L'admission au corps de professeur se fait sur concours en deux étapes : les épreuves écrites qui auront lieu le 30 avril, et les épreuves orales d'admission finale qui se tiendront les 08 et 09 juin 2016. Les résultats, eux, seront annoncés tour à tour le 12 mai et 30 juin 2016. L'admission au corps de professeur se fait sur concours en deux étapes : les épreuves écrites qui auront lieu le 30 avril, et les épreuves orales d'admission finale qui se tiendront les 08 et 09 juin 2016. Les résultats, eux, seront annoncés tour à tour le 12 mai et 30 juin 2016. En tout, plus de 28 000 postes sont à pourvoir, avec en tête, les postes dans l'enseignement à l'école primaire (17 595 en tout), suivis de l'enseignement moyen (7 497 en tout) et ceux dans le lycée (2 983 au total). Pour l'enseignement à l'école primaire, la plus forte demande se trouve à Alger (1 352), suivie de Sétif (835), Médéa (735), Oran (649) et Constantine (608). Les candidats au concours pour l'accès au corps de professeur de l'école primaire doivent être titulaires d'une licence ou d'un diplôme en sciences sociales et/ou sciences exactes afin d'être éligibles. Le ministère veut recruter 15 239 enseignants de langue arabe, 2 082 professeurs de français et seulement 239 enseignants de tamazight. Le total est de 17 595 postes. Pour l'enseignement moyen, la wilaya d'Alger arrive en tête en matière de postes ouverts (754), suivie de Batna (411) et de Sétif (341). Sans surprise, à Bejaia, les professeurs de langue amazighe sont très recherchés, proportionnellement aux autres villes (100 postes au total). Les postes les plus recherchés : enseignant de langue arabe (1 385 postes), enseignant de mathématiques (1 151 postes) et enseignant de langue française (1 095). Enfin, pour ce qui s'agit de l'enseignement secondaire, les villes où les demandes sont les plus importantes sont Batna (252) et Oran (217). Les matières les plus pourvues, quant à elles, sont les mathématiques (356 postes), la littérature arabe (340 postes) et les sciences physiques (299 postes). Pour l'accès aux postes de professeur dans l'enseignement moyen, comme secondaire, une licence ou un diplôme dans le domaine d'éducation souhaité est nécessaire (ie. pour un poste de professeur de langue arabe, une licence en langue et littérature arabe est requise). L'annonce du ministère de l'Education nationale précise également que ne seront acceptés « que la résidence dans la même wilaya du poste de travail, et les diplômes de succès ou d'attestation de succès ». La préinscription s'effectue sur le site internet www.onec.dz et les candidats dont les dossiers n'ont pas été retenus ont la possibilité d'introduire un recours au sein des directions de l'éducation concernées lors du dépôt du dossier. Les inscriptions au concours pour le recrutement de plus 28.000 enseignants pour les trois paliers (primairemoyen- secondaire) ont débuté dimanche, a-t-on appris auprès du ministère de l'Education nationale. Les postulants peuvent s'inscrire sur le site internet de l'Office national des examens et concours (www.onec.dz) et procéderont au retrait des convocations, à partir du 20 avril, pour passer le concours le 30 avril. Les spécialités et le programme du concours peuvent être consultés sur le site du ministère (www.education.gov.dz). Les résultats de l'examen écrit seront donnés le 12 mai, permettant aux candidats retenus de passer le test oral le 8 et 9 juin, alors que les résultats définitifs seront rendus publics le 30 juin. Les spécialités ont été élargies cette année à 28 nouvelles filières à l'instar des sciences politiques, des sciences de la communication, du droit, de l'économie et de certaines spécialités scientifiques. Les candidats retenus suivront des formations cycliques dés le mois de juillet, et le ministère a déjà pris option pour un portail électronique de formation à distance. "Nous avons choisi la date du samedi 30 avril pour ne pas perturber la scolarité des élèves", avait indiqué à l'APS la semaine dernière la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, ajoutant que "le test oral interviendra bien après le déroulement des examens nationaux". Selon Mme Benghebrit, cette opération "lourde" de par le nombre de plus de 28.000 postes ouverts, et par ricochet le nombre de candidatures, nécessite une "maîtrise du calendrier afin de permettre aussi à la Fonction publique de nous accompagner dans cette opération". "Nous allons compenser le manque pédagogique par un encadrement de qualité, l'accompagnement et la prise en charge à travers les inspections", avait-t-elle expliqué. En tout, plus de 28 000 postes sont à pourvoir, avec en tête, les postes dans l'enseignement à l'école primaire (17 595 en tout), suivis de l'enseignement moyen (7 497 en tout) et ceux dans le lycée (2 983 au total). Pour l'enseignement à l'école primaire, la plus forte demande se trouve à Alger (1 352), suivie de Sétif (835), Médéa (735), Oran (649) et Constantine (608). Les candidats au concours pour l'accès au corps de professeur de l'école primaire doivent être titulaires d'une licence ou d'un diplôme en sciences sociales et/ou sciences exactes afin d'être éligibles. Le ministère veut recruter 15 239 enseignants de langue arabe, 2 082 professeurs de français et seulement 239 enseignants de tamazight. Le total est de 17 595 postes. Pour l'enseignement moyen, la wilaya d'Alger arrive en tête en matière de postes ouverts (754), suivie de Batna (411) et de Sétif (341). Sans surprise, à Bejaia, les professeurs de langue amazighe sont très recherchés, proportionnellement aux autres villes (100 postes au total). Les postes les plus recherchés : enseignant de langue arabe (1 385 postes), enseignant de mathématiques (1 151 postes) et enseignant de langue française (1 095). Enfin, pour ce qui s'agit de l'enseignement secondaire, les villes où les demandes sont les plus importantes sont Batna (252) et Oran (217). Les matières les plus pourvues, quant à elles, sont les mathématiques (356 postes), la littérature arabe (340 postes) et les sciences physiques (299 postes). Pour l'accès aux postes de professeur dans l'enseignement moyen, comme secondaire, une licence ou un diplôme dans le domaine d'éducation souhaité est nécessaire (ie. pour un poste de professeur de langue arabe, une licence en langue et littérature arabe est requise). L'annonce du ministère de l'Education nationale précise également que ne seront acceptés « que la résidence dans la même wilaya du poste de travail, et les diplômes de succès ou d'attestation de succès ». La préinscription s'effectue sur le site internet www.onec.dz et les candidats dont les dossiers n'ont pas été retenus ont la possibilité d'introduire un recours au sein des directions de l'éducation concernées lors du dépôt du dossier. Les inscriptions au concours pour le recrutement de plus 28.000 enseignants pour les trois paliers (primairemoyen- secondaire) ont débuté dimanche, a-t-on appris auprès du ministère de l'Education nationale. Les postulants peuvent s'inscrire sur le site internet de l'Office national des examens et concours (www.onec.dz) et procéderont au retrait des convocations, à partir du 20 avril, pour passer le concours le 30 avril. Les spécialités et le programme du concours peuvent être consultés sur le site du ministère (www.education.gov.dz). Les résultats de l'examen écrit seront donnés le 12 mai, permettant aux candidats retenus de passer le test oral le 8 et 9 juin, alors que les résultats définitifs seront rendus publics le 30 juin. Les spécialités ont été élargies cette année à 28 nouvelles filières à l'instar des sciences politiques, des sciences de la communication, du droit, de l'économie et de certaines spécialités scientifiques. Les candidats retenus suivront des formations cycliques dés le mois de juillet, et le ministère a déjà pris option pour un portail électronique de formation à distance. "Nous avons choisi la date du samedi 30 avril pour ne pas perturber la scolarité des élèves", avait indiqué à l'APS la semaine dernière la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit, ajoutant que "le test oral interviendra bien après le déroulement des examens nationaux". Selon Mme Benghebrit, cette opération "lourde" de par le nombre de plus de 28.000 postes ouverts, et par ricochet le nombre de candidatures, nécessite une "maîtrise du calendrier afin de permettre aussi à la Fonction publique de nous accompagner dans cette opération". "Nous allons compenser le manque pédagogique par un encadrement de qualité, l'accompagnement et la prise en charge à travers les inspections", avait-t-elle expliqué.