Le club Wahiou el mouthakafine (Esprit des intellectuels) de l'association culturelle El Fadl d'Oran a créé une Médaille Bakhti-Benaouda pour perpétuer la mémoire de ce regretté homme de la culture en signe de reconnaissance à ses contributions, a annoncé à Oran le président du club. Le club Wahiou el mouthakafine (Esprit des intellectuels) de l'association culturelle El Fadl d'Oran a créé une Médaille Bakhti-Benaouda pour perpétuer la mémoire de ce regretté homme de la culture en signe de reconnaissance à ses contributions, a annoncé à Oran le président du club. En marge d'une conférence littéraire sur "la modernité et visions globales", organisée au siège du quotidien El Djoumhouria à l'occasion de la commémoration du 21e anniversaire de l'assassinat de Bakhti Benaouda le 22 mai 1995 par les hordes terroristes, Abbès Benmassoud a signalé que cette médaille décernée ce mercredi à la famille du défunt sera consacrée chaque année aux jeunes innovateurs et intellectuels qui ont émergé sur la scène culturelle. Cette rencontre, à laquelle ont assisté des intellectuels, des universitaires et des journalistes, a été marquée par des témoignages évoquant les qualités humaines et professionnelles du défunt Bakhti Benaouda. Le directeur général du quotidien El Djoumhouria, Bouziane Benachour a qualifié le regretté qui exerçait comme journaliste dans ce journal avant de rallier la maison de la culture comme "projet" en matière d'écriture et de traduction. Dans ce meme ordre d'idées, l'universitaire Abderrahmane Zaoui a évoqué que le défunt fut l'un des fondateurs du département de traduction à l'université d'Oran, soulignant qu'il demeure "une flamme qui ne s'éteindra jamais". Le défunt Bakhti avait organisé le premier colloque sur la traduction et la différence en 1995. Il était très actif dans l'animation de débats universitaires regroupant l'élite intellectuelle, a-t-il rappelé. Bakhti Benaouda a aussi enrichi des revues par des articles littéraires sur la modernité et la critique et l'expression du texte, a enchaîné le président de l'association Ahbab El Djoumhouria, Mohamed Souali, ajoutant que "le défunt avec ses riches idées pensait à l'après modernité et fut un projet culturel par excellence qui aimait voir l'Algérie heureuse". Organisée par l'association culturelle El Fadhl et la maison et la direction de la culture, cette rencontre a donné lieu à des communications sur la modernité et à des lectures poétiques de la poétesse Oum Siham. En marge d'une conférence littéraire sur "la modernité et visions globales", organisée au siège du quotidien El Djoumhouria à l'occasion de la commémoration du 21e anniversaire de l'assassinat de Bakhti Benaouda le 22 mai 1995 par les hordes terroristes, Abbès Benmassoud a signalé que cette médaille décernée ce mercredi à la famille du défunt sera consacrée chaque année aux jeunes innovateurs et intellectuels qui ont émergé sur la scène culturelle. Cette rencontre, à laquelle ont assisté des intellectuels, des universitaires et des journalistes, a été marquée par des témoignages évoquant les qualités humaines et professionnelles du défunt Bakhti Benaouda. Le directeur général du quotidien El Djoumhouria, Bouziane Benachour a qualifié le regretté qui exerçait comme journaliste dans ce journal avant de rallier la maison de la culture comme "projet" en matière d'écriture et de traduction. Dans ce meme ordre d'idées, l'universitaire Abderrahmane Zaoui a évoqué que le défunt fut l'un des fondateurs du département de traduction à l'université d'Oran, soulignant qu'il demeure "une flamme qui ne s'éteindra jamais". Le défunt Bakhti avait organisé le premier colloque sur la traduction et la différence en 1995. Il était très actif dans l'animation de débats universitaires regroupant l'élite intellectuelle, a-t-il rappelé. Bakhti Benaouda a aussi enrichi des revues par des articles littéraires sur la modernité et la critique et l'expression du texte, a enchaîné le président de l'association Ahbab El Djoumhouria, Mohamed Souali, ajoutant que "le défunt avec ses riches idées pensait à l'après modernité et fut un projet culturel par excellence qui aimait voir l'Algérie heureuse". Organisée par l'association culturelle El Fadhl et la maison et la direction de la culture, cette rencontre a donné lieu à des communications sur la modernité et à des lectures poétiques de la poétesse Oum Siham.