Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) prépare activement un colloque international sur la crise économique. Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) prépare activement un colloque international sur la crise économique. Des spécialistes en économie de grande renommée vont se pencher, le 1er mai à l'hôtel Eriadh de Sidi-Fredj, sur les différents aspects de cette crise qui met en péril la stabilité sociale du pays. De l'incontournable transition économique à l'intégration africaine en passant par les réformes structurelles, le colloque sera, selon le RCD, riche en débats. La première conférence portera sur la transition économique et le passage d'une économie de rente à une économie de production. Elle sera animée par l'éminent professeur en économie et sciences de gestion, Abdelhak Lamiri, indique le RCD dans un communiqué. La deuxième conférence traitera des solutions envisageables à court terme afin d'endiguer la crise financière en trouvant de nouveaux financements hors hydrocarbures. Elle sera présentée par Ali Benouari, diplômé de l'Institut d'études politiques, président d'Ecofinance S. A. société de conseil et de montage en partenariats industriels et financiers, ancien ministre délégué au Trésor et ex-candidat à la présidentielle de 2014. La troisième conférence sera consacrée au coût, jugé par certains exorbitant, de la non intégration nord-africaine. Elle sera présentée par trois éminents professeurs : Samy Oussedik, professeur en relations internationales à l'Université de la Sorbonne, diplômé de l'IEP et fondateur d'Algiers investment partnership (AIP), Lahcen Oulhadj, docteur d'Etat en économie, professeur de sciences économiques à Rabat, président de commission permanente au Conseil économique social et environnemental et membre du C. A. du Forum euro-méditerranéen des Instituts de sciences économiques, et de Aram Belhadj, également docteur en sciences économiques de l'université d'Orléans, enseignant à la faculté des sciences économiques et de gestion de Nabeul (Université de Carthage) en Tunisie, et chercheur associé au laboratoire d'économie d'Orléans en France. En organisant ce colloque, le RCD dit vouloir faire du libre débat et de l'échange argumenté une nécessité pédagogique à laquelle est tenue de s'accoutumer la classe politique. Des spécialistes en économie de grande renommée vont se pencher, le 1er mai à l'hôtel Eriadh de Sidi-Fredj, sur les différents aspects de cette crise qui met en péril la stabilité sociale du pays. De l'incontournable transition économique à l'intégration africaine en passant par les réformes structurelles, le colloque sera, selon le RCD, riche en débats. La première conférence portera sur la transition économique et le passage d'une économie de rente à une économie de production. Elle sera animée par l'éminent professeur en économie et sciences de gestion, Abdelhak Lamiri, indique le RCD dans un communiqué. La deuxième conférence traitera des solutions envisageables à court terme afin d'endiguer la crise financière en trouvant de nouveaux financements hors hydrocarbures. Elle sera présentée par Ali Benouari, diplômé de l'Institut d'études politiques, président d'Ecofinance S. A. société de conseil et de montage en partenariats industriels et financiers, ancien ministre délégué au Trésor et ex-candidat à la présidentielle de 2014. La troisième conférence sera consacrée au coût, jugé par certains exorbitant, de la non intégration nord-africaine. Elle sera présentée par trois éminents professeurs : Samy Oussedik, professeur en relations internationales à l'Université de la Sorbonne, diplômé de l'IEP et fondateur d'Algiers investment partnership (AIP), Lahcen Oulhadj, docteur d'Etat en économie, professeur de sciences économiques à Rabat, président de commission permanente au Conseil économique social et environnemental et membre du C. A. du Forum euro-méditerranéen des Instituts de sciences économiques, et de Aram Belhadj, également docteur en sciences économiques de l'université d'Orléans, enseignant à la faculté des sciences économiques et de gestion de Nabeul (Université de Carthage) en Tunisie, et chercheur associé au laboratoire d'économie d'Orléans en France. En organisant ce colloque, le RCD dit vouloir faire du libre débat et de l'échange argumenté une nécessité pédagogique à laquelle est tenue de s'accoutumer la classe politique.