Le président sortant de la Fédération algérienne de football (Faf), Mohamed Raouraoua, préfère maintenir le suspense quant à son éventuelle candidature ou non pour un nouveau mandat à la tête de l'instance nationale. Le président sortant de la Fédération algérienne de football (Faf), Mohamed Raouraoua, préfère maintenir le suspense quant à son éventuelle candidature ou non pour un nouveau mandat à la tête de l'instance nationale. La commission électorale a été déjà installée lors de l'assemblée générale ordinaire de cette instance nationale et présidée par Ali Baamar, président de la ligue de football régionale de Ouargla et comporte également six autres membres. Ladite commission aura pour tâche principale de recevoir et d'étudier les dossiers de candidature. Jusqu'à l'heure actuelle, aucune candidature n'a été officiellement déposée. C'est le suspense total chez les amoureux de la balle ronde en Algérie. Compte tenu des déclarations de certains candidats, le suspense de Raouraoua leur fait peur. Ces candidats attendent d'abord la décision du désormais président de la Faf pour passer aux choses sérieuses. "Si Raouraoua se présentera aux prochaines élections pour un nouveau mandat olympique, je ne déposerais pas ma candidature", a clairement signifié le président de l'USM Harrach, Mohamed Laib. Idem pour Mourad Lahlou, président du club amateur du CR Belouizdad. "Si Raouraoua se porte candidat, il va tout éclipser. J'ai vu le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, lequel m'a rassuré sur la transparence des élections. J'espère seulement que le scenario des précédentes élections ne va pas se répéter et que mon dossier sera accepté", a-t-il indiqué. L'assemblée générale élective aura lieu le 20 mars prochain, tandis que la date butoir du dépôt des candidatures est fixée pour le 12 du même mois. La session ordinaire de la Faf, tenue lundi à Sidi-Moussa, a été marquée, signalonsle, par le soutien sans précédant des membres du bureau fédéral. Ces derniers ont tous affiché leur soutien et réclame la candidature de Mohamed Raouraoua pour briguer un nouveau mandat. Maintenant est-ce que ces présidents refusent tout changement au sein de l'instance nationale où ont-ils peur pour leurs intérêts ? La question reste posée. Le concerné, au cours de son discours prononcé pour l'occasion, n'a à aucun moment évoqué un troisième mandat de suite à la tête de la Fédération algérienne de football. En tous cas, "les applaudissements des membres de l'assemblée générale ordinaire, laisse penser que Raouraoua est en terrain conquis s'il décide de se lancer dans la bataille électorale", estiment les observateurs. Raouraoua qui s'est montré confiant concernant son bilan, s'est excusé auprès des medias de ne pouvoir répondre à cette question bien précise qui concerne sa candidature en se contentant de dire "si Monsieur Madjer ou un autre veut se porter candidat il n'a qu'à le faire". Raouraoua déplore la campagne menée contre lui après la Can. "Je déplore cette campagne menée contre les joueurs de la sélection algérienne, en particulier ceux formés en Europe, après l'élimination au premier tour de la Coupe d'Afrique. Au lieu de remercier ces joueurs pour tous les sacrifices qu'ils font par amour à leur pays, certains sont en train de les descendre en flamme", at- il regretté. D'ici-là, les intéressés auront deux semaines devant eux pour se prononcer sur leurs candidature ou non pour leurs prochaines élections électives de la Faf. Le président sortant compte, quant à lui, maintenir le suspense jusqu'au bout. La commission électorale a été déjà installée lors de l'assemblée générale ordinaire de cette instance nationale et présidée par Ali Baamar, président de la ligue de football régionale de Ouargla et comporte également six autres membres. Ladite commission aura pour tâche principale de recevoir et d'étudier les dossiers de candidature. Jusqu'à l'heure actuelle, aucune candidature n'a été officiellement déposée. C'est le suspense total chez les amoureux de la balle ronde en Algérie. Compte tenu des déclarations de certains candidats, le suspense de Raouraoua leur fait peur. Ces candidats attendent d'abord la décision du désormais président de la Faf pour passer aux choses sérieuses. "Si Raouraoua se présentera aux prochaines élections pour un nouveau mandat olympique, je ne déposerais pas ma candidature", a clairement signifié le président de l'USM Harrach, Mohamed Laib. Idem pour Mourad Lahlou, président du club amateur du CR Belouizdad. "Si Raouraoua se porte candidat, il va tout éclipser. J'ai vu le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, lequel m'a rassuré sur la transparence des élections. J'espère seulement que le scenario des précédentes élections ne va pas se répéter et que mon dossier sera accepté", a-t-il indiqué. L'assemblée générale élective aura lieu le 20 mars prochain, tandis que la date butoir du dépôt des candidatures est fixée pour le 12 du même mois. La session ordinaire de la Faf, tenue lundi à Sidi-Moussa, a été marquée, signalonsle, par le soutien sans précédant des membres du bureau fédéral. Ces derniers ont tous affiché leur soutien et réclame la candidature de Mohamed Raouraoua pour briguer un nouveau mandat. Maintenant est-ce que ces présidents refusent tout changement au sein de l'instance nationale où ont-ils peur pour leurs intérêts ? La question reste posée. Le concerné, au cours de son discours prononcé pour l'occasion, n'a à aucun moment évoqué un troisième mandat de suite à la tête de la Fédération algérienne de football. En tous cas, "les applaudissements des membres de l'assemblée générale ordinaire, laisse penser que Raouraoua est en terrain conquis s'il décide de se lancer dans la bataille électorale", estiment les observateurs. Raouraoua qui s'est montré confiant concernant son bilan, s'est excusé auprès des medias de ne pouvoir répondre à cette question bien précise qui concerne sa candidature en se contentant de dire "si Monsieur Madjer ou un autre veut se porter candidat il n'a qu'à le faire". Raouraoua déplore la campagne menée contre lui après la Can. "Je déplore cette campagne menée contre les joueurs de la sélection algérienne, en particulier ceux formés en Europe, après l'élimination au premier tour de la Coupe d'Afrique. Au lieu de remercier ces joueurs pour tous les sacrifices qu'ils font par amour à leur pays, certains sont en train de les descendre en flamme", at- il regretté. D'ici-là, les intéressés auront deux semaines devant eux pour se prononcer sur leurs candidature ou non pour leurs prochaines élections électives de la Faf. Le président sortant compte, quant à lui, maintenir le suspense jusqu'au bout.