Les festivités officielles, marquant la célébration de la Journée internationale du travail, placées cette année en Algérie sous le thème "Solidarité avec le peuple sahraoui", se sont déroulées, hier, au port d'Oran. Les festivités officielles, marquant la célébration de la Journée internationale du travail, placées cette année en Algérie sous le thème "Solidarité avec le peuple sahraoui", se sont déroulées, hier, au port d'Oran. A cette occasion, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adressé un message, lu en son nom par le conseiller à la présidence, dans lequel il souligne toute l'importance que revêt la célébration de cet anniversaire, dans une conjoncture particulière marquée notamment par les effets de la crise financière mondiale. Pour le chef de l'Etat, cette célébration est synonyme, cette année, d'un nouveau départ pour contrer l'impact néfaste de la crise financière mondiale, préserver la dynamique de croissance et promouvoir l'emploi et la lutte contre le chômage. Il se félicite, en outre, de la décision de l'UGTA de placer cette célébration sous le thème de "La solidarité avec le peuple Sahraoui" marquant clairement, ainsi, l'attachement de l'ensemble du peuple algérien à soutenir les causes justes à travers le monde et à défendre le principe du droit des peuples à l'autodétermination. La Constitution amendée, déclare encore le chef de l'Etat, "permettra à l'Algérie de parachever le processus des réformes initié ces dernières années au plan politique en poursuivant la consolidation de l'Etat de droit et de justice, en renforcant les garanties de protection des droits et des libertés du citoyen et en consacrant le pluralisme politique, les droits de l'opposition et ceux de l'alternance démocratique". Aspirer à une économie diversifiée et compétitive Abdelaziz Bouteflika, a également affirmé que l'effort d'investissement "colossal" consenti par l'Algérie durant ces dernières décennies lui permettait aujourd'hui d'aspirer "légitimement" à l'édification en un court laps de temps, d'une économie productive, diversifiée et compétitive, rappelant la volonté de l'Etat d'encourager l'investissement productif et de renforcer la place de l'entreprise dans l'économie. "L'Algérie a concrétisé durant ces dernières décennies, d'importantes réalisations en l'occurrence la transformation de nos ressources naturelles d'hydrocarbures et nos ressources humaines en un potentiel de production tant dans les secteurs public que privé", a indiqué Bouteflika. Le chef de l'Etat a précisé que ces réalisæations concrétisées à la faveur d'un effort d'investissement "colossal" ont contribué à l'"édification d'infrastructures de base indispensables au développement socioéconomique et il nous est désormais permis d'aspirer, et c'est là une aspiration légitime, à l'édification en un court laps de temps, d'une économie productive, diversifiée et compétitive à condition de promouvoir et de développer la production nationale". "Cependant, il nous serait impossible d'aspirer à une économie productive, diversifiée et compétitive si nous nous n'intéressions pas à la promotion et au développement de la production nationale. Notre aspiration se concrétisera véritablement par la promotion d'exportations en plus des hydrocarbures et le renforcement de notre indépendance économique. En effet, nous faisons face aujourd'hui à une dépendance quasi totale aux recettes des hydrocarbures accompagnée par une implosion de nos importations commerciales avec une augmentation spectaculaire de leurs coûts nous obligeant à recourir à nos réserves de change. Nous voyons par conséquent, en la réduction ces derniers mois du volume de nos importations, un recul à maintenir impérativement", poursuit le président de la République. Et d'ajouter : "La promotion de l'économie nationale implique un saut pour nos entreprises de manière à pouvoir reconquérir le marché national. Il s'agit là d'une revendication clamée par l'UGTA, que nous remercions d'ailleurs, à travers sa mobilisation à davantage de production et de consommation du produit local". "Cette tendance intervient en temps opportun pour consacrer le principe de la préférence nationale en accordant la priorité au produit national dans les marchés publics lorsqu'il est disponible et répond aux critères requis", a souligné le Président Bouteflika. Après avoir exhorté les forces ouvrières "soucieuses de la sécurité de l'économie du pays, à appuyer et renforcer nos politiques de développement pour se libérer complètement de leur dépendance aux hydrocarbures", le chef de l'Etat a rappelé les démarches de l'Etat pour assurer la pérennité de ce choix de justice et de solidarité nationales à travers des mesures incitatives et une politique forte, à encourager l'investissement productif et consolider la place de l'entreprise dans l'économie nationale. "En plus des efforts de l'Etat, l'orientation des entreprises vers la diversification des sources génératrices de richesses, reste le meilleur garant de la durabilité de l'emploi et la préservation et l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs", a-t-il encore affirmé. Il