Le contingent quantitatif d'importation de véhicules a été, finalement, réduit de 152.000 à 83.000 unités pour l'année 2016 dans le cadre des licences d'importation, a fait savoir le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb. Le contingent quantitatif d'importation de véhicules a été, finalement, réduit de 152.000 à 83.000 unités pour l'année 2016 dans le cadre des licences d'importation, a fait savoir le ministre du Commerce, Bakhti Belaïb. "83.000 c'est moins que le contingent de 152.000 unités annoncé. Nous verrons l'évolution et l'impact des mesures qui ont été prises. Par la suite, on peut éventuellement reprendre le contingent", a précisé le ministre. Le ministre a expliqué que le comité interministériel chargé de l'examen des demandes de ces licences a réparti ce quota des 83.000 véhicules entre les concessionnaires retenus, et dont la facture d'importation ne dépassera pas un milliard de dollars pour l'année en cours contre plus de trois milliards de dollars en 2015. "Nous avons fait l'effort de réduction car il faudrait rationaliser nos importations. Nous n'importerons plus de véhicules pour les stocker mais nous importerons essentiellement les véhicules dont les acheteurs sont déjà connus puisqu'ils paient des avances avant de recevoir leurs véhicules", a-t-il ajouté. A travers le dispositif des licences d'importation, a poursuivi le ministre, "nous avons exigé un certain nombre d'engagements d'investissements dans le domaine des véhicules, qu'il s'agisse de production de pièces détachées ou de participation à la production de ces véhicules sur notre marché". M. Belaïb avait signé, dimanche dernier, les licences d'importation de véhicules pour 40 concessionnaires retenus sur les 80 postulants. "83.000 c'est moins que le contingent de 152.000 unités annoncé. Nous verrons l'évolution et l'impact des mesures qui ont été prises. Par la suite, on peut éventuellement reprendre le contingent", a précisé le ministre. Le ministre a expliqué que le comité interministériel chargé de l'examen des demandes de ces licences a réparti ce quota des 83.000 véhicules entre les concessionnaires retenus, et dont la facture d'importation ne dépassera pas un milliard de dollars pour l'année en cours contre plus de trois milliards de dollars en 2015. "Nous avons fait l'effort de réduction car il faudrait rationaliser nos importations. Nous n'importerons plus de véhicules pour les stocker mais nous importerons essentiellement les véhicules dont les acheteurs sont déjà connus puisqu'ils paient des avances avant de recevoir leurs véhicules", a-t-il ajouté. A travers le dispositif des licences d'importation, a poursuivi le ministre, "nous avons exigé un certain nombre d'engagements d'investissements dans le domaine des véhicules, qu'il s'agisse de production de pièces détachées ou de participation à la production de ces véhicules sur notre marché". M. Belaïb avait signé, dimanche dernier, les licences d'importation de véhicules pour 40 concessionnaires retenus sur les 80 postulants.