Nouveau drame sur nos routes. Un véritable décor apocalyptique s'est installé en ce début de soirée d'avant-hier vendredi. Nouveau drame sur nos routes. Un véritable décor apocalyptique s'est installé en ce début de soirée d'avant-hier vendredi. On a assisté, à chaque fois, aux multitudes d'accidents dont les causes peuvent être variées, imputées au conducteur telles que : une conduite sous l'emprise de l'alcool, un excès de vitesse, l'usage du téléphone au volant, la fatigue et la somnolence, une conduite sous l'influence de stupéfiants, etc., mais cette fois-ci, c'est un accident phénoménal sur une autoroute "made in Algéria", dont la scène n'a rien à envier à un film hollywoodien de science-fiction, où des avions et des bateaux disparaissent au fond du triangle des Bermudes ou un film sur la chaîne Tv "Chasse et pêche", où les animaux sont surpris par un piège, un trou dressé par des braconniers. Dans notre imagination, telle est la situation dramatique qu'ont vécue cinq automobilistes empruntant l'autoroute Ben Aknoun - Zeralda. Selon des témoignages, il étai 21 h 10, lorsque ces derniers ont été surpris par un grand trou, d'une profondeur de 4 mètres, de 6 mètres de large et d'une longueur de 4 mètres, causé par l'effondrement d'une partie de l'autoroute au niveau de l'endroit dit le "S" de Ben-Aknoun. Tout de suite, les secours se sont organisés avant l'arrivée des premiers véhicules des services de sécurité et de la Protection civile ainsi que des ambulances, pour secourir et évacuer les victimes. Un nouveau bilan des victimes est établi à quatorze blessés après un premier bilan évoquant onze blessés (6 hommes et 5 femmes), et un précédent bilan faisant état de 6 blessés (5 hommes et une femme). Face à cette situation toutes les explications accessibles à des imaginations débridées ont, semble-t-il, été formulées. Le président de l'assemblée populaire communale de Ben-Aknoun avance qu'il pourrait s'agir d'infiltrations d'eau dues aux dernières précipitations. Pour un expert des travaux publics, qui est du même avis, la cause serait la "qualité de la route". D'autres évoquent un oued "lekhel" qui se trouvait jadis au même endroit. Mais pour l'heure, même les responsables de la Protection civile veulent rester prudents et laisser faire les experts pour déterminer l'origine de cette catastrophe pour éviter d'autres accidents de ce genre. Cet accident a provoqué un énorme bouchon puisque l'axe Dar El Beïda-Ben Aknoun-Zéralda et inverse ont été fermés à la circulation. Nassim Bernaoui, chargé de la communication à la Protection civile, a aussi évoqué un autre glissement de terrain au niveau d'Ouled Fayet dû aux pluies de ces dernières heures. Il est à noter que le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh et le colonel Mustapha El-Habiri, directeur général de la Protection civile, se sont déplacés sur les lieux de l'accident promettant que les travaux de réfection débuteront de suite pour ouvrir l'axe le plus tôt possible, ajoutant qu'une enquête est ouverte pour déterminer, avec exactitude, l'origine de cet affaissement. Mais de l'avis de tout le monde en particulier des conducteurs, nos routes sont de moins en moins en état de supporter le trafic quotidien. Pire, on pourrait parler de véritable délabrement dans certains cas tandis que les voies de circulation se changent en routes de tous les dangers dès que les conditions atmosphériques se gâtent. Alors que nos dirigeants se concentrent sur d'autres détails pour faire face au "terrorisme routier", les mêmes oublient que l'état de la route est un facteur accidentogène qui prend une proportion inquiétante. Une régression dans l'état des infrastructures constaté par tout le monde qui tire la sonnette d'alarme à chaque fois. Et il faut dire qu'il est temps de réagir. Car parallèlement à cela, le nombre d'accidents de la route repart à la hausse. Notre patrimoine routier est en voie de devenir un