a relevé à ce propos, la nécessité de la contribution de l'ensemble des secteurs économiques, industrie, agriculture, pêche, énergie, tourisme, technologies de l'information et de la communication, se doivent de relever ce défi et contribuer, plus que jamais, à la réalisation de cet objectif si important tant par la mobilisation des potentialités économiques nationales que par le recours au partenariat international pour sa contribution. "En effet, le secteur de l'Agriculture, en tant que garant de la sécurité alimentaire et pourvoyeur de l'industrie agroalimentaire en matières premières, de même que le secteur des Technologies de l'information et de la communication de par son incidence positive et certaine sur le rendement général de l'économie et sur sa modernisation technologique et le secteur du Tourisme de par sa capacité à créer de l'emploi et générer des revenus, sont autant de segments susceptibles de développer la croissance économique qui favorise la dépense publique", a estimé le chef de l'Etat. Acette occasion, le président Bouteflika a réitéré la détermination de l'Etat à poursuivre le soutien à l'investissement productif des entreprises et à la création de l'emploi à travers l'appui au dispositif incitatif de l'investissement, la facilitation de l'accès au foncier outre les récentes facilités adoptées par le gouvernement ainsi que l'accès des petites et moyennes entreprises au financement bancaire. Le chef de l'Etat a appelé également à la mobilisation des capacités productives, la libération des initiatives par l'amélioration de l'environnement de l'entreprise et la garantie d'un climat d'affaires favorable. Par ailleurs, le président Bouteflika a indiqué que l'étape actuelle implique davantage de mobilisation et de concertation entre tous les acteurs économiques, les entreprises et les administrations économiques, notamment les travailleurs et leurs directions syndicales autour des priorités économiques arrêtées, saluant "toutes les réalisations que notre pays a pu accomplir en matière de promotion sociale, particulièrement en faveur des catégories des travailleurs et des retraités". Enfin, le chef de l'Etat a réaffirmé sa détermination à poursuivre "la consécration des vertus du labeur et du mérite par le travail et l'abnégation dans la culture de notre société et à la préservation des intérêt légitimes des travailleurs". Les travaux de la prochaine tripartite Abdelaziz Bouteflika a affirmé aussi que la réunion de la tripartite, prévue prochainement, sera l'occasion d'une concertation sur la poursuite du développement économique dans le sens de la consolidation de la dynamique enclenchée depuis quelques années en matière de création d'emplois et de baisse du taux de chômage. Le président Bouteflika a souligné que "la réunion de la tripartite, prévue prochainement, sera l'occasion d'une concertation sur la poursuite du développement économique dans le sens de la consolidation de la dynamique enclenchée depuis quelques années en matière de création d'emplois et de baisse du taux de chômage notamment parmi les diplômés universitaires et de perfectionnement du système national de formation pour être au diapason des exigences en terme de main d'oeuvre qualifiée". Le chef de l'Etat a en outre souligné que l'Algérie "vient d'amorcer une phase qui implique davantage de mobilisation et de concertation entre tous les acteurs économiques, les entreprises et les administrations économiques, notamment les travailleurs et leurs directions syndicales autour des priorités économiques", affirmant que "l'unification de nos efforts, l'engagement de tous sur la voie du renouvellement, la compétitivité des entreprises, le rendement des travailleurs et le climat propice à l'investissement, nous pourrons accélérer le développement de notre économie en lui conférant une ambition industrielle qui soit à la hauteur des défis auxquels elle fait face". Le chef de l'Etat a appelé l'ensemble des travailleuses et travailleurs à consolider leur soutien à l'effort national consenti en vue de réaliser les objectifs du pacte national économique et social de développement, tout en exhortant tous les partenaires sociaux et économiques dans le cadre de cet espace institutionnel national de concertation et de dialogue, à y adhérer afin d'accélérer le processus de réformes économiques et renforcer le développement industriel dans notre pays. Le président Bouteflika a, par ailleurs, affirmé que la constitutionnalisation du Conseil national économique et social (Cnes) devrait avoir un impact positif sur le développement dans notre pays, car "constituant un espace important pour l'éclosion d'idées et la recherche de solutions". "Il est vrai que l'Algérie traverse aujourd'hui un tournant économique difficile en raison des conjonctures économiques mondiales dans laquelle nous n'avons aucune responsabilité, ni nous Algériens, ni de nombreux peuples qui luttent quotidiennement pour arracher leur droit au développement et au progrès", a encore souligné le chef de l'Etat ajoutant que "le tournant ne saurait entamer notre détermination à aller de l'avant dans le processus