La sélection algérienne de handball (dames) s'est envolée hier dans l'après-midi pour l'Angola, où elle participera à la 22e édition de la Coupe d'Afrique des nations, prévue du 28 novembre au 7 décembre. La sélection algérienne de handball (dames) s'est envolée hier dans l'après-midi pour l'Angola, où elle participera à la 22e édition de la Coupe d'Afrique des nations, prévue du 28 novembre au 7 décembre. Il est difficile d'imaginer que la sélection nationale de handball, qui a rallié hier soir l'Angola, pour y participer à cette édition de la Coupe d'Afrique, fera le déplacement dans les meilleures conditions possibles. En plus d'une préparation jugée très insuffisante, avec deux stages seulement au Portugal et en France, l'équipe a connu un changement "surprenant" dans son staff technique. L'entraîneur Guernane Zoheir avoue avoir été surpris lors du stage à Paris de la présence d'un autre entraîneur pour diriger la sélection nationale. Il s'agit du Franco-Serbe, Semir Zuzo. "À notre arrivée en France pour un stage de préparation, nous avons constaté la présence sur place d'un entraîneur franco-serbe pour diriger l'équipe. Personne n'était au courant de l'arrivée de cet entraîneur", s'est contenté de dire l'entraîneur Guernane Zoheir avant le départ pour l'Angola. Le vice-président de la Fédération algérienne de handball (FAHB), également chef de délégation algérienne en Angola, Amrane Stamboli avoue que la désignation de cet entraîneur a pour unique objectif de renforcer le staff technique. "Dans l'équipe nationale, il n'existe pas d'entraîneur numéro 1 et 2, il y a tout un staff technique qui travaille en étroite collaboration. Ce qui s'est passé, ce n'est qu'un malentendu. L'entraîneurGuernane est à féliciter pour le travail qu'il a fait pendant toute cette période notamment dans les moments difficiles. Mais, on ne peut pas participer à une compétition internationale avec un seul entraîneur", a expliqué de son côté le vice-président de la FAHB.La sélection algérienne participera à cette 22e édition de la Coupe d'Afrique avec une équipe totalement rajeunie. "Un dur travail a été effectué pendant toute cette période ayant précédé surtout le départ total de toutes les anciennes joueuses. Aujourd'hui, nous allons participer à cette édition avec une équipe composée, dans sa majorité, des joueuse de moins de 20 ans. Nous n'avons pas d'autre choix à faire", a indiqué ce responsable de l'instance nationale. Concernant les préparatifs, l'entraîneur "adjoint" Guernane avoue que l'équipe n'a pas bénéficié des moyens nécessaires pour une meilleure préparation. "Une équipe qui n'a effectué que deux stages l'un au Portugal et l'autre en France, ne peut pas prétendre à une place sur le podium. Mais, nous avons essayé de compenser tout ça par un travail psychologique des joueuses", a-t-il indiqué. Pour ce qui concerne les objectifs de cette nouvelle participation de l'Algérie, l'entraîneur Guernane avoue qu'il ne faut pas s'attendre à grand-chose. "Nous allons gérer cette compétition match par match. Nous allons essayer d'abord de passer ce premier tour pour penser à autre chose. Affronter une équipe comme la Tunisie, champion d'Afrique en titre, le Congo et la Guinée n'est pas une mince affaire", a-t-il avoué. Un avis partagé par le viceprésident Stamboli qui confirme que cette participation permettra aux joueuses d'acquérir une certaine expérience pour l'avenir, pas plus. "Nous n'avons pas placé la dragée très haute. Les joueuses vont jouer sans la moindre pression puisqu'elles vont jouer pour l'expérience", a-t-il déclaré. A la CAN-2016, les Algériennes évolueront dans le groupe B, et affronteront respectivement le Congo (29 novembre), la Guinée (1er décembre), et la Tunisie tenante du titre (2 décembre), alors que l'Egypte s'est retirée de la compétition. La poule A est composée quant à elle de l'Angola (pays hôte), la RD Congo (vice-champion d'Afrique), le Cameroun, le Sénégal, et la Côte d'Ivoire. Il est difficile d'imaginer que la sélection nationale de handball, qui a rallié hier soir l'Angola, pour y participer à cette édition de la Coupe d'Afrique, fera le déplacement dans les meilleures conditions possibles. En plus d'une préparation jugée très insuffisante, avec deux stages seulement au Portugal et en France, l'équipe a connu un changement "surprenant" dans son staff technique. L'entraîneur Guernane Zoheir avoue avoir été surpris lors du stage à Paris de la présence d'un autre entraîneur pour diriger la sélection nationale. Il s'agit du Franco-Serbe, Semir Zuzo. "À notre arrivée en France pour un stage de préparation, nous avons constaté la présence sur place d'un entraîneur franco-serbe pour diriger l'équipe. Personne n'était au courant de l'arrivée de cet entraîneur", s'est contenté de dire l'entraîneur Guernane Zoheir avant le départ pour l'Angola. Le vice-président de la Fédération algérienne de handball (FAHB), également chef de délégation algérienne en Angola, Amrane Stamboli avoue que la désignation de cet entraîneur a pour unique objectif de renforcer le staff technique. "Dans l'équipe nationale, il n'existe pas d'entraîneur numéro 1 et 2, il y a tout un staff technique qui travaille en étroite collaboration. Ce qui s'est passé, ce n'est qu'un malentendu. L'entraîneurGuernane est à féliciter pour le travail qu'il a fait pendant toute cette période notamment dans les moments difficiles. Mais, on ne peut pas participer à une compétition internationale avec un seul entraîneur", a expliqué de son côté le vice-président de la FAHB.La sélection algérienne participera à cette 22e édition de la Coupe d'Afrique avec une équipe totalement rajeunie. "Un dur travail a été effectué pendant toute cette période ayant précédé surtout le départ total de toutes les anciennes joueuses. Aujourd'hui, nous allons participer à cette édition avec une équipe composée, dans sa majorité, des joueuse de moins de 20 ans. Nous n'avons pas d'autre choix à faire", a indiqué ce responsable de l'instance nationale. Concernant les préparatifs, l'entraîneur "adjoint" Guernane avoue que l'équipe n'a pas bénéficié des moyens nécessaires pour une meilleure préparation. "Une équipe qui n'a effectué que deux stages l'un au Portugal et l'autre en France, ne peut pas prétendre à une place sur le podium. Mais, nous avons essayé de compenser tout ça par un travail psychologique des joueuses", a-t-il indiqué. Pour ce qui concerne les objectifs de cette nouvelle participation de l'Algérie, l'entraîneur Guernane avoue qu'il ne faut pas s'attendre à grand-chose. "Nous allons gérer cette compétition match par match. Nous allons essayer d'abord de passer ce premier tour pour penser à autre chose. Affronter une équipe comme la Tunisie, champion d'Afrique en titre, le Congo et la Guinée n'est pas une mince affaire", a-t-il avoué. Un avis partagé par le viceprésident Stamboli qui confirme que cette participation permettra aux joueuses d'acquérir une certaine expérience pour l'avenir, pas plus. "Nous n'avons pas placé la dragée très haute. Les joueuses vont jouer sans la moindre pression puisqu'elles vont jouer pour l'expérience", a-t-il déclaré. A la CAN-2016, les Algériennes évolueront dans le groupe B, et affronteront respectivement le Congo (29 novembre), la Guinée (1er décembre), et la Tunisie tenante du titre (2 décembre), alors que l'Egypte s'est retirée de la compétition. La poule A est composée quant à elle de l'Angola (pays hôte), la RD Congo (vice-champion d'Afrique), le Cameroun, le Sénégal, et la Côte d'Ivoire.