Le Coordonnateur des secours d'urgence des Nations unies, Stephen O'Brien, a déclaré que la "communauté humanitaire mondiale était déterminée à ne pas laisser les désaccords politiques, les conflits ou les catastrophes naturelles entraver sa capacité à aider les gens qui en ont le plus besoin". Le Coordonnateur des secours d'urgence des Nations unies, Stephen O'Brien, a déclaré que la "communauté humanitaire mondiale était déterminée à ne pas laisser les désaccords politiques, les conflits ou les catastrophes naturelles entraver sa capacité à aider les gens qui en ont le plus besoin". "Nous devons être leur espoir, nous pouvons être ceux qui arrivent à les atteindre, même si personne d'autre n'y arrive", a déclaré jeudi M. O'Brien dans un entretien avec le Centre d'actualités de l'Onu, avant la célébration de la Journée mondiale de l'aide humanitaire. Selon lui, il est également "important que les acteurs humanitaires, qui sont neutres et impartiaux, bénéficient d'un accès sûr et sans entrave". Evoquant en particulier la situation humanitaire désespérée en Syrie, le chef de l'humanitaire de l'Onu a souligné combien il était "urgent de garantir un accès sûr pour les travailleurs humanitaires dans ce pays". Les parties prenantes au conflit "et tous ceux qui ont une influence sur elles doivent reconnaître qu'il est temps d'avoir un cessez-le-feu", a-t-il ajouté. "Nous devons être leur espoir, nous pouvons être ceux qui arrivent à les atteindre, même si personne d'autre n'y arrive", a déclaré jeudi M. O'Brien dans un entretien avec le Centre d'actualités de l'Onu, avant la célébration de la Journée mondiale de l'aide humanitaire. Selon lui, il est également "important que les acteurs humanitaires, qui sont neutres et impartiaux, bénéficient d'un accès sûr et sans entrave". Evoquant en particulier la situation humanitaire désespérée en Syrie, le chef de l'humanitaire de l'Onu a souligné combien il était "urgent de garantir un accès sûr pour les travailleurs humanitaires dans ce pays". Les parties prenantes au conflit "et tous ceux qui ont une influence sur elles doivent reconnaître qu'il est temps d'avoir un cessez-le-feu", a-t-il ajouté.