Avec l'inflation qui touche l'Algérie, c'est sans grande surprise que cette hausse touche également les tarifs de formation au permis de conduire. Avec l'inflation qui touche l'Algérie, c'est sans grande surprise que cette hausse touche également les tarifs de formation au permis de conduire. Alors qu'ils étaient habituellement de 25.000 dinars dans la plupart des autoécoles de la capitale, les trarifs ont été fixés à 35.000 dinars. De nombreuses rumeurs ont circulé annonçant une hausse plus conséquente, mais selon le représentant de l'association des auto-écoles d'Alger, cela empêcherait les citoyens aux moyens limités de postuler à l'obtention d'un permis de conduire. Cette hausse est justifiée par l'augmentation du volume horaire qui passe maintenant à 55 heures au total, incluant 25 heures pour l'apprentissage du code de la route et 30 heures pour la pratique. Le prix de la formation n'est pas donc le seul aspect a avoir subi des changements puisque le ministère des Transports a également proposé dans son nouveau programme une nouvelle formule pour le passage des examens. En effet, il propose aux auto-écoles de ne faire passer aux candidats qu'un seul examen par mois. Mais cette décision a été vivement contestée par les responsables d'autoécoles qui considèrent que cela causerait de grandes pertes et des risques de licenciement. Un accord a été finalement trouvé entre les deux parties qui sont accepté une légère hausse des tarifs du permis de conduire. Alors qu'ils étaient habituellement de 25.000 dinars dans la plupart des autoécoles de la capitale, les trarifs ont été fixés à 35.000 dinars. De nombreuses rumeurs ont circulé annonçant une hausse plus conséquente, mais selon le représentant de l'association des auto-écoles d'Alger, cela empêcherait les citoyens aux moyens limités de postuler à l'obtention d'un permis de conduire. Cette hausse est justifiée par l'augmentation du volume horaire qui passe maintenant à 55 heures au total, incluant 25 heures pour l'apprentissage du code de la route et 30 heures pour la pratique. Le prix de la formation n'est pas donc le seul aspect a avoir subi des changements puisque le ministère des Transports a également proposé dans son nouveau programme une nouvelle formule pour le passage des examens. En effet, il propose aux auto-écoles de ne faire passer aux candidats qu'un seul examen par mois. Mais cette décision a été vivement contestée par les responsables d'autoécoles qui considèrent que cela causerait de grandes pertes et des risques de licenciement. Un accord a été finalement trouvé entre les deux parties qui sont accepté une légère hausse des tarifs du permis de conduire.