Le rapport de l'autopsie effectuée sur le corps du journaliste Mohamed Tamelt, décédé le 11 décembre dans un hôpital à Alger, affirme l'"absence de toute trace de violence récente ou ancienne sur l'ensemble du corps", a indiqué la Direction générale de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale, rejetant ainsi les allégations de mauvais traitements et de violence dont le défunt aurait fait l'objet. Le rapport de l'autopsie effectuée sur le corps du journaliste Mohamed Tamelt, décédé le 11 décembre dans un hôpital à Alger, affirme l'"absence de toute trace de violence récente ou ancienne sur l'ensemble du corps", a indiqué la Direction générale de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale, rejetant ainsi les allégations de mauvais traitements et de violence dont le défunt aurait fait l'objet. "Le rapport de l'autopsie effectué sur le corps du défunt par trois médecins légistes du centre hospitalo-universitaire Lamine- Debaghine de Bab-el-Oued, requis par le procureur de la République compétent, (...) conclut à l'absence de toute trace de violence récente ou ancienne sur l'ensemble du corps", a précisé la même source dans un communiqué transmis à l'APS. Le rapport relève par ailleurs "la présence de deux cicatrices chirurgicales au niveau du cuir chevelu, medio-frontale et pariétale droite en rapport avec dérivation ventriculaire externe, d'une incision chirurgicale de trachéotomie et d'une incision de drainage basithoracique droite", a-t-on ajouté. Le rapport d'autopsie affirme que "le décès est consécutif à un sepsis grave polyviscéral, au cerveau, des plèvres, des poumons, de la vésicule biliaire, de l'appareil urinaire, à l'origine d'un choc septique directement responsable de la mort malgré la prise en charge médicale intensive mise en oeuvre", a indiqué la même source. "Le tableau infectieux est généralement observé chez les sujet comateux ayant séjourné longtemps dans une structure sanitaire de soins intensifs", note le rapport, cité dans le communiqué. La Direction générale de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale a souligné que "cette conclusion confirme l'absence de tout fondement aux allégations émanant de la défense du concerné et publiées par certains journaux concernant les mauvais traitements et la violence dont le défunt aurait fait l'objet". Elle a également exprimé "son indignation face aux tentatives d'exploitation tendancieuse du décès de Mohamed Tamelt et se réserve le droit de recourir à la justice conformément à la loi". Le journaliste Mohamed Tamalt, qui purgeait une peine de 2 années de prison ferme dans l'établissement de rééducation et de réadaptation de Koléa, relevant de la cour de Tipaza, est décédé le 11 décembre au CHU Mohamed Lamine Debaghine de Bab El Oued (Alger). "Le rapport de l'autopsie effectué sur le corps du défunt par trois médecins légistes du centre hospitalo-universitaire Lamine- Debaghine de Bab-el-Oued, requis par le procureur de la République compétent, (...) conclut à l'absence de toute trace de violence récente ou ancienne sur l'ensemble du corps", a précisé la même source dans un communiqué transmis à l'APS. Le rapport relève par ailleurs "la présence de deux cicatrices chirurgicales au niveau du cuir chevelu, medio-frontale et pariétale droite en rapport avec dérivation ventriculaire externe, d'une incision chirurgicale de trachéotomie et d'une incision de drainage basithoracique droite", a-t-on ajouté. Le rapport d'autopsie affirme que "le décès est consécutif à un sepsis grave polyviscéral, au cerveau, des plèvres, des poumons, de la vésicule biliaire, de l'appareil urinaire, à l'origine d'un choc septique directement responsable de la mort malgré la prise en charge médicale intensive mise en oeuvre", a indiqué la même source. "Le tableau infectieux est généralement observé chez les sujet comateux ayant séjourné longtemps dans une structure sanitaire de soins intensifs", note le rapport, cité dans le communiqué. La Direction générale de l'administration pénitentiaire et de la réinsertion sociale a souligné que "cette conclusion confirme l'absence de tout fondement aux allégations émanant de la défense du concerné et publiées par certains journaux concernant les mauvais traitements et la violence dont le défunt aurait fait l'objet". Elle a également exprimé "son indignation face aux tentatives d'exploitation tendancieuse du décès de Mohamed Tamelt et se réserve le droit de recourir à la justice conformément à la loi". Le journaliste Mohamed Tamalt, qui purgeait une peine de 2 années de prison ferme dans l'établissement de rééducation et de réadaptation de Koléa, relevant de la cour de Tipaza, est décédé le 11 décembre au CHU Mohamed Lamine Debaghine de Bab El Oued (Alger).