chef d'oeuvre en péril. Il suffit juste de faire attention en empruntant les voies communales, les routes nationales et les autoroutes. On a assisté, à chaque fois, aux multitudes d'accidents dont les causes peuvent être variées, imputées au conducteur telles que : une conduite sous l'emprise de l'alcool, un excès de vitesse, l'usage du téléphone au volant, la fatigue et la somnolence, une conduite sous l'influence de stupéfiants, etc., mais cette fois-ci, c'est un accident phénoménal sur une autoroute "made in Algéria", dont la scène n'a rien à envier à un film hollywoodien de science-fiction, où des avions et des bateaux disparaissent au fond du triangle des Bermudes ou un film sur la chaîne Tv "Chasse et pêche", où les animaux sont surpris par un piège, un trou dressé par des braconniers. Dans notre imagination, telle est la situation dramatique qu'ont vécue cinq automobilistes empruntant l'autoroute Ben Aknoun - Zeralda. Selon des témoignages, il étai 21 h 10, lorsque ces derniers ont été surpris par un grand trou, d'une profondeur de 4 mètres, de 6 mètres de large et d'une longueur de 4 mètres, causé par l'effondrement d'une partie de l'autoroute au niveau de l'endroit dit le "S" de Ben-Aknoun. Tout de suite, les secours se sont organisés avant l'arrivée des premiers véhicules des services de sécurité et de la Protection civile ainsi que des ambulances, pour secourir et évacuer les victimes. Un nouveau bilan des victimes est établi à quatorze blessés après un premier bilan évoquant onze blessés (6 hommes et 5 femmes), et un précédent bilan faisant état de 6 blessés (5 hommes et une femme). Face à cette situation toutes les explications accessibles à des imaginations débridées ont, semble-t-il, été formulées. Le président de l'assemblée populaire communale de Ben-Aknoun avance qu'il pourrait s'agir d'infiltrations d'eau dues aux dernières précipitations. Pour un expert des travaux publics, qui est du même avis, la cause serait la "qualité de la route". D'autres évoquent un oued "lekhel" qui se trouvait jadis au même endroit. Mais pour l'heure, même les responsables de la Protection civile veulent rester prudents et laisser faire les experts pour déterminer l'origine de cette catastrophe pour éviter d'autres accidents de ce genre. Cet accident a provoqué un énorme bouchon puisque l'axe Dar El Beïda-Ben Aknoun-Zéralda et inverse ont été fermés à la circulation. Nassim Bernaoui, chargé de la communication à la Protection civile, a aussi évoqué un autre glissement de terrain au niveau d'Ouled Fayet dû aux pluies de ces dernières heures. Il est à noter que le wali d'Alger, Abdelkader Zoukh et le colonel Mustapha El-Habiri, directeur général de la Protection civile, se sont déplacés sur les lieux de l'accident promettant que les travaux de réfection débuteront de suite pour ouvrir l'axe le plus tôt possible, ajoutant qu'une enquête est ouverte pour déterminer, avec exactitude, l'origine de cet affaissement. Mais de l'avis de tout le monde en particulier des conducteurs, nos routes sont de moins en moins en état de supporter le trafic quotidien. Pire, on pourrait parler de véritable délabrement dans certains cas tandis que les voies de circulation se changent en routes de tous les dangers dès que les conditions atmosphériques se gâtent. Alors que nos dirigeants se concentrent sur d'autres détails pour faire face au "terrorisme routier", les mêmes oublient que l'état de la route est un facteur accidentogène qui prend une proportion inquiétante. Une régression dans l'état des infrastructures constaté par tout le monde qui tire la sonnette d'alarme à chaque fois. Et il faut dire qu'il est temps de réagir. Car parallèlement à cela, le nombre d'accidents de la route repart à la hausse. Notre patrimoine routier est en voie de devenir un chef d'oeuvre en péril. Il suffit juste de faire attention en empruntant les voies communales, les routes nationales et les autoroutes.