La société civile a un grand rôle à jouer dans la lutte contre les enlèvements d'enfants, a affirmé hier à Oran le coordinateur local de l'Académie de la société civile algérienne (ASCA). La société civile a un grand rôle à jouer dans la lutte contre les enlèvements d'enfants, a affirmé hier à Oran le coordinateur local de l'Académie de la société civile algérienne (ASCA). Lors d'une rencontre consacrée au thème "L'enlèvement d'enfants en Algérie", Benhamadi Abdelkader a estimé que "le phénomène d'enlèvement d'enfants est étranger à notre culture et à notre religion", soulignant que "toute la société est concernée et doit être vigilante". Les enfants, a-t-il dit, "sont aujourd'hui éduqués à être prudent et les parents veillent de plus en plus à la sécurité de leurs progénitures de peur de l'irréparable." Le secrétaire général de l'ASCA, Ahmed Chenna, a relevé que le phénomène des violences exercées à l'encontre des enfants en Algérie "n'est pas nouveau, ni spécifique à notre pays, mais devenu, aujourd'hui, la préoccupation majeure des Algériens". "Toute la société doit s'impliquer dans la prévention et la lutte contre ce fléau. Les associations sont très nombreuses en Algérie et doivent toutes s'impliquer, en coordination avec les institutions de l'Etat, pour mettre fin à ce phénomène", a-t-il ajouté, préconisant un débat national pour faire un diagnostic sur le phénomène de rapt d'enfants, ses causes et proposer des solutions pratiques. Pour l'universitaire d'Oran Fellah Kheireddine "le rapt d'enfants n'est pas seulement une violence, mais une agression et un terrorisme contre les enfants. C'est un acte criminel qui doit être sévèrement puni par la loi", précisant que l'islam, qui a donné des droits aux enfants, condamne énergiquement ce phénomène. Par ailleurs, les intervenants à la rencontre ont cité les vols d'organes et les règlements de compte parmi les causes de ce phénomène, insistant sur l'importance du numéro vert "104" pour signaler un kidnapping ou une disparition d'enfant dans le cadre du plan national "Alerte rapt/disparitions d'enfants", venu en renfort aux numéros "1548" et "17" en vue d'une meilleure protection des personnes vulnérables. La rencontre organisée par le bureau d'Oran de l'ACSA a regroupé des représentants de la société civile, de la Sûreté et de la Gendarmerie nationales, ainsi que des universitaires. Lors d'une rencontre consacrée au thème "L'enlèvement d'enfants en Algérie", Benhamadi Abdelkader a estimé que "le phénomène d'enlèvement d'enfants est étranger à notre culture et à notre religion", soulignant que "toute la société est concernée et doit être vigilante". Les enfants, a-t-il dit, "sont aujourd'hui éduqués à être prudent et les parents veillent de plus en plus à la sécurité de leurs progénitures de peur de l'irréparable." Le secrétaire général de l'ASCA, Ahmed Chenna, a relevé que le phénomène des violences exercées à l'encontre des enfants en Algérie "n'est pas nouveau, ni spécifique à notre pays, mais devenu, aujourd'hui, la préoccupation majeure des Algériens". "Toute la société doit s'impliquer dans la prévention et la lutte contre ce fléau. Les associations sont très nombreuses en Algérie et doivent toutes s'impliquer, en coordination avec les institutions de l'Etat, pour mettre fin à ce phénomène", a-t-il ajouté, préconisant un débat national pour faire un diagnostic sur le phénomène de rapt d'enfants, ses causes et proposer des solutions pratiques. Pour l'universitaire d'Oran Fellah Kheireddine "le rapt d'enfants n'est pas seulement une violence, mais une agression et un terrorisme contre les enfants. C'est un acte criminel qui doit être sévèrement puni par la loi", précisant que l'islam, qui a donné des droits aux enfants, condamne énergiquement ce phénomène. Par ailleurs, les intervenants à la rencontre ont cité les vols d'organes et les règlements de compte parmi les causes de ce phénomène, insistant sur l'importance du numéro vert "104" pour signaler un kidnapping ou une disparition d'enfant dans le cadre du plan national "Alerte rapt/disparitions d'enfants", venu en renfort aux numéros "1548" et "17" en vue d'une meilleure protection des personnes vulnérables. La rencontre organisée par le bureau d'Oran de l'ACSA a regroupé des représentants de la société civile, de la Sûreté et de la Gendarmerie nationales, ainsi que des universitaires.