Le péage prévu pour l'autoroute Est-Ouest est tombé à l'eau. Boudjemaâ Talai assure qu'aucun paiement n'est à l'ordre du jour confirmant ainsi la gratuité de l'usage des tronçons autoroutiers. Le péage prévu pour l'autoroute Est-Ouest est tombé à l'eau. Boudjemaâ Talai assure qu'aucun paiement n'est à l'ordre du jour confirmant ainsi la gratuité de l'usage des tronçons autoroutiers. Le ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjemaâ Talai, a annoncé publiquement que l'autoroute sera gratuite et qu'aucun péage n'est prévu à l'horizon. Une décision qui a été prise et du moins surprenante car son prédécesseur aux Travaux publics avait annoncé le mois de mars dernier que "la tarification pour l'autoroute sera appliquée dès 2017 et qu'elle sera raisonnable et prendra en considération des facteurs socioéconomiques". Mieux, il avait même indiqué que "cette tarification sera calculée en fonction de la nature du véhicule, de son volume ainsi que des coûts des services assurés aux usagers de l'autoroute". Ajoutons à cela que 48 stations de péage avaient été prévues à cet effet. Mais voilà que cette décision a été pleinement remise en cause sans donner trop d'explications. Or selon des sources concordantes, il semblerait qu'il y ait plusieurs thèses qui justifieraient le recours à la gratuité parmi les quelles il existerait des différends sur l'application des tarifs de péage. Les propositions sont allées à mettre uniquement le coût au kilomètre pour l'usager qui doit être retenu sur une distance parcourue. Une étude révèle que le coût au kilomètre reste plus cher si l'on tient compte de certains détails qui ont d'ailleurs révélé que le coût initial au kilomètre serait de 5 DA. Et il faudra que l'automobiliste s'acquitte de 1.350 DAsur une distance entre Alger et Sétif. En revanche selon une autre étude entamée par la Banque mondiale, ce coût se situerait entre 1 et 2 DA le kilomètre si l'on veut atteindre un taux de rentabilité à 20 %. Mais qu'est ce qui a fait donc fait fléchir le gouvernement ? Il semblerait tout au moins que le montant global de l'investissement autoroutier de 13 milliards de dollars ait fait l'objet de surcoûts faramineux justifiant toujours le recours aux grands groupes étrangers. Mais cette fois, le ministre a agi sur une instruction présidentielle pour ne plus recourir aux étrangers et de confier la réalisation de ce qui reste de l'autoroute aux seules entreprises nationales, ce qui réduirait nettement les budgets en devises. L'autre alternative dans le choix de la gratuité de l'usage de l'autoroute Est-Ouest serait dans l'augmentation des tarifs du carburant et les prix excessifs des véhicules neufs. Une autre tarification risquerait de porter un coup sérieux aux automobilistes qui se plaignent déjà de factures abondantes (coût revu à la hausse de la vignette, de l'assurance, des frais d'entretien...). Il faudra ajouter à cela que le budget pour entretenir l'autoroute est aussi important. Il serait financé de certaines taxes que payent les contribuables et il est donc inutile de faire payer plus les usagers de l'autoroute. D'autre part, il faut signaler l'énorme retard pris en matière d'équipements des autoroutes qui sont importés et très coûteux. On pense au matériel destiné aux centres de péages, à la vidéo surveillance et les 22 centres d'entretiens et les 154 stations de recueil de données sur le trafic routier qui doivent justifier d'équipements modernes et sophistiqués. Avec les restrictions budgétaires décidées, le gouvernement a finalement reporté ces projets jusqu'à 2018. Le ministre des Transports et des Travaux publics, Boudjemaâ Talai, a annoncé publiquement que l'autoroute sera gratuite et qu'aucun péage n'est prévu à l'horizon. Une décision qui a été prise et du moins surprenante car son prédécesseur aux Travaux publics avait annoncé le mois de mars dernier que "la tarification pour l'autoroute sera appliquée dès 2017 et qu'elle sera raisonnable et prendra en considération des facteurs socioéconomiques". Mieux, il avait même indiqué que "cette tarification sera calculée en fonction de la nature du véhicule, de son volume ainsi que des coûts des services assurés aux usagers de l'autoroute". Ajoutons à cela que 48 stations de péage avaient été prévues à cet effet. Mais voilà que cette décision a été pleinement remise en cause sans donner trop d'explications. Or selon des sources concordantes, il semblerait qu'il y ait plusieurs thèses qui justifieraient le recours à la gratuité parmi les quelles il existerait des différends sur l'application des tarifs de péage. Les propositions sont allées à mettre uniquement le coût au kilomètre pour l'usager qui doit être retenu sur une distance parcourue. Une étude révèle que le coût au kilomètre reste plus cher si l'on tient compte de certains détails qui ont d'ailleurs révélé que le coût initial au kilomètre serait de 5 DA. Et il faudra que l'automobiliste s'acquitte de 1.350 DAsur une distance entre Alger et Sétif. En revanche selon une autre étude entamée par la Banque mondiale, ce coût se situerait entre 1 et 2 DA le kilomètre si l'on veut atteindre un taux de rentabilité à 20 %. Mais qu'est ce qui a fait donc fait fléchir le gouvernement ? Il semblerait tout au moins que le montant global de l'investissement autoroutier de 13 milliards de dollars ait fait l'objet de surcoûts faramineux justifiant toujours le recours aux grands groupes étrangers. Mais cette fois, le ministre a agi sur une instruction présidentielle pour ne plus recourir aux étrangers et de confier la réalisation de ce qui reste de l'autoroute aux seules entreprises nationales, ce qui réduirait nettement les budgets en devises. L'autre alternative dans le choix de la gratuité de l'usage de l'autoroute Est-Ouest serait dans l'augmentation des tarifs du carburant et les prix excessifs des véhicules neufs. Une autre tarification risquerait de porter un coup sérieux aux automobilistes qui se plaignent déjà de factures abondantes (coût revu à la hausse de la vignette, de l'assurance, des frais d'entretien...). Il faudra ajouter à cela que le budget pour entretenir l'autoroute est aussi important. Il serait financé de certaines taxes que payent les contribuables et il est donc inutile de faire payer plus les usagers de l'autoroute. D'autre part, il faut signaler l'énorme retard pris en matière d'équipements des autoroutes qui sont importés et très coûteux. On pense au matériel destiné aux centres de péages, à la vidéo surveillance et les 22 centres d'entretiens et les 154 stations de recueil de données sur le trafic routier qui doivent justifier d'équipements modernes et sophistiqués. Avec les restrictions budgétaires décidées, le gouvernement a finalement reporté ces projets jusqu'à 2018.