de développement qui est le nôtre et nous y parviendrons avec l'aide de Dieu et avec l'effort de tous les enfants de notre chère patrie, jaloux de l'indépendance de l'Algérie sur tous les plans y compris économique". A cette occasion, le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a adressé un message, lu en son nom par le conseiller à la présidence, dans lequel il souligne toute l'importance que revêt la célébration de cet anniversaire, dans une conjoncture particulière marquée notamment par les effets de la crise financière mondiale. Pour le chef de l'Etat, cette célébration est synonyme, cette année, d'un nouveau départ pour contrer l'impact néfaste de la crise financière mondiale, préserver la dynamique de croissance et promouvoir l'emploi et la lutte contre le chômage. Il se félicite, en outre, de la décision de l'UGTA de placer cette célébration sous le thème de "La solidarité avec le peuple Sahraoui" marquant clairement, ainsi, l'attachement de l'ensemble du peuple algérien à soutenir les causes justes à travers le monde et à défendre le principe du droit des peuples à l'autodétermination. La Constitution amendée, déclare encore le chef de l'Etat, "permettra à l'Algérie de parachever le processus des réformes initié ces dernières années au plan politique en poursuivant la consolidation de l'Etat de droit et de justice, en renforcant les garanties de protection des droits et des libertés du citoyen et en consacrant le pluralisme politique, les droits de l'opposition et ceux de l'alternance démocratique". Aspirer à une économie diversifiée et compétitive Abdelaziz Bouteflika, a également affirmé que l'effort d'investissement "colossal" consenti par l'Algérie durant ces dernières décennies lui permettait aujourd'hui d'aspirer "légitimement" à l'édification en un court laps de temps, d'une économie productive, diversifiée et compétitive, rappelant la volonté de l'Etat d'encourager l'investissement productif et de renforcer la place de l'entreprise dans l'économie. "L'Algérie a concrétisé durant ces dernières décennies, d'importantes réalisations en l'occurrence la transformation de nos ressources naturelles d'hydrocarbures et nos ressources humaines en un potentiel de production tant dans les secteurs public que privé", a indiqué Bouteflika. Le chef de l'Etat a précisé que ces réalisæations concrétisées à la faveur d'un effort d'investissement "colossal" ont contribué à l'"édification d'infrastructures de base indispensables au développement socioéconomique et il nous est désormais permis d'aspirer, et c'est là une aspiration légitime, à l'édification en un court laps de temps, d'une économie productive, diversifiée et compétitive à condition de promouvoir et de développer la production nationale". "Cependant, il nous serait impossible d'aspirer à une économie productive, diversifiée et compétitive si nous nous n'intéressions pas à la promotion et au développement de la production nationale. Notre aspiration se concrétisera véritablement par la promotion d'exportations en plus des hydrocarbures et le renforcement de notre indépendance économique. En effet, nous faisons face aujourd'hui à une dépendance quasi totale aux recettes des hydrocarbures accompagnée par une implosion de nos importations commerciales avec une augmentation spectaculaire de leurs coûts nous obligeant à recourir à nos réserves de change. Nous voyons par conséquent, en la réduction ces derniers mois du volume de nos importations, un recul à maintenir impérativement", poursuit le président de la République. Et d'ajouter : "La promotion de l'économie nationale implique un saut pour nos entreprises de manière à pouvoir reconquérir le marché national. Il s'agit là d'une revendication clamée par l'UGTA, que nous remercions d'ailleurs, à travers sa mobilisation à davantage de production et de consommation du produit local". "Cette tendance intervient en temps opportun pour consacrer le principe de la préférence nationale en accordant la priorité au produit national dans les marchés publics lorsqu'il est disponible et répond aux critères requis", a souligné le Président Bouteflika. Après avoir exhorté les forces ouvrières "soucieuses de la sécurité de l'économie du pays, à appuyer et renforcer nos politiques de développement pour se libérer complètement de leur dépendance aux hydrocarbures", le chef de l'Etat a rappelé les démarches de l'Etat pour assurer la pérennité de ce choix de justice et de solidarité nationales à travers des mesures incitatives et une politique forte, à encourager l'investissement productif et consolider la place de l'entreprise dans l'économie nationale. "En plus des efforts de l'Etat, l'orientation des entreprises vers la diversification des sources génératrices de richesses, reste le meilleur garant de la durabilité de l'emploi et la préservation et l'amélioration du pouvoir d'achat des travailleurs", a-t-il encore affirmé. Il a relevé à ce propos, la nécessité de la contribution de l'ensemble des secteurs économiques, industrie, agriculture, pêche, énergie, tourisme, technologies de l'information et de la communication, se doivent de relever