux objectifs politiques du parti. Les deux candidats ont justement été invités à lire leurs programmes d'actions, tous deux riches et ambitieux et pleins de bonnes idées pour faire progresser le parti à l'échelle de la wilaya. A l'instar de plusieurs wilayas, qui ont déjà organisé cette semaine leurs congrès fédéraux, la fédération de Tizi-Ouzou, s'est mise de la partie, et a organisé le sien, hier samedi à la maison de la culture Mouloud-Mammeri, et ce, après son report, suite au décès du leader et fondateur du parti, le 23 décembre dernier. Selon les organisateurs, pas moins de 220 militants ont été élus pour représenter leurs sections respectives à ce congrès, en attendant le 12 février prochain qui verra l'assemblée de la section des anciens militants de 1963 élire leurs cinq délégués. Après l'ouverture des travaux du congrès, par Mohamed Klaleche, président de la CPF, par le souhait de bienvenue à tous les présents, les 220 congressistes, les invités et les membres de la presse ont été conviés à se mettre debout par respect à l'hymne national, qui a ainsi retenti sur la maison de la culture de Tizi-Ouzou, ensuite à observer une minute de silence, à la mémoire de leur chef historique, Hocine Aït Ahmed , et celle de tous les martyrs de la démocratie. Le premier secrétaire national du parti, Mohamed Nebbou, quant à lui, est revenu dans son intervention sur les objectifs politiques du congrès et sur la dimension politique que le parti doit donner à sa dynamique organique. Il a expliqué que le FFS via les congrès organisés dans toutes les régions du pays, affirme de plus en plus son caractère national. Puis parlant de la situation politique du pays, le premier secrétaire national du FFS, n'a pas été tendre à l'égard du pouvoir en place qu'il a accusé de non transparent en matière de gestion des réserves et ressources du pays, d'oppresseur dans la gestion des revendications citoyennes et de sourd face aux appels à une alternative démocratique. Néanmoins, il n'a pas versé dans le pessimisme absolu, "le pouvoir ne veut pas une alternative démocratique et pacifique, mais nous allons le pousser à accepter" a estimé le premier secrétaire national du plus ancien parti d'opposition en Algérie qui a conditionné cela par la mobilisation sans faille des militants. Le rassemblement des énergies constructives, leur engagement en vue d'un changement démocratique et pacifique et la fidélité aux idéaux et au combat des anciens militants ont été l'essentiel de l'intervention de Mohamed Nebbou. A travers la conservation de ces valeurs, le premier secrétaire national du FFS, déclare que "c'est le meilleur hommage qu'on puisse rendre au défunt Dda L'houcine". Après la pause-déjeuner, la deuxième étape du congrès a été ouverte toujours par Mohamed Klaleche, président de la CPF, et actuel président de l'APW de Tizi-Ouzou, qui a confirmé la validation des deux candidatures au poste de 1er secrétaire fédéral, puisque les programmes présentés par les deux candidats, Farid Bouaziz et N. Belasla, sont conformes aux objectifs politiques du parti. Les deux candidats ont justement été invités à lire leurs programmes d'actions, tous deux riches et ambitieux et pleins de bonnes idées pour faire progresser le parti à l'échelle de la wilaya.