Face à la crise qui met à mal les équilibres financiers du pays, le RCD préconise la réduction du train de vie de l'Etat et une réforme de la fiscalité. Face à la crise qui met à mal les équilibres financiers du pays, le RCD préconise la réduction du train de vie de l'Etat et une réforme de la fiscalité. "Des économies importantes sont à rechercher dans la réduction du train de vie de l'Etat avec ses nombreux comptes spéciaux et dans le ciblage des transferts sociaux (...)", écrit le RCD dans son programme. Il s'agit, détaille-t-il, dans un premier temps, de "geler le renouvellement des parcs véhicules pour une période de 3 années, le plafonnement des frais de missions et des séminaires et conférences", de "réduire le nombre de départements ministériels à 15 avec la reconduction du même organigramme dans les démembrements actuels de l'administration centrale en attendant l'avènement d'une réorganisation administrative qui redonne de larges prérogatives aux territoires" et de "confectionner un fichier numérique national pour identifier les populations éligibles à l'aide sociale (...)". Concernant les banques, le RCD recommande d'"octroyer une autonomie de gestion à la Banque d'Algérie afin de réguler les flux monétaires en faveur de la croissance-développement et bannir les pratiques des privilèges" et de "prendre toutes les dispositions pour une convertibilité à terme du dinar. L'option actuelle de limiter les transferts vers l'extérieur ne pouvait que se solder par un blocage des transferts vers l'économie nationale et par l'augmentation des transferts illicites d'argent", observe le RCD. A propos du système fiscal, le RCD propose "l'élargissement de l'assiette fiscale à la place de l'accroissement de la pression fiscale sur les seuls contribuables loyaux, à commencer par la suppression des dérogations d'exonération fiscale (490 dérogations recensées par la Cour des comptes dans son rapport de 2013)". Il propose également de "soumettre les sociétés et les professions libérales au régime du réel et n'assujettir à l'impôt forfaitaire unique (IFU) que les petits contribuables (épiciers, artisans...)". Il préconise de "supprimer l'indexation des primes de l'administration fiscale aux montants des redressements fiscaux des contribuables et amorcer une fiscalité écologique comme premier palier d'une réforme fiscale globale (...)". "Des économies importantes sont à rechercher dans la réduction du train de vie de l'Etat avec ses nombreux comptes spéciaux et dans le ciblage des transferts sociaux (...)", écrit le RCD dans son programme. Il s'agit, détaille-t-il, dans un premier temps, de "geler le renouvellement des parcs véhicules pour une période de 3 années, le plafonnement des frais de missions et des séminaires et conférences", de "réduire le nombre de départements ministériels à 15 avec la reconduction du même organigramme dans les démembrements actuels de l'administration centrale en attendant l'avènement d'une réorganisation administrative qui redonne de larges prérogatives aux territoires" et de "confectionner un fichier numérique national pour identifier les populations éligibles à l'aide sociale (...)". Concernant les banques, le RCD recommande d'"octroyer une autonomie de gestion à la Banque d'Algérie afin de réguler les flux monétaires en faveur de la croissance-développement et bannir les pratiques des privilèges" et de "prendre toutes les dispositions pour une convertibilité à terme du dinar. L'option actuelle de limiter les transferts vers l'extérieur ne pouvait que se solder par un blocage des transferts vers l'économie nationale et par l'augmentation des transferts illicites d'argent", observe le RCD. A propos du système fiscal, le RCD propose "l'élargissement de l'assiette fiscale à la place de l'accroissement de la pression fiscale sur les seuls contribuables loyaux, à commencer par la suppression des dérogations d'exonération fiscale (490 dérogations recensées par la Cour des comptes dans son rapport de 2013)". Il propose également de "soumettre les sociétés et les professions libérales au régime du réel et n'assujettir à l'impôt forfaitaire unique (IFU) que les petits contribuables (épiciers, artisans...)". Il préconise de "supprimer l'indexation des primes de l'administration fiscale aux montants des redressements fiscaux des contribuables et amorcer une fiscalité écologique comme premier palier d'une réforme fiscale globale (...)".