Le gardien de bu du Mouloudia d'Alger, et ancien portier de l'équipe nationale, Faouzi Chaouchi, sera jugé mardi 28 mars pour outrage à corps constitué. Un délit qui peut lui valoir de la prison. Il ne manquait que cela pour un footballeur ayant fait preuve durant sa carrière d'un manque de discipline flagrant. Le gardien de bu du Mouloudia d'Alger, et ancien portier de l'équipe nationale, Faouzi Chaouchi, sera jugé mardi 28 mars pour outrage à corps constitué. Un délit qui peut lui valoir de la prison. Il ne manquait que cela pour un footballeur ayant fait preuve durant sa carrière d'un manque de discipline flagrant. Les faits remontent au 7 février dernier, au stade du 5-Juillet à Alger, lors du match MC Alger – NA Hussein Dey entrant dans le cadre de la 16e journée du championnat de Ligue 1. Des policiers procédaient à la fouille des affaires des joueurs à l'entrée du stade. Une procédure devenue routinière lorsque la police est parvenue à la conclusion que ce sont des joueurs qui faisaient entrer au stade des produits pyrotechniques (fumigènes) pour les supporters. Chaouchi n'avait pas accepté de se soumettre à la fouille. Chaouchi dérape rapidement et selon le policier, le gardien du MCA l'a insulté et giflé. Celui-ci a affirmé, quant à lui, devant le juge du tribunal de Bir- Mourad-Raïs, qu'il l'a juste "bousculé". Or, bousculer un policier et ne pas accepter de se soumettre à une mesure sécuritaire est aussi un outrage à corps constitué. Sur place, l'ancien portier des Verts a demandé des excuses. Mais le policier n'a pas voulu retirer sa plainte. Il faut dire Chaouchi n'est pas à son premier "dépassement". Le quotidien arabophone El Khabar a même rapporté que le joueur s'est présenté au tribunal avec un survêtement alors qu'habituellement il est exigé de tout citoyen accédant à une cour de justice de se vêtir "correctement". en 2013, lors de la finale de la Coupe d'Algérie, lorsque le MCA avait refusé d'accéder à la tribune officielle pour recevoir les médailles de la main du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, Chaouchi avait écopé d'une suspension de deux années. Quelques mois plus tard, la Faf l'a réduite à un an. En début de saison, le gardien de l'ES Sétif a déposé une plainte pour agression contre Chaouchi, mais il l'a retiré quelques jours plus tard. En plus du verdict qui sera prononcé mardi prochain, Chaouchi risque aussi une sanction de la part de la commission de discipline de la Ligue. Les faits remontent au 7 février dernier, au stade du 5-Juillet à Alger, lors du match MC Alger – NA Hussein Dey entrant dans le cadre de la 16e journée du championnat de Ligue 1. Des policiers procédaient à la fouille des affaires des joueurs à l'entrée du stade. Une procédure devenue routinière lorsque la police est parvenue à la conclusion que ce sont des joueurs qui faisaient entrer au stade des produits pyrotechniques (fumigènes) pour les supporters. Chaouchi n'avait pas accepté de se soumettre à la fouille. Chaouchi dérape rapidement et selon le policier, le gardien du MCA l'a insulté et giflé. Celui-ci a affirmé, quant à lui, devant le juge du tribunal de Bir- Mourad-Raïs, qu'il l'a juste "bousculé". Or, bousculer un policier et ne pas accepter de se soumettre à une mesure sécuritaire est aussi un outrage à corps constitué. Sur place, l'ancien portier des Verts a demandé des excuses. Mais le policier n'a pas voulu retirer sa plainte. Il faut dire Chaouchi n'est pas à son premier "dépassement". Le quotidien arabophone El Khabar a même rapporté que le joueur s'est présenté au tribunal avec un survêtement alors qu'habituellement il est exigé de tout citoyen accédant à une cour de justice de se vêtir "correctement". en 2013, lors de la finale de la Coupe d'Algérie, lorsque le MCA avait refusé d'accéder à la tribune officielle pour recevoir les médailles de la main du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, Chaouchi avait écopé d'une suspension de deux années. Quelques mois plus tard, la Faf l'a réduite à un an. En début de saison, le gardien de l'ES Sétif a déposé une plainte pour agression contre Chaouchi, mais il l'a retiré quelques jours plus tard. En plus du verdict qui sera prononcé mardi prochain, Chaouchi risque aussi une sanction de la part de la commission de discipline de la Ligue.