Les conditions de déplacement et de résidence des ressortissants algériens et tunisiens et les moyens de les améliorer étaient au centre des discussions qui ont eu lieu mardi entre le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Hassan Rabhi et le chargé d'affaires à l'ambassade de Tunisie à Alger, Chokri Latif. Les conditions de déplacement et de résidence des ressortissants algériens et tunisiens et les moyens de les améliorer étaient au centre des discussions qui ont eu lieu mardi entre le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Hassan Rabhi et le chargé d'affaires à l'ambassade de Tunisie à Alger, Chokri Latif. L'affaire de l'imposition d'une taxe de 30 dinars tunisiens (2.200 DA) à tous les Algériens souhaitant se rendre en Tunisie en voiture, qui a généré une grande tension au niveau des frontières de deux pays avec les manifestations des Algériens en colère, a fini par faire réagir l'Algérie. Une réaction, qui a un peu tardé, estiment de nombreux observateurs. Ainsi donc le chargé d'affaires de l'ambassade de Tunisie à Alger a été convoqué au niveau du ministère algérien des Affaires étrangères (MAE). Cependant le communiqué, rendu public par le MAE, ne fait nullement mention d'une convocation mais parle plutôt de discussions entre les deux parties. Ainsi les conditions de déplacement et de résidence des ressortissants algériens et tunisiens et les moyens de les améliorer étaient au centre des discussions qui ont eu lieu mardi entre le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Hassan Rabhi, et le chargé d'affaires à l'ambassade de Tunisie à Alger, Chokri Latif. Le communiqué du MAE note que lors de cette audience accordée par Rabhi au chargé d'affaires l'ambassade de Tunisie, les deux parties "ont passé en revue les conditions de déplacement et de résidence des ressortissants des deux pays et les moyens de les améliorer davantage pour les hisser au niveau des relations privilégiées liant les deux pays et les deux peuples". Il ressort clairement de ce communiqué que l'affaire de cette taxe et ses conséquences n'a pas du tout été mentionnée, en tout cas en termes clairs et précis. Pourtant cette affaire était bel et bien au centre ce cette "audience" et de ces "discussions". Sauf que le communiqué était empreint de termes diplomatiques. En effet les "conditions de déplacement" des citoyens ont été au coeur de cette rencontre et il est évident que le secrétaire général du MAE a dû dire, de vive voix, au diplomate tunisien le mécontentement d'Alger suite à cette imposition d'une taxe aux ressortissants algériens. Une décision certes souveraine de ce pays, mais cette mesure, adoptée par le Parlement tunisien, a suscité une certaine colère des touristes algériens se rendant dans ce pays. La colère est plus perceptible chez les habitants des zones frontalières qui font d'incessants va-etvient en direction de la Tunisie. On compred dès lors pourquoi ils ont organisé plusieurs manifestations, tant au niveau des postes frontières que dans la ville de Tébessa. Dans cette ville les protestataires ont organisé un rassemblement devant le consulat de Tunisie où ils ont revendiqué l'annulation de cette taxe. Les Algériens n'ont pas manqué de faire montre de leur perplexité du fait de la non imposition, par les autorités algériennes, d'une taxe similaire pour les ressortissants tunisiens se rendant en Algérie. En effet dans cette affaire l'Algérie n'a pas imposé la réciprocité. "C'est au Parlement algérien de décider sur cette question" dira l'ambassadeur algérien en Tunisie, Abdelkader Hadjar. Les tensions générées par cette affaire ont perturbé le fonctionnement des postes frontières au point d'être, pour certains, fermés momentanément. A ce propos justement la partie tunisienne a annoncé que ce sont les Algériens qui ont fermés leurs frontières, ce qui a certainement été mal apprécié du côté d'Alger. C'est dire qu'entre les deux parties il y a certainement eu une grande explication. Les deux parties ont évoqué également, selon le communiqué, "les conditions