La coopération sécuritaire entre l'Algérie et la Tunisie, qui ne fait pas l'objet d'une communication intensive, s'est très fortement renforcée depuis l'apparition du maquis terroriste sur le mont Châambi, à proximité de la frontière avec l'Algérie. La coopération sécuritaire entre l'Algérie et la Tunisie, qui ne fait pas l'objet d'une communication intensive, s'est très fortement renforcée depuis l'apparition du maquis terroriste sur le mont Châambi, à proximité de la frontière avec l'Algérie. La visite, avant-hier, du ministre de l'intérieur tunisien Hedi Medjdoub à Alger a été une nouvelle occasion de réaffirmer l'importance de la coopération sécuritaire et d'une action commune forte pour développer les régions frontières comme "antidote" au terrorisme. Le ministre tunisien de l'Intérieur, qui rencontré pour la troisième fois en "un temps court" son homologue algérien, Nouredine Bedoui, a souligné que "les deux pays sont liés par un destin commun". "Les deux pays doivent travailler ensemble pour relever les défis qui se posent dans cette conjoncture sensible que connait la région" a indiqué Hedi Medjdoub en relevant que ses entretiens ont porté également sur l'"évaluation des actions menées par les deux pays" et les "perspectives de la coopération bilatérale". L'aspect sécuritaire de la visite est souligné par la présence au cours de la rencontre entre les deux ministres du commandant de la Gendarmerie nationale, le général- major Mennad Nouba et du Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel. La coopération sécuritaire entre les deux pays s'est très fortement renforcée depuis l'apparition du maquis terroriste sur le mont Châambi, à proximité de la frontière avec l'Algérie. Les responsables des deux pays ont multiplié récemment les déclarations publiques contre les risques "désastreux" d'une intervention militaire occidentale en Libye. Cette "communauté de vision" est très largement soulignée par les deux parties. Le thème du partenariat économique au niveau de la bande frontalière a été fortement relancé en juillet 2014 lors d'une rencontre à Tébessa entre le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal et le chef de gouvernement tunisiens à l'époque, Mehdi Jomaâ. Le chef de la diplomatie algérienne avait, à cette occasion, mis en exergue le fait que l'Algérie et la Tunisie avaient intérêt à redonner vie à la "bande frontalière commune et à la dynamisation des programmes et des projets de développement qui y sont initiés au bénéficie des deux peuples". Il s'agissait très clairement de réactiver les anciens projets afin de donner aux habitants des régions frontalières d'autres perspectives que la contrebande. Cette volonté de "réactiver" les projets communs pour développer la zone frontalière est très largement marquée par la donne sécuritaire. Depuis, l'action s'est "décentralisée" avec une multiplication des rencontres entre responsables des gouvernorats tunisiens et des wilayas algériennes dans la zone frontalière entre les deux pays. L'activité de contrebande entre les deux pays, jusque-là acceptée comme un mal nécessaire, est devenue beaucoup moins tolérée avec les faisceaux d'indices de son imbrication avec le terrorisme. Le ministre algérien a souligné, rapporte l'agence APS, que la situation sécuritaire dans la région exige "une plus large coordination et une vision prospective unifiée". Il s'agit, a-t-il poursuivi, "d'appliquer les instructions du président Abdelaziz Bouteflika qui a souligné la nécessité de hisser les relations algéro-tunisiennes suivant les exigences de situation dans la région". La situation actuelle exige des deux pays "une coordination et une complémentarité plus larges et une vision prospective pour préserver leur sécurité et leur stabilité" a poursuivi M. Bedoui. La coopération sécuritaire entre les deux pays est "nécessaire pour l'instauration de la stabilité" mais a-t-il ajouté "d'autres aspects s'inscrivent dans ce contexte, dont le développement de la bande frontalière dans le cadre du partenariat bilatérale". Les deux ministres ont convenu de "promouvoir cette dynamique" lors de leurs rencontres avec les responsables locaux de ces régions, le développement de ces régions étant un moyen de lutte antiterroriste. La visite, avant-hier, du ministre de l'intérieur tunisien Hedi Medjdoub à Alger a été une nouvelle occasion de réaffirmer l'importance de la coopération sécuritaire et d'une action commune forte pour développer les régions frontières comme "antidote" au terrorisme. Le ministre tunisien de l'Intérieur, qui rencontré pour la troisième fois en "un temps court" son homologue algérien, Nouredine Bedoui, a souligné que "les deux pays sont liés par un destin commun". "Les deux pays doivent travailler ensemble pour relever les défis qui se posent dans cette conjoncture sensible que connait la région" a indiqué Hedi Medjdoub en relevant que ses entretiens ont porté également sur l'"évaluation des actions menées par les deux pays" et les "perspectives de la coopération bilatérale". L'aspect sécuritaire de la visite est souligné par la présence au cours de la rencontre entre les deux ministres du commandant de la Gendarmerie nationale, le général- major Mennad Nouba et du Directeur général de la Sûreté nationale, le général-major Abdelghani Hamel. La coopération sécuritaire entre les deux pays s'est très fortement renforcée depuis l'apparition du maquis terroriste sur le mont Châambi, à proximité de la frontière avec l'Algérie. Les responsables des deux pays ont multiplié récemment les déclarations publiques contre les risques "désastreux" d'une intervention militaire occidentale en Libye. Cette "communauté de vision" est très largement soulignée par les deux parties. Le thème du partenariat économique au niveau de la bande frontalière a été fortement relancé en juillet 2014 lors d'une rencontre à Tébessa entre le Premier ministre algérien, Abdelmalek Sellal et le chef de gouvernement tunisiens à l'époque, Mehdi Jomaâ. Le chef de la diplomatie algérienne avait, à cette occasion, mis en exergue le fait que l'Algérie et la Tunisie avaient intérêt à redonner vie à la "bande frontalière commune et à la dynamisation des programmes et des projets de développement qui y sont initiés au bénéficie des deux peuples". Il s'agissait très clairement de réactiver les anciens projets afin de donner aux habitants des régions frontalières d'autres perspectives que la contrebande. Cette volonté de "réactiver" les projets communs pour développer la zone frontalière est très largement marquée par la donne sécuritaire. Depuis, l'action s'est "décentralisée" avec une multiplication des rencontres entre responsables des gouvernorats tunisiens et des wilayas algériennes dans la zone frontalière entre les deux pays. L'activité de contrebande entre les deux pays, jusque-là acceptée comme un mal nécessaire, est devenue beaucoup moins tolérée avec les faisceaux d'indices de son imbrication avec le terrorisme. Le ministre algérien a souligné, rapporte l'agence APS, que la situation sécuritaire dans la région exige "une plus large coordination et une vision prospective unifiée". Il s'agit, a-t-il poursuivi, "d'appliquer les instructions du président Abdelaziz Bouteflika qui a souligné la nécessité de hisser les relations algéro-tunisiennes suivant les exigences de situation dans la région". La situation actuelle exige des deux pays "une coordination et une complémentarité plus larges et une vision prospective pour préserver leur sécurité et leur stabilité" a poursuivi M. Bedoui. La coopération sécuritaire entre les deux pays est "nécessaire pour l'instauration de la stabilité" mais a-t-il ajouté "d'autres aspects s'inscrivent dans ce contexte, dont le développement de la bande frontalière dans le cadre du partenariat bilatérale". Les deux ministres ont convenu de "promouvoir cette dynamique" lors de leurs rencontres avec les responsables locaux de ces régions, le développement de ces régions étant un moyen de lutte antiterroriste.