Le groupe PSA (Peugeot-Citroën) a répondu au ministre de l'Industrie, Abdeslam Bouchouareb, au sujet des négociations autour de l'implantation de son usine d'assemblage de véhicules en Algérie, affirmant que "la balle est dans le camp du gouvernement", a rapporté le magazine Jeune Afrique dans son édition du 22 janvier. Le groupe PSA (Peugeot-Citroën) a répondu au ministre de l'Industrie, Abdeslam Bouchouareb, au sujet des négociations autour de l'implantation de son usine d'assemblage de véhicules en Algérie, affirmant que "la balle est dans le camp du gouvernement", a rapporté le magazine Jeune Afrique dans son édition du 22 janvier. "Le projet, construit avec nos partenaires privés et publics, est sur la table du gouvernement depuis six mois, il y a eu quelques allers-retours depuis", a déclaré Jean-Christophe Quémard, viceprésident exécutif du groupe PSA, en charge de la région Afrique Moyen- Orient. Selon lui, le groupe PSA a "pris en compte les demandes légitimes des autorités, qui souhaitent industrialiser leur pays, bénéficier de transferts de technologies et favoriser l'emploi local. Nous attendons leur décision, je suis prêt à prendre l'avion pour Alger", a même affirmé le chef régional du groupe PSA. Le ministre de l'Industrie, Abdeslam Bouchouareb, affirmait le 5 janvier dernier que "le projet ne sera réalisé que si Peugeot accepte nos conditions". La nature de ces conditions n'a pas été précisée par le ministre. L'installation du constructeur français devait faire l'objet d'une signature d'accord au mois d'avril 2016, lors de la réunion de haut niveau Algérie-France, avant d'être reportée pour des raisons inconnues. Selon Jeune Afrique, les équipes de Jean- Christophe Quémard "commencent à s'impatienter, alors qu'un projet d'usine Volkswagen émerge également et que Renault est implanté à Oran depuis novembre 2014". "Le projet, construit avec nos partenaires privés et publics, est sur la table du gouvernement depuis six mois, il y a eu quelques allers-retours depuis", a déclaré Jean-Christophe Quémard, viceprésident exécutif du groupe PSA, en charge de la région Afrique Moyen- Orient. Selon lui, le groupe PSA a "pris en compte les demandes légitimes des autorités, qui souhaitent industrialiser leur pays, bénéficier de transferts de technologies et favoriser l'emploi local. Nous attendons leur décision, je suis prêt à prendre l'avion pour Alger", a même affirmé le chef régional du groupe PSA. Le ministre de l'Industrie, Abdeslam Bouchouareb, affirmait le 5 janvier dernier que "le projet ne sera réalisé que si Peugeot accepte nos conditions". La nature de ces conditions n'a pas été précisée par le ministre. L'installation du constructeur français devait faire l'objet d'une signature d'accord au mois d'avril 2016, lors de la réunion de haut niveau Algérie-France, avant d'être reportée pour des raisons inconnues. Selon Jeune Afrique, les équipes de Jean- Christophe Quémard "commencent à s'impatienter, alors qu'un projet d'usine Volkswagen émerge également et que Renault est implanté à Oran depuis novembre 2014".