Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réaffirmé avant-hier l'engagement de l'Etat de poursuivre la mise en oeuvre du programme national de développement des énergies renouvelables, en le plaçant au rang de "priorité nationale". Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a réaffirmé avant-hier l'engagement de l'Etat de poursuivre la mise en oeuvre du programme national de développement des énergies renouvelables, en le plaçant au rang de "priorité nationale". A cet effet, le président Bouteflika, qui a présidé un Conseil restreint consacré à la politique nationale dans le domaine du gaz, a donné des directives pour la poursuite et la dynamisation de ce programme adopté au Conseil des ministres en mai 2015, soulignant que ce programme doit être considéré comme une priorité nationale. Le chef de l'Etat, a rappelé, à cette occasion, que le développement des énergies renouvelables "est à même de prolonger durablement l'indépendance énergétique de notre pays et de générer aussi une dynamique de développement économique dans son sillage". Le programme national actualisé de développement des énergies renouvelables qui avait été adopté lors du Conseil des ministres du 24 mai 2015, prévoit une production d'ici à 2030 de 22.000 MW d'électricité de source renouvelable, notamment solaire et éolienne, destinée au marché intérieur, en plus de 10.000 MW supplémentaires à exporter, rappelle- t-on. Ce qui correspond à 27% de la production globale d'électricité d'ici à 2030 et le double de la capacité actuelle du parc national de production d'électricité. En conséquence, il en résultera, à l'horizon 2030, un déploiement à plus grande échelle du photovoltaïque et de l'éolien accompagné, à moyen terme, de la production d'énergie à partir du solaire thermique, ainsi que l'intégration de la cogénération, de la biomasse et de la géothermie, selon des projections officielles. Grâce à ce programme, il est prévu de réaliser une économie de prés de 300 milliards de m3 de gaz sur la période allant de 2021 à 2030, qui seront orientés vers l'exportation et rapporteront à l'Etat d'importants revenus supplémentaires. Des investissements de l'ordre de 120 milliards de dollars sont nécessaires pour atteindre cet objectif. En outre, jusqu'à 300.000 postes d'emplois directs et indirects devraient être générés à la faveur de la mise en oeuvre de ce programme. A cet effet, le président Bouteflika, qui a présidé un Conseil restreint consacré à la politique nationale dans le domaine du gaz, a donné des directives pour la poursuite et la dynamisation de ce programme adopté au Conseil des ministres en mai 2015, soulignant que ce programme doit être considéré comme une priorité nationale. Le chef de l'Etat, a rappelé, à cette occasion, que le développement des énergies renouvelables "est à même de prolonger durablement l'indépendance énergétique de notre pays et de générer aussi une dynamique de développement économique dans son sillage". Le programme national actualisé de développement des énergies renouvelables qui avait été adopté lors du Conseil des ministres du 24 mai 2015, prévoit une production d'ici à 2030 de 22.000 MW d'électricité de source renouvelable, notamment solaire et éolienne, destinée au marché intérieur, en plus de 10.000 MW supplémentaires à exporter, rappelle- t-on. Ce qui correspond à 27% de la production globale d'électricité d'ici à 2030 et le double de la capacité actuelle du parc national de production d'électricité. En conséquence, il en résultera, à l'horizon 2030, un déploiement à plus grande échelle du photovoltaïque et de l'éolien accompagné, à moyen terme, de la production d'énergie à partir du solaire thermique, ainsi que l'intégration de la cogénération, de la biomasse et de la géothermie, selon des projections officielles. Grâce à ce programme, il est prévu de réaliser une économie de prés de 300 milliards de m3 de gaz sur la période allant de 2021 à 2030, qui seront orientés vers l'exportation et rapporteront à l'Etat d'importants revenus supplémentaires. Des investissements de l'ordre de 120 milliards de dollars sont nécessaires pour atteindre cet objectif. En outre, jusqu'à 300.000 postes d'emplois directs et indirects devraient être générés à la faveur de la mise en oeuvre de ce programme.