L 'affiche d'une conférence sur la violence en milieu scolaire, organisée à la Bibliothèque nationale d'Algérie, suscite de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Le message contenu dans l'affiche ne souffre d'aucune ambiguïté : L 'affiche d'une conférence sur la violence en milieu scolaire, organisée à la Bibliothèque nationale d'Algérie, suscite de nombreuses réactions sur les réseaux sociaux. Le message contenu dans l'affiche ne souffre d'aucune ambiguïté : "La mixité sexuelle à l'école est la cause numéro un de la violence scolaire". « Comment peut-on autoriser cela à la Bibliothèque nationale ? C'est un scandale... avancez vers l'arrière et expliquez-moi », lâche Atika B. sur sa page Facebook. La conférence a bien eu lieu à la Bibliothèque nationale d'Alger mercredi passé . Elle a été animée par le Dr Smaïl Boulbina. Médecin spécialiste en sexologie, l'homme a fondé de nombreuses associations dont le Club des ânes d'Algérie. Interrogé par le site TSA, le médecin assure avoir voulu lancer « une alerte ». « L'objectif est d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur la violence à l'école », ajoute-t-il. Sur la question de la mixité, Smaïl Boulbina dit avoir fait seulement un constat. Smaïl Boulbina parle même d'un « déséquilibre au détriment des garçons ». Pour lui, l'échec des garçons à l'école est également dû à la mixité sexuelle. Le même interlocuteur, qui se présente comme « anti-conservateur », affirme avoir envoyé une lettre à la ministre de l'Education nationale pour lui demander « d'ouvrir une enquête sur la mixité à l'école ». « Moi je fais un diagnostic. Je ne préconise rien. Je ne fais qu'alerter », insiste le médecin qui estime que c'est le ministère qui doit prendre des mesures. Sa conférence a-t-elle suscité des réactions ? « Depuis ce matin, je reçois autant d'appels positifs que négatifs», explique le médecin. Contacté, le directeur de la Bibliothèque nationale d'Algérie précise que l'établissement a seulement abrité la conférence. « Nous avons donné la salle. On ne peut pas se mêler du contenu des conférences. Je ne pense pas qu'il y ait un problème », a dit Yasser Arafat Gana. "La mixité sexuelle à l'école est la cause numéro un de la violence scolaire". « Comment peut-on autoriser cela à la Bibliothèque nationale ? C'est un scandale... avancez vers l'arrière et expliquez-moi », lâche Atika B. sur sa page Facebook. La conférence a bien eu lieu à la Bibliothèque nationale d'Alger mercredi passé . Elle a été animée par le Dr Smaïl Boulbina. Médecin spécialiste en sexologie, l'homme a fondé de nombreuses associations dont le Club des ânes d'Algérie. Interrogé par le site TSA, le médecin assure avoir voulu lancer « une alerte ». « L'objectif est d'attirer l'attention des pouvoirs publics sur la violence à l'école », ajoute-t-il. Sur la question de la mixité, Smaïl Boulbina dit avoir fait seulement un constat. Smaïl Boulbina parle même d'un « déséquilibre au détriment des garçons ». Pour lui, l'échec des garçons à l'école est également dû à la mixité sexuelle. Le même interlocuteur, qui se présente comme « anti-conservateur », affirme avoir envoyé une lettre à la ministre de l'Education nationale pour lui demander « d'ouvrir une enquête sur la mixité à l'école ». « Moi je fais un diagnostic. Je ne préconise rien. Je ne fais qu'alerter », insiste le médecin qui estime que c'est le ministère qui doit prendre des mesures. Sa conférence a-t-elle suscité des réactions ? « Depuis ce matin, je reçois autant d'appels positifs que négatifs», explique le médecin. Contacté, le directeur de la Bibliothèque nationale d'Algérie précise que l'établissement a seulement abrité la conférence. « Nous avons donné la salle. On ne peut pas se mêler du contenu des conférences. Je ne pense pas qu'il y ait un problème », a dit Yasser Arafat Gana.