Les étudiants de l'Ecole nationale supérieure biotechnique à Constantine (la seule en Algérie) ont entamé une grève depuis un mois, sans avoir de réponses à leur plateforme de revendications, de la part de la direction qui, selon les témoignages des étudiants, "joue avec leur avenir". Les étudiants de l'Ecole nationale supérieure biotechnique à Constantine (la seule en Algérie) ont entamé une grève depuis un mois, sans avoir de réponses à leur plateforme de revendications, de la part de la direction qui, selon les témoignages des étudiants, "joue avec leur avenir". Selon l'un des représentants des étudiants de cette école, s'exprimant sur un site d'information électronique, cet arrêt de cours qui dure depuis un mois est dû à la fausse promesse de l'administration, concernant la nature de leurs diplômes de fin d'études. "Après deux ans d'école préparatoire les étudiants en troisième année se sont retrouvés face à un mur, toutes les promesses faites par l'administration n'étaient que mensonges", précisant que lors des inscriptions la direction leur avait promis "un double diplôme, c'est-àdire un master plus un ingéniorat d'Etat", a indiqué le même interlocuteur. Par ailleurs, les représentants des étudiants de l'ENSB ont tenu plusieurs réunions avec la direction sans arriver à une solution, et sans avoir de "preuve concrète de la bonne volonté" du directeur qui les a traités de "minorité pour laquelle il ne peut rien faire", a confié notre source qui évoque une rencontre révélatrice avec des représentants du ministère de l'Enseignement supérieur à Alger, notamment le directeur général des Ecoles supérieures qui leur a affirmé qu'aucun document ne cite "un diplôme d'ingénieur d'Etat" pour leur Ecole. Une situation que ces étudiants ont du mal à comprendre vu que l'administration, "leur avait promis ce double diplôme au début de leurs études", s'étonne la même source ajoutant qu'ils "attendent une réponse des responsables du ministère dans les deux semaines à venir". Selon l'un des représentants des étudiants de cette école, s'exprimant sur un site d'information électronique, cet arrêt de cours qui dure depuis un mois est dû à la fausse promesse de l'administration, concernant la nature de leurs diplômes de fin d'études. "Après deux ans d'école préparatoire les étudiants en troisième année se sont retrouvés face à un mur, toutes les promesses faites par l'administration n'étaient que mensonges", précisant que lors des inscriptions la direction leur avait promis "un double diplôme, c'est-àdire un master plus un ingéniorat d'Etat", a indiqué le même interlocuteur. Par ailleurs, les représentants des étudiants de l'ENSB ont tenu plusieurs réunions avec la direction sans arriver à une solution, et sans avoir de "preuve concrète de la bonne volonté" du directeur qui les a traités de "minorité pour laquelle il ne peut rien faire", a confié notre source qui évoque une rencontre révélatrice avec des représentants du ministère de l'Enseignement supérieur à Alger, notamment le directeur général des Ecoles supérieures qui leur a affirmé qu'aucun document ne cite "un diplôme d'ingénieur d'Etat" pour leur Ecole. Une situation que ces étudiants ont du mal à comprendre vu que l'administration, "leur avait promis ce double diplôme au début de leurs études", s'étonne la même source ajoutant qu'ils "attendent une réponse des responsables du ministère dans les deux semaines à venir".