L'état des routes reste chaotique. Crevasses, nids-de-poules et chaussées défectueuses résument ces maux. Pourtant l'Etat a injecté des milliards pour leur entretien. S'il faut prendre les chemins communaux ou routes nationales dans la périphérie algéroise, cela prend un risque d'y circuler. L'état des routes reste chaotique. Crevasses, nids-de-poules et chaussées défectueuses résument ces maux. Pourtant l'Etat a injecté des milliards pour leur entretien. S'il faut prendre les chemins communaux ou routes nationales dans la périphérie algéroise, cela prend un risque d'y circuler. Et partout, c'est la même situation pour des routes qui, une fois bitumées, donnent l'allure de routes neuves et inaltérables. Sauf que l'apparition de crevasses et nids-depoules en plein milieu de la chaussée peuvent causer la consternation et la déception. En effet, l'Algérie qui dispose d'un vaste réseau routier de 112.000 km ne peut omettre de ces réalisations que 60 % de réseau reste encore défaillant. Des anomalies et malfaçons sont relevées périodiquement dans des endroits épars, à telle enseigne que la conduite dans ces routes devient dangereuse et provoque malheureusement des accidents mortels. On relève même la dangerosité de certaines cités mal éclairées de nuit avec des chaussées bombées et parfois des travaux mal achevés qui obligent les automobilistes à faire des détours ou de créer des embouteillages interminables. Dans une note de conjoncture du ministère des Travaux publics, les coûts d'entretiens est de 20 milliards DA alors que pour retaper tout le réseau routier, des sommes faramineuses ont été injectées. Les résultats démontrent parfois le contraire de l'objectif attendu qui est d'étendre ce réseau jusqu'à 142.000 km à terme. Mais la déception se constate dans la façon de goudronner les chaussées avec des couches superposées de bitume qui ne mettent pas longtemps à se dégrader. Comment expliquer que sous d'autres cieux, les routes bien que vieilles de plusieurs décennies n'aient pas pris la moindre ride ? Les spécialistes en ouvrage d'art mettent d'abord la qualité des matériaux utilisés et les techniques récentes de bitumage qui peuvent garantir un asphalte de longue durée. Et l'entretien cyclique pourra ainsi corriger les défaillances si elles viennent d'apparaître. Où en est-on en Algérie de tout cela ? La réalité fait que les entreprises fort nombreuses d'ailleurs dans le secteur font fi de certaines règles de réalisation des routes. Sans dire que ce sont les routes nationales et communales qui payent le prix de ces négligences. Le ministre des Transports et des Travaux publics a déjà signalé que des sanctions allaient bientôt pleuvoir sur les entreprises coupables de ces défaillances. Le laboratoire de contrôle des travaux publics est le seul organisme actuel qui puisse valider les résultats de la qualité et la solidité des routes. Et de là il est recommandé que toute réalisation doit se faire selon des normes standard. Pour le respect de la qualité, le ministre Boudjemaâ Talai promet de sévir dans ses prochaines tournées d'inspection dans les différentes wilayas. Espérons que des correctifs seront apportés d'ici là. Et partout, c'est la même situation pour des routes qui, une fois bitumées, donnent l'allure de routes neuves et inaltérables. Sauf que l'apparition de crevasses et nids-depoules en plein milieu de la chaussée peuvent causer la consternation et la déception. En effet, l'Algérie qui dispose d'un vaste réseau routier de 112.000 km ne peut omettre de ces réalisations que 60 % de réseau reste encore défaillant. Des anomalies et malfaçons sont relevées périodiquement dans des endroits épars, à telle enseigne que la conduite dans ces routes devient dangereuse et provoque malheureusement des accidents mortels. On relève même la dangerosité de certaines cités mal éclairées de nuit avec des chaussées bombées et parfois des travaux mal achevés qui obligent les automobilistes à faire des détours ou de créer des embouteillages interminables. Dans une note de conjoncture du ministère des Travaux publics, les coûts d'entretiens est de 20 milliards DA alors que pour retaper tout le réseau routier, des sommes faramineuses ont été injectées. Les résultats démontrent parfois le contraire de l'objectif attendu qui est d'étendre ce réseau jusqu'à 142.000 km à terme. Mais la déception se constate dans la façon de goudronner les chaussées avec des couches superposées de bitume qui ne mettent pas longtemps à se dégrader. Comment expliquer que sous d'autres cieux, les routes bien que vieilles de plusieurs décennies n'aient pas pris la moindre ride ? Les spécialistes en ouvrage d'art mettent d'abord la qualité des matériaux utilisés et les techniques récentes de bitumage qui peuvent garantir un asphalte de longue durée. Et l'entretien cyclique pourra ainsi corriger les défaillances si elles viennent d'apparaître. Où en est-on en Algérie de tout cela ? La réalité fait que les entreprises fort nombreuses d'ailleurs dans le secteur font fi de certaines règles de réalisation des routes. Sans dire que ce sont les routes nationales et communales qui payent le prix de ces négligences. Le ministre des Transports et des Travaux publics a déjà signalé que des sanctions allaient bientôt pleuvoir sur les entreprises coupables de ces défaillances. Le laboratoire de contrôle des travaux publics est le seul organisme actuel qui puisse valider les résultats de la qualité et la solidité des routes. Et de là il est recommandé que toute réalisation doit se faire selon des normes standard. Pour le respect de la qualité, le ministre Boudjemaâ Talai promet de sévir dans ses prochaines tournées d'inspection dans les différentes wilayas. Espérons que des correctifs seront apportés d'ici là.