«Toutes les dispositions sont prises pour circonscrire la fièvre aphteuse signalée dans certaines wilayas». «Toutes les dispositions sont prises pour circonscrire la fièvre aphteuse signalée dans certaines wilayas». C'est Abdessalam Chelghoum, ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, qui l'a affirmé lors de sa visite de travail dans la wilaya d'Adrar. Ainsi le ministre a fait savoir que toutes les dispositions étaient prises par son secteur en vue de circonscrire cette dernière qui a été détectée au niveau de certaines wilayas, notamment Relizane, Médéa, Sétif et Bordj Bou-Arreridj, a-t- il précisé. A cet effet, le même responsable a fait part de certaines mesures prises pour contrer cette pathologie animale, telles que d'interdire le déplacement des bétails entre les wilayas affectées. De même, ce dernier annonce le lancement d'une campagne de vaccination à l'échelle nationale, dans les prochaines 48 heures. Par ailleurs, s'exprimant au sujet des bruits qui courent, l'apparition de cas de fièvre de la Vallée du Rift dans certaines zones frontalières, Chelghoum a démenti cette information, affirmant que l'analyse d'échantillons prélevés sur le cheptel « se sont avérées négatives », confirmant ainsi l'inexistence de ce type de pathologie en région frontalière. La Tunisie déclare l'état d'urgence sanitaire La Tunisie a déclaré l'état d'urgence sanitaire sur tout son territoire après la découverte de foyers de fièvre aphteuse en Algérie, a indiqué un communiqué du ministère tunisien de l'Agriculture repris par le site d'information Webmanagercenter. Selon ce site citant un responsable local de la région frontalière d'El Kef, « un suivi minutieux de la situation est effectué dans toutes les zones frontalières » pour éviter la propagation de l'épidémie de fièvre aphteuse sur le territoire tunisien. La Tunisie a décidé de renforcer les contrôles aux frontières avec l'Algérie et de durcir la lutte contre la contrebande de cheptel pour éviter la propagation de la maladie sur son territoire, selon le communiqué. Outre ces mesures, une campagne de vaccination du cheptel (bovin et ovin) et une désinfection des roues des véhicules venant depuis l'Algérie seront menées, poursuit la même source. Le Maroc annonce une série de mesures Le Maroc a réagi à l'annonce de l'apparition de foyers de fièvre aphteuse dans plusieurs régions d'Algérie. Rabat a décidé « l'interdiction de toute importation d'animaux, de produits animaux et d'origine animale et des aliments pour animaux à partir de ce pays », rapporte le site spécialisé AgriMaroc. Les autorités locales « des provinces limitrophes (ont été instruites) pour renforcer le contrôle aux frontières vis-à-vis des introductions illicites d'animaux et de leurs produits », ajoute la même source. Autres mesure annoncée : « La prise des dispositions nécessaires pour l'acquisition du vaccin dans les délais les plus courts en vue de la réalisation d'une campagne nationale de vaccination du cheptel bovin contre le sérotype A ». « Une cellule de veille est mise en place au niveau de l'ONSSA qui assure le suivi quotidien de la maladie et son évolution dans les pays voisins », conclut la même source. C'est Abdessalam Chelghoum, ministre de l'Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, qui l'a affirmé lors de sa visite de travail dans la wilaya d'Adrar. Ainsi le ministre a fait savoir que toutes les dispositions étaient prises par son secteur en vue de circonscrire cette dernière qui a été détectée au niveau de certaines wilayas, notamment Relizane, Médéa, Sétif et Bordj Bou-Arreridj, a-t- il précisé. A cet effet, le même responsable a fait part de certaines mesures prises pour contrer cette pathologie animale, telles que d'interdire le déplacement des bétails entre les wilayas affectées. De même, ce dernier annonce le lancement d'une campagne de vaccination à l'échelle nationale, dans les prochaines 48 heures. Par ailleurs, s'exprimant au sujet des bruits qui courent, l'apparition de cas de fièvre de la Vallée du Rift dans certaines zones frontalières, Chelghoum a démenti cette information, affirmant que l'analyse d'échantillons prélevés sur le cheptel « se sont avérées négatives », confirmant ainsi l'inexistence de ce type de pathologie en région frontalière. La Tunisie déclare l'état d'urgence sanitaire La Tunisie a déclaré l'état d'urgence sanitaire sur tout son territoire après la découverte de foyers de fièvre aphteuse en Algérie, a indiqué un communiqué du ministère tunisien de l'Agriculture repris par le site d'information Webmanagercenter. Selon ce site citant un responsable local de la région frontalière d'El Kef, « un suivi minutieux de la situation est effectué dans toutes les zones frontalières » pour éviter la propagation de l'épidémie de fièvre aphteuse sur le territoire tunisien. La Tunisie a décidé de renforcer les contrôles aux frontières avec l'Algérie et de durcir la lutte contre la contrebande de cheptel pour éviter la propagation de la maladie sur son territoire, selon le communiqué. Outre ces mesures, une campagne de vaccination du cheptel (bovin et ovin) et une désinfection des roues des véhicules venant depuis l'Algérie seront menées, poursuit la même source. Le Maroc annonce une série de mesures Le Maroc a réagi à l'annonce de l'apparition de foyers de fièvre aphteuse dans plusieurs régions d'Algérie. Rabat a décidé « l'interdiction de toute importation d'animaux, de produits animaux et d'origine animale et des aliments pour animaux à partir de ce pays », rapporte le site spécialisé AgriMaroc. Les autorités locales « des provinces limitrophes (ont été instruites) pour renforcer le contrôle aux frontières vis-à-vis des introductions illicites d'animaux et de leurs produits », ajoute la même source. Autres mesure annoncée : « La prise des dispositions nécessaires pour l'acquisition du vaccin dans les délais les plus courts en vue de la réalisation d'une campagne nationale de vaccination du cheptel bovin contre le sérotype A ». « Une cellule de veille est mise en place au niveau de l'ONSSA qui assure le suivi quotidien de la maladie et son évolution dans les pays voisins », conclut la même source.