d'accueil des citoyens algériens en déplacement en Tunisie durant la saison estivale, tout en soulignant l'importance de poursuivre les efforts pour lever les obstacles entravant le mouvement de déplacement de personnes entre l'Algérie et la Tunisie qui reste une destination touristique privilégiée pour les Algériens". L'affaire de l'imposition d'une taxe de 30 dinars tunisiens (2.200 DA) à tous les Algériens souhaitant se rendre en Tunisie en voiture, qui a généré une grande tension au niveau des frontières de deux pays avec les manifestations des Algériens en colère, a fini par faire réagir l'Algérie. Une réaction, qui a un peu tardé, estiment de nombreux observateurs. Ainsi donc le chargé d'affaires de l'ambassade de Tunisie à Alger a été convoqué au niveau du ministère algérien des Affaires étrangères (MAE). Cependant le communiqué, rendu public par le MAE, ne fait nullement mention d'une convocation mais parle plutôt de discussions entre les deux parties. Ainsi les conditions de déplacement et de résidence des ressortissants algériens et tunisiens et les moyens de les améliorer étaient au centre des discussions qui ont eu lieu mardi entre le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Hassan Rabhi, et le chargé d'affaires à l'ambassade de Tunisie à Alger, Chokri Latif. Le communiqué du MAE note que lors de cette audience accordée par Rabhi au chargé d'affaires l'ambassade de Tunisie, les deux parties "ont passé en revue les conditions de déplacement et de résidence des ressortissants des deux pays et les moyens de les améliorer davantage pour les hisser au niveau des relations privilégiées liant les deux pays et les deux peuples". Il ressort clairement de ce communiqué que l'affaire de cette taxe et ses conséquences n'a pas du tout été mentionnée, en tout cas en termes clairs et précis. Pourtant cette affaire était bel et bien au centre ce cette "audience" et de ces "discussions". Sauf que le communiqué était empreint de termes diplomatiques. En effet les "conditions de déplacement" des citoyens ont été au coeur de cette rencontre et il est évident que le secrétaire général du MAE a dû dire, de vive voix, au diplomate tunisien le mécontentement d'Alger suite à cette imposition d'une taxe aux ressortissants algériens. Une décision certes souveraine de ce pays, mais cette mesure, adoptée par le Parlement tunisien, a suscité une certaine colère des touristes algériens se rendant dans ce pays. La colère est plus perceptible chez les habitants des zones frontalières qui font d'incessants va-etvient en direction de la Tunisie. On compred dès lors pourquoi ils ont organisé plusieurs manifestations, tant au niveau des postes frontières que dans la ville de Tébessa. Dans cette ville les protestataires ont organisé un rassemblement devant le consulat de Tunisie où ils ont revendiqué l'annulation de cette taxe. Les Algériens n'ont pas manqué de faire montre de leur perplexité du fait de la non imposition, par les autorités algériennes, d'une taxe similaire pour les ressortissants tunisiens se rendant en Algérie. En effet dans cette affaire l'Algérie n'a pas imposé la réciprocité. "C'est au Parlement algérien de décider sur cette question" dira l'ambassadeur algérien en Tunisie, Abdelkader Hadjar. Les tensions générées par cette affaire ont perturbé le fonctionnement des postes frontières au point d'être, pour certains, fermés momentanément. A ce propos justement la partie tunisienne a annoncé que ce sont les Algériens qui ont fermés leurs frontières, ce qui a certainement été mal apprécié du côté d'Alger. C'est dire qu'entre les deux parties il y a certainement eu une grande explication. Les deux parties ont évoqué également, selon le communiqué, "les conditions d'accueil des citoyens algériens en déplacement en Tunisie durant la saison estivale, tout en soulignant l'importance de poursuivre les efforts pour lever les obstacles entravant le mouvement de déplacement de personnes entre l'Algérie et la Tunisie qui reste une destination touristique privilégiée pour les Algériens".