L'épreuve de langue arabe était "facile et à la portée de tous", selon la majorité des candidats au baccalauréat. A leur sortie du centre d'examen du lycée Al-Thaalibia d'Hussein Dey après avoir passé l'épreuve de langue arabe, Aya, Chaïma et Youcef qui concourent dans la branche lettres et langues étrangères ont indiqué que les deux sujets au choix étaient "faciles et à la portée de tous" et avaient "porté sur le programme scolaire". L'épreuve de langue arabe était "facile et à la portée de tous", selon la majorité des candidats au baccalauréat. A leur sortie du centre d'examen du lycée Al-Thaalibia d'Hussein Dey après avoir passé l'épreuve de langue arabe, Aya, Chaïma et Youcef qui concourent dans la branche lettres et langues étrangères ont indiqué que les deux sujets au choix étaient "faciles et à la portée de tous" et avaient "porté sur le programme scolaire". La majorité des candidats des branches scientifiques et littéraires ont choisi le deuxième sujet (texte en prose) pour son accessibilité par rapport au premier sujet qui a porté sur un poème de l'Egyptien Mahmoud Sami Al Baroudi. Au centre d'examen du lycée Hamia (Kouba), la candidate Selina élève en maths-techniques n'a pas caché sa satisfaction, indiquant que l'épreuve de langue arabe était "facile" et avait porté sur les cours dispensés. Le déroulement de l'épreuve dans ce centre a été marqué par "la rigueur et la bonne organisation". D'autres candidats de cette branche étaient unanimes quant à l'accessibilité de l'épreuve de langue arabe, indiquant avoir opté pour le deuxième sujet qui a porté sur un texte en prose du Cheikh Abdelhamid Ben Badis au lieu du premier sujet qui a porté sur un poème d'Elia Abou Madhi. Pour les candidats Hani, Abdelbaki et Nesrine (branche de sciences expérimentales) qui passent leurs épreuves au lycée des mathématiques (Kouba), le premier sujet était "accessible pour tous", soulignant que cela est "encourageant et rassurant pour les épreuves restantes, notamment pour les matières essentielles (mathématiques, physique et sciences naturelles)". A l'échelle nationale, 818.518 candidats passent les épreuves du baccalauréat jusqu'au 2 juin prochain, dont 549.593 candidats scolarisés et 268.925 candidats libres. 160.000 enseignants mobilisés à travers 2.561 centres d'examen La correction des copies sera confiée à 55.000 enseignants et s'étalera du 9 au 29 juin. Les résultats seront connus, au plus tard, début juillet prochain, avait récemment annoncé la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit. La majorité des candidats des branches scientifiques et littéraires ont choisi le deuxième sujet (texte en prose) pour son accessibilité par rapport au premier sujet qui a porté sur un poème de l'Egyptien Mahmoud Sami Al Baroudi. Au centre d'examen du lycée Hamia (Kouba), la candidate Selina élève en maths-techniques n'a pas caché sa satisfaction, indiquant que l'épreuve de langue arabe était "facile" et avait porté sur les cours dispensés. Le déroulement de l'épreuve dans ce centre a été marqué par "la rigueur et la bonne organisation". D'autres candidats de cette branche étaient unanimes quant à l'accessibilité de l'épreuve de langue arabe, indiquant avoir opté pour le deuxième sujet qui a porté sur un texte en prose du Cheikh Abdelhamid Ben Badis au lieu du premier sujet qui a porté sur un poème d'Elia Abou Madhi. Pour les candidats Hani, Abdelbaki et Nesrine (branche de sciences expérimentales) qui passent leurs épreuves au lycée des mathématiques (Kouba), le premier sujet était "accessible pour tous", soulignant que cela est "encourageant et rassurant pour les épreuves restantes, notamment pour les matières essentielles (mathématiques, physique et sciences naturelles)". A l'échelle nationale, 818.518 candidats passent les épreuves du baccalauréat jusqu'au 2 juin prochain, dont 549.593 candidats scolarisés et 268.925 candidats libres. 160.000 enseignants mobilisés à travers 2.561 centres d'examen La correction des copies sera confiée à 55.000 enseignants et s'étalera du 9 au 29 juin. Les résultats seront connus, au plus tard, début juillet prochain, avait récemment annoncé la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit.