Un troisième round des négociations entre les parties du conflit syrien commence le 14 mars dans la capitale kazakhe. Les négociations vont devoir avancer en l'absence de plusieurs factions rebelles syriennes. Un troisième round des négociations entre les parties du conflit syrien commence le 14 mars dans la capitale kazakhe. Les négociations vont devoir avancer en l'absence de plusieurs factions rebelles syriennes. Les délégations du gouvernement de Damas, de l'opposition syrienne et des pays médiateurs, à savoir la Russie, l'Iran et la Turquie, se réunissent mardi à Astana pour tenter de trouver une solution à la guerre qui a fait plus de 320 000 morts en Syrie depuis 2011. Les participants aux discussions doivent dresser une carte unique reflétant le déploiement de combattants extrémistes en Syrie, notamment les positions des djihadistes de Daech. Les négociations porteront également sur la mise en place de la commission constitutionnelle et d'un groupe de travail pour échanger des prisonniers de guerre. La première session des négociations intersyriennes à Astana s'est déroulée fin janvier dernier. Au cours du deuxième round des négociations qui s'est tenu en février, les parties concernées ont défini la composition du groupe d'observation réunissant des représentants de Moscou, d'Ankara et de Téhéran. Auparavant, plusieurs factions rebelles syriennes ont annoncé qu'elles ne participeraient pas au nouveau cycle de négociations avec le gouvernement syrien à Astana. Pour sa part, le président syrien Bachar al-Assad a indiqué, dans un entretien publié lundi, que l'avenir de son pays ne serait décidé qu'après en avoir fini avec les extrémistes et avoir réalisé une réconciliation nationale. Les délégations du gouvernement de Damas, de l'opposition syrienne et des pays médiateurs, à savoir la Russie, l'Iran et la Turquie, se réunissent mardi à Astana pour tenter de trouver une solution à la guerre qui a fait plus de 320 000 morts en Syrie depuis 2011. Les participants aux discussions doivent dresser une carte unique reflétant le déploiement de combattants extrémistes en Syrie, notamment les positions des djihadistes de Daech. Les négociations porteront également sur la mise en place de la commission constitutionnelle et d'un groupe de travail pour échanger des prisonniers de guerre. La première session des négociations intersyriennes à Astana s'est déroulée fin janvier dernier. Au cours du deuxième round des négociations qui s'est tenu en février, les parties concernées ont défini la composition du groupe d'observation réunissant des représentants de Moscou, d'Ankara et de Téhéran. Auparavant, plusieurs factions rebelles syriennes ont annoncé qu'elles ne participeraient pas au nouveau cycle de négociations avec le gouvernement syrien à Astana. Pour sa part, le président syrien Bachar al-Assad a indiqué, dans un entretien publié lundi, que l'avenir de son pays ne serait décidé qu'après en avoir fini avec les extrémistes et avoir réalisé une réconciliation nationale.