Un attentat suicide revendiqué par le groupe extrémiste sunnite Etat islamique a fait, dimanche, au moins 15 morts dans un quartier chiite de Baghdad. L'EI a revendiqué l'attaque dans un communiqué en affirmant avoir ciblé des soldats de l'armée irakienne et des membres d'unités paramilitaires progouvernementales. Un attentat suicide revendiqué par le groupe extrémiste sunnite Etat islamique a fait, dimanche, au moins 15 morts dans un quartier chiite de Baghdad. L'EI a revendiqué l'attaque dans un communiqué en affirmant avoir ciblé des soldats de l'armée irakienne et des membres d'unités paramilitaires progouvernementales. Les djihadistes mènent régulièrement des attentats visant notamment la communauté chiite, majoritaire en Irak. Le 3 juillet, ils avaient perpétré à Baghdad l'un des attentats les plus sanglants qu'ait connu l'Irak avec 292 morts et 200 blessés dans un secteur commerçant du centre de la capitale où de nombreux habitants faisaient leurs courses pour la fête de l'Aïd el-fitr. 5 jours plus tard, 40 personnes avaient été tuées dans une attaque de l'EI contre un mausolée chiite dans la ville de Balad, à 70 km au nord de la capitale. L'EI s'était emparé de vastes pans du territoire irakien à la faveur d'une offensive fulgurante en juin 2014. Mais les forces gouvernementales ont depuis repris du terrain avec le soutien aérien de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis. Les djihadistes mènent régulièrement des attentats visant notamment la communauté chiite, majoritaire en Irak. Le 3 juillet, ils avaient perpétré à Baghdad l'un des attentats les plus sanglants qu'ait connu l'Irak avec 292 morts et 200 blessés dans un secteur commerçant du centre de la capitale où de nombreux habitants faisaient leurs courses pour la fête de l'Aïd el-fitr. 5 jours plus tard, 40 personnes avaient été tuées dans une attaque de l'EI contre un mausolée chiite dans la ville de Balad, à 70 km au nord de la capitale. L'EI s'était emparé de vastes pans du territoire irakien à la faveur d'une offensive fulgurante en juin 2014. Mais les forces gouvernementales ont depuis repris du terrain avec le soutien aérien de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis.