Le ministère du Commerce a demandé aux concessionnaires automobiles l'application "stricte et rigoureuse" de la réglementation relative à l'exercice de leur activité notamment en ce qui concerne les prix des véhicules neufs. Le ministère du Commerce a demandé aux concessionnaires automobiles l'application "stricte et rigoureuse" de la réglementation relative à l'exercice de leur activité notamment en ce qui concerne les prix des véhicules neufs. Dans une lettre adressée dimanche 12 juin à l'Association des concessionnaires automobiles (AC2A), et dont TSA a publié hier une copie sur son site d'information, le département de Bakhti Belaïb affirme que ses services ont reçu "plusieurs requêtes émanant de clients et de revendeurs agréés, par lesquelles, ils dénoncent une augmentation injustifiée des prix de vente des véhicules neufs, ayant fait l'objet d'une commande au préalable". Le ministère du Commerce poursuit en expliquant que "ces concessionnaires justifient l'augmentation des prix de vente des véhicules neufs, par la dépréciation du dinar, tout en précisant que cette hausse leur permettra d'éviter les ventes à perte". Tout en jugeant "injustifiés" les arguments présentés par les concessionnaires, le ministère du Commerce rappelle les dispositions du décret du 15 février 2015 fixant les modalités d'exercice de l'activité des concessionnaires de véhicules neufs. "Le prix de vente figurant sur le bon de commande du véhicule doit être ferme, non révisable et non actualisable à la hausse (..)", écrit le chef du cabinet du ministère du Commerce. Il rappelle aussi qu'"au moment de la fixation du prix, le concessionnaire est tenu de prendre en considération toutes les charges y afférentes, particulièrement celles liées aux pertes de change". Dans une lettre adressée dimanche 12 juin à l'Association des concessionnaires automobiles (AC2A), et dont TSA a publié hier une copie sur son site d'information, le département de Bakhti Belaïb affirme que ses services ont reçu "plusieurs requêtes émanant de clients et de revendeurs agréés, par lesquelles, ils dénoncent une augmentation injustifiée des prix de vente des véhicules neufs, ayant fait l'objet d'une commande au préalable". Le ministère du Commerce poursuit en expliquant que "ces concessionnaires justifient l'augmentation des prix de vente des véhicules neufs, par la dépréciation du dinar, tout en précisant que cette hausse leur permettra d'éviter les ventes à perte". Tout en jugeant "injustifiés" les arguments présentés par les concessionnaires, le ministère du Commerce rappelle les dispositions du décret du 15 février 2015 fixant les modalités d'exercice de l'activité des concessionnaires de véhicules neufs. "Le prix de vente figurant sur le bon de commande du véhicule doit être ferme, non révisable et non actualisable à la hausse (..)", écrit le chef du cabinet du ministère du Commerce. Il rappelle aussi qu'"au moment de la fixation du prix, le concessionnaire est tenu de prendre en considération toutes les charges y afférentes, particulièrement celles liées aux pertes de change".