Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a procédé hier à Alger au lancement officiel du permis biométrique à points ainsi que de la nouvelle carte d'immatriculation des véhicules (carte grise). Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui, a procédé hier à Alger au lancement officiel du permis biométrique à points ainsi que de la nouvelle carte d'immatriculation des véhicules (carte grise). Le nouveau permis biométrique, conçu par des ingénieurs algériens et dont le lancement coïncide avec l'entrée en vigueur du nouveau Code de la route, est un document « totalement sécurisé » qui permet une meilleure « vérification de son détenteur et un suivi minutieux de son statut juridique », Selon M. Bedoui. Outre l'aspect technologique, ce document, doté d'un système d'information avancé, vise à prévenir, mais aussi à lutter, contre les accidents de la route, d'après les explications du ministre de l'Intérieur. « Le nouveau Code de la route se base essentiellement sur le principe d'un permis à points. Et c'est cela qui garantira ce nouveau permis », a-t-il affirmé. Pour M. Bedoui, cette « prouesse technologique » facilitera également la tâche des agents des services de sécurité chargés de la sécurité routière. Ces derniers, n'auront plus besoin prochainement de dresser des contraventions écrites, a-t-il fait savoir. « Ce projet aura un grand impact sur les agents de sécurité chargés de la sécurité routière qui ne seront plus dans l'obligation de rédiger des contraventions grâce à l'utilisation de moyens électroniques efficaces », a-t-il révélé. Toutefois, les mesures de répression classiques pour lutter contre l'augmentation du nombre des accidents seront consolidées, a-t-il assuré. « Ce document (le permis biométrique) met la prévention au coeur de sa stratégie sans pour autant abandonner les mesures de répression classiques qui se consolident au vu du nombre impressionnant des victimes enregistrées chaque année », a-t-il souligné. S'agissant de la nouvelle carte d'immatriculation, le ministre de l'Intérieur a indiqué que cette dernière n'affichera pas les informations des véhicules comme les anciennes plaques. « Ces informations seront enregistrées grâce aux puces électroniques que contient cette nouvelle carte », a expliqué M. Bedoui. Pour lui, cette nouvelle carte d'immatriculation est un projet économique par « excellence » dans la mesure où il permet « de fournir les informations nécessaires en ce qui concerne le contrôle technique de la voiture, son assurance contre les risques et éventuellement l'affichage de la consommation du carburant, s'il y a besoin », a-t-il précisé. Le nouveau permis biométrique, conçu par des ingénieurs algériens et dont le lancement coïncide avec l'entrée en vigueur du nouveau Code de la route, est un document « totalement sécurisé » qui permet une meilleure « vérification de son détenteur et un suivi minutieux de son statut juridique », Selon M. Bedoui. Outre l'aspect technologique, ce document, doté d'un système d'information avancé, vise à prévenir, mais aussi à lutter, contre les accidents de la route, d'après les explications du ministre de l'Intérieur. « Le nouveau Code de la route se base essentiellement sur le principe d'un permis à points. Et c'est cela qui garantira ce nouveau permis », a-t-il affirmé. Pour M. Bedoui, cette « prouesse technologique » facilitera également la tâche des agents des services de sécurité chargés de la sécurité routière. Ces derniers, n'auront plus besoin prochainement de dresser des contraventions écrites, a-t-il fait savoir. « Ce projet aura un grand impact sur les agents de sécurité chargés de la sécurité routière qui ne seront plus dans l'obligation de rédiger des contraventions grâce à l'utilisation de moyens électroniques efficaces », a-t-il révélé. Toutefois, les mesures de répression classiques pour lutter contre l'augmentation du nombre des accidents seront consolidées, a-t-il assuré. « Ce document (le permis biométrique) met la prévention au coeur de sa stratégie sans pour autant abandonner les mesures de répression classiques qui se consolident au vu du nombre impressionnant des victimes enregistrées chaque année », a-t-il souligné. S'agissant de la nouvelle carte d'immatriculation, le ministre de l'Intérieur a indiqué que cette dernière n'affichera pas les informations des véhicules comme les anciennes plaques. « Ces informations seront enregistrées grâce aux puces électroniques que contient cette nouvelle carte », a expliqué M. Bedoui. Pour lui, cette nouvelle carte d'immatriculation est un projet économique par « excellence » dans la mesure où il permet « de fournir les informations nécessaires en ce qui concerne le contrôle technique de la voiture, son assurance contre les risques et éventuellement l'affichage de la consommation du carburant, s'il y a besoin », a-t-il précisé.