Après plusieurs semaines de cavale, le baron de la drogue Oussama Hanich, retourne à la prison d'El Harrach. Arrêté par la gendarmerie, il a été présenté, avant-hier , devant le procureur de la République près le tribunal d'El Harrach avant d'être placé sous mandat de dépôt par le juge d'instruction, a annoncé Mohamed Zatout, procureur de la République lors d'une déclaration faite à la presse. Après plusieurs semaines de cavale, le baron de la drogue Oussama Hanich, retourne à la prison d'El Harrach. Arrêté par la gendarmerie, il a été présenté, avant-hier , devant le procureur de la République près le tribunal d'El Harrach avant d'être placé sous mandat de dépôt par le juge d'instruction, a annoncé Mohamed Zatout, procureur de la République lors d'une déclaration faite à la presse. Après s'être évadé de la prison d'El Harrach le 23 avril dernier, cet individu a été arrêté mercredi 15 juin vers 01h00 du matin, a précisé la même source. Oussama Hanich est poursuivi par le pôle spécialisé du tribunal de Sidi M'hamed pour « constitution d'association de malfaiteurs » et « trafic et importation de drogue ». Après son évasion, il est également poursuivi pour constitution d'une association de malfaiteurs pour la préparation du délit de fuite avec complicité de gardiens et la corruption, selon le procureur. Le directeur de la prison et deux gardiens ont été suspendus pour « laisser-aller » dans le cadre de cette affaire, selon nos informations. Après s'être évadé de la prison d'El Harrach le 23 avril dernier, cet individu a été arrêté mercredi 15 juin vers 01h00 du matin, a précisé la même source. Oussama Hanich est poursuivi par le pôle spécialisé du tribunal de Sidi M'hamed pour « constitution d'association de malfaiteurs » et « trafic et importation de drogue ». Après son évasion, il est également poursuivi pour constitution d'une association de malfaiteurs pour la préparation du délit de fuite avec complicité de gardiens et la corruption, selon le procureur. Le directeur de la prison et deux gardiens ont été suspendus pour « laisser-aller » dans le cadre de cette affaire, selon nos informations.