La Journée nationale du Chahid, fêtée hier, a été une occasion propice pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, afin de revenir sur de nombreuses questions de l'heure. La Journée nationale du Chahid, fêtée hier, a été une occasion propice pour le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, afin de revenir sur de nombreuses questions de l'heure. Il a été question des prochaines élections législatives et de la satiation économique et sociale du pays. Mais le président n'a pas manqué aussi de revenir sur certaines évaluations émises par quelques cercles étrangers relatives à la situation qui prévaut dans le pays, qu'il n'a d'ailleurs pas appréciées. Dans le message lu en son nom par le Conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi, le président Bouteflika considére que le peuple algérien "ne succombera pas à des machinations et autres complots ourdis outre-mer et relayés par divers supports médiatiques". Pour le chef de l'Etat "en ignorant les détracteurs, les adeptes du chaos et autres esprits sceptiques et malveillants tendant à occulter les acquis réalisés au profit du peuple, notre jeunesse a prouvé qu'elle était lucide quant aux menaces de l'heure", ajoutant qu'"elle ne peut être leurrée car immunisée culturellement, idéologiquement et politiquement, consciente de ses responsabilités vis-à-vis de sa patrie et de son peuple et prête plus que jamais à défendre le pays et à préserver, promouvoir et développer ses réalisations". Le président Bouteflika fait allusion aux récents rapports émis par des centres d'analyses occidentaux notamment, dans lesquels ils prédisent un avenir sombre, voire même chaotique pour le pays. On peut évoquer, à ce titre, le rapport dressé par deux parlementaires français qui a suscité une levée de boucliers en Algérie. Face à cette réplique, la présidente de la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée française a dégagé toute responsabilité du Parlement par rapport à ce rapport et un des deux députés a même présenté ses excuses. Par ailleurs sur un autre plan, le président Bouteflika, a exhorté le peuple algérien a déployer plus d'efforts pour venir à bout de la crise économique que traverse le pays. Pour lui, en effet, "les crises économiques et idéologiques qui secouent le monde et les bouleversements géostratégiques ont un impact direct sur beaucoup de pays, notamment en voie de développement à l'instar de l'Algérie, d'où la nécessité de conjuguer nos efforts et de resserrer nos rangs pour une exploitation optimale des compétences, aussi nombreuses que méritoires, que recèle notre pays dans tous les domaines". Il a soutenu que "les réalisations grandioses que notre pays a enregistrées en peu de temps en termes de lutte contre le chômage, de développement de notre système éducatif et d'enseignement, de construction de millions de logements et de dizaines de milliers d'établissements de santé et d'éducation en plus d'une importante infrastructure dans tous les secteurs, sont une preuve de ce que l'Algérie est en mesure de concrétiser encore à l'avenir". Mais comment ? "Par la rationalisation de nos dépenses, l'amélioration de la gouvernance de notre pays, la mise en oeuvre des différentes réformes prévues et la promotion de la valeur du travail, valorisée par l'Islam, l'Algérie viendra à bout de la crise à laquelle elle est confrontée du fait des fluctuations des marchés internationaux et se hissera, par l'aide d'Allah, au rangs des pays émergents pour réaliser ainsi le rêve des nos valeureux Chouhada et parachever la Déclaration de la Glorieuse Révolution du 1er Novembre", dira le président Bouteflika . Par ailleurs il a appelé le peuple algérien a aller voter en masse lors des élections législatives du 4 mai prochain. "Au moment où nous célébrons les Gloires de notre pays en cette journée nationale du Chahid, notre peuple s'apprête à une autre échéance électorale pour élire ses représentants à l'Assemblée populaire nationale et je voudrais saisir cette occasion pour exhorter les enfants de mon pays à exercer leur droit pour choisir leurs représentant en se rendant massivement aux urnes dans le cadre des garanties prévues par la Constitution et la loi consacrant le respect de leur choix libre et souverain » a indiqué le chef de l'Etat. Il a été question des prochaines élections législatives et de la satiation économique et sociale du pays. Mais le président n'a pas manqué aussi de revenir sur certaines évaluations émises par quelques cercles étrangers relatives à la situation qui prévaut dans le pays, qu'il n'a d'ailleurs pas appréciées. Dans le message lu en son nom par le Conseiller à la présidence de la République, Mohamed Ali Boughazi, le président Bouteflika considére que le peuple algérien "ne succombera pas à des machinations et autres complots ourdis outre-mer et relayés par divers supports médiatiques". Pour le chef de l'Etat "en ignorant les détracteurs, les adeptes du chaos et autres esprits sceptiques et malveillants tendant à occulter les acquis réalisés au profit du peuple, notre jeunesse a prouvé qu'elle était lucide quant aux menaces de l'heure", ajoutant qu'"elle ne peut être leurrée car immunisée culturellement, idéologiquement et politiquement, consciente de ses responsabilités vis-à-vis de sa patrie et de son peuple et prête plus que jamais à défendre le pays et à préserver, promouvoir et développer ses réalisations". Le président Bouteflika fait allusion aux récents rapports émis par des centres d'analyses occidentaux notamment, dans lesquels ils prédisent un avenir sombre, voire même chaotique pour le pays. On peut évoquer, à ce titre, le rapport dressé par deux parlementaires français qui a suscité une levée de boucliers en Algérie. Face à cette réplique, la présidente de la Commission des affaires étrangères de l'Assemblée française a dégagé toute responsabilité du Parlement par rapport à ce rapport et un des deux députés a même présenté ses excuses. Par ailleurs sur un autre plan, le président Bouteflika, a exhorté le peuple algérien a déployer plus d'efforts pour venir à bout de la crise économique que traverse le pays. Pour lui, en effet, "les crises économiques et idéologiques qui secouent le monde et les bouleversements géostratégiques ont un impact direct sur beaucoup de pays, notamment en voie de développement à l'instar de l'Algérie, d'où la nécessité de conjuguer nos efforts et de resserrer nos rangs pour une exploitation optimale des compétences, aussi nombreuses que méritoires, que recèle notre pays dans tous les domaines". Il a soutenu que "les réalisations grandioses que notre pays a enregistrées en peu de temps en termes de lutte contre le chômage, de développement de notre système éducatif et d'enseignement, de construction de millions de logements et de dizaines de milliers d'établissements de santé et d'éducation en plus d'une importante infrastructure dans tous les secteurs, sont une preuve de ce que l'Algérie est en mesure de concrétiser encore à l'avenir". Mais comment ? "Par la rationalisation de nos dépenses, l'amélioration de la gouvernance de notre pays, la mise en oeuvre des différentes réformes prévues et la promotion de la valeur du travail, valorisée par l'Islam, l'Algérie viendra à bout de la crise à laquelle elle est confrontée du fait des fluctuations des marchés internationaux et se hissera, par l'aide d'Allah, au rangs des pays émergents pour réaliser ainsi le rêve des nos valeureux Chouhada et parachever la Déclaration de la Glorieuse Révolution du 1er Novembre", dira le président Bouteflika . Par ailleurs il a appelé le peuple algérien a aller voter en masse lors des élections législatives du 4 mai prochain. "Au moment où nous célébrons les Gloires de notre pays en cette journée nationale du Chahid, notre peuple s'apprête à une autre échéance électorale pour élire ses représentants à l'Assemblée populaire nationale et je voudrais saisir cette occasion pour exhorter les enfants de mon pays à exercer leur droit pour choisir leurs représentant en se rendant massivement aux urnes dans le cadre des garanties prévues par la Constitution et la loi consacrant le respect de leur choix libre et souverain » a indiqué le chef de l'Etat.