ce défi et contribuer, plus que jamais, à la réalisation de cet objectif si important tant par la mobilisation des potentialités économiques nationales que par le recours au partenariat international pour sa contribution. "En effet, le secteur de l'Agriculture, en tant que garant de la sécurité alimentaire et pourvoyeur de l'industrie agroalimentaire en matières premières, de même que le secteur des Technologies de l'information et de la communication de par son incidence positive et certaine sur le rendement général de l'économie et sur sa modernisation technologique et le secteur du Tourisme de par sa capacité à créer de l'emploi et générer des revenus, sont autant de segments susceptibles de développer la croissance économique qui favorise la dépense publique", a estimé le chef de l'Etat. Acette occasion, le président Bouteflika a réitéré la détermination de l'Etat à poursuivre le soutien à l'investissement productif des entreprises et à la création de l'emploi à travers l'appui au dispositif incitatif de l'investissement, la facilitation de l'accès au foncier outre les récentes facilités adoptées par le gouvernement ainsi que l'accès des petites et moyennes entreprises au financement bancaire. Le chef de l'Etat a appelé également à la mobilisation des capacités productives, la libération des initiatives par l'amélioration de l'environnement de l'entreprise et la garantie d'un climat d'affaires favorable. Par ailleurs, le président Bouteflika a indiqué que l'étape actuelle implique davantage de mobilisation et de concertation entre tous les acteurs économiques, les entreprises et les administrations économiques, notamment les travailleurs et leurs directions syndicales autour des priorités économiques arrêtées, saluant "toutes les réalisations que notre pays a pu accomplir en matière de promotion sociale, particulièrement en faveur des catégories des travailleurs et des retraités". Enfin, le chef de l'Etat a réaffirmé sa détermination à poursuivre "la consécration des vertus du labeur et du mérite par le travail et l'abnégation dans la culture de notre société et à la préservation des intérêt légitimes des travailleurs". Les travaux de la prochaine tripartite Abdelaziz Bouteflika a affirmé aussi que la réunion de la tripartite, prévue prochainement, sera l'occasion d'une concertation sur la poursuite du développement économique dans le sens de la consolidation de la dynamique enclenchée depuis quelques années en matière de création d'emplois et de baisse du taux de chômage. Le président Bouteflika a souligné que "la réunion de la tripartite, prévue prochainement, sera l'occasion d'une concertation sur la poursuite du développement économique dans le sens de la consolidation de la dynamique enclenchée depuis quelques années en matière de création d'emplois et de baisse du taux de chômage notamment parmi les diplômés universitaires et de perfectionnement du système national de formation pour être au diapason des exigences en terme de main d'oeuvre qualifiée". Le chef de l'Etat a en outre souligné que l'Algérie "vient d'amorcer une phase qui implique davantage de mobilisation et de concertation entre tous les acteurs économiques, les entreprises et les administrations économiques, notamment les travailleurs et leurs directions syndicales autour des priorités économiques", affirmant que "l'unification de nos efforts, l'engagement de tous sur la voie du renouvellement, la compétitivité des entreprises, le rendement des travailleurs et le climat propice à l'investissement, nous pourrons accélérer le développement de notre économie en lui conférant une ambition industrielle qui soit à la hauteur des défis auxquels elle fait face". Le chef de l'Etat a appelé l'ensemble des travailleuses et travailleurs à consolider leur soutien à l'effort national consenti en vue de réaliser les objectifs du pacte national économique et social de développement, tout en exhortant tous les partenaires sociaux et économiques dans le cadre de cet espace institutionnel national de concertation et de dialogue, à y adhérer afin d'accélérer le processus de réformes économiques et renforcer le développement industriel dans notre pays. Le président Bouteflika a, par ailleurs, affirmé que la constitutionnalisation du Conseil national économique et social (Cnes) devrait avoir un impact positif sur le développement dans notre pays, car "constituant un espace important pour l'éclosion d'idées et la recherche de solutions". "Il est vrai que l'Algérie traverse aujourd'hui un tournant économique difficile en raison des conjonctures économiques mondiales dans laquelle nous n'avons aucune responsabilité, ni nous Algériens, ni de nombreux peuples qui luttent quotidiennement pour arracher leur droit au développement et au progrès", a encore souligné le chef de l'Etat ajoutant que "le tournant ne saurait entamer notre détermination à aller de l'avant dans le processus de développement qui est le nôtre et nous y parviendrons avec l'aide de Dieu et avec l'effort de tous les enfants de notre chère patrie, jaloux de l'indépendance de l'Algérie sur tous les plans y compris économique".