La Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE) veut, apparemment, faire montre d'une grande vigilance s'agissant du respect des dispositions juridiques et réglementaires qui encadrent la campagne électorale. La Haute instance indépendante de surveillance des élections (HIISE) veut, apparemment, faire montre d'une grande vigilance s'agissant du respect des dispositions juridiques et réglementaires qui encadrent la campagne électorale. L'instance, que préside Abdelwahab Derbal, vient en effet de saisir les partis politiques leur enjoignant de respecter la réglementation. L'objet de cette correspondance, adressé hier et avanthier aux partis politiques participants aux élections législatives du 4 mai prochain, porte sur l'affichage des photos des candidates. Le non-affichage des photos de candidates dans les listes électorales par certains partis politiques n'a pas plu à la HIISE qui s'est alors empressée de le dire haut et fort. "Il n'est pas logique de présenter des listes de l'ensemble des candidats, avec photos de tout un chacun à l'appui, aux services du ministère de l'Intérieur et de ne pas les afficher par la suite sur les panneaux réservés à la campagne électorale" indique une source de la HIISE. Et à cette source de préciser que la HIISE a juste rappelé aux partis politiques la nécessité de respecter les dispositions de la loi. Ce d'autant, a encore ajouté cette source, que "cela entre aussi dans le cadre de la promotion de la participation de la femme dans la vie politique comme le stipule la loi y afférente et qu'il est du droit des électeurs de connaître les candidates à qui ils vont accorder leurs voix". Qu'en est-il de la position de la HIISE si des partis refusent de se conformer à ce qui semble être une véritable mise en garde. Les listes électorales où n'apparaissent pas les photos des candidats seront-elles alors annulées et par conséquent disqualifiées de la course électorale ? "Contrairement à ce qui a été rapporté par une dépêche de l'APS la HIISE n'a pas du tout fait mention des mesures à prendre dans le cas où des partis politiques refuseraient de souscrire à cette injonction car c'est une première étape" souligne, enfin, notre source. En tout cas la HIISE a aussi saisi le ministère de l'Intérieur sur cette question et ce à l'effet de prendre les mesures qui s'imposent. Pour l'illustration la HIISE a mis en garde, à Bordj-Bou-Arreridj, de nombreuses formations politiques, dont certaines sont considérées comme de grosses cylindrées. Il s'agit, notamment, du FFS, de l'Alliance islamiste - Nahda, Adala et El- Bina -, du FNA de Moussa Touati... Il faut dite que ce n'est pas la première fois que la HIISE interpelle les partis politiques à propos du respect de la loi. Lors de la première semaine de la campagne électorale, entamée pour rappel le 9 avril dernier, des dizaines d'écrits ont été, en effet, adressés aux partis politiques. Notons que le premier jour de la campagne électorale la HIISE, qui est une instance constitutionnelle, a lancé un appel à l'adresse de tous les candidats engagés dans la campagne électorale pour les législatives 2017. La HIISE a ainsi invité au respect des lois et règlements régissant le déroulement de la campagne électorale à travers les plages horaires et les espaces désignés à cet effet, sans aucun dépassement ni excès. L'instance, que préside Abdelwahab Derbal, vient en effet de saisir les partis politiques leur enjoignant de respecter la réglementation. L'objet de cette correspondance, adressé hier et avanthier aux partis politiques participants aux élections législatives du 4 mai prochain, porte sur l'affichage des photos des candidates. Le non-affichage des photos de candidates dans les listes électorales par certains partis politiques n'a pas plu à la HIISE qui s'est alors empressée de le dire haut et fort. "Il n'est pas logique de présenter des listes de l'ensemble des candidats, avec photos de tout un chacun à l'appui, aux services du ministère de l'Intérieur et de ne pas les afficher par la suite sur les panneaux réservés à la campagne électorale" indique une source de la HIISE. Et à cette source de préciser que la HIISE a juste rappelé aux partis politiques la nécessité de respecter les dispositions de la loi. Ce d'autant, a encore ajouté cette source, que "cela entre aussi dans le cadre de la promotion de la participation de la femme dans la vie politique comme le stipule la loi y afférente et qu'il est du droit des électeurs de connaître les candidates à qui ils vont accorder leurs voix". Qu'en est-il de la position de la HIISE si des partis refusent de se conformer à ce qui semble être une véritable mise en garde. Les listes électorales où n'apparaissent pas les photos des candidats seront-elles alors annulées et par conséquent disqualifiées de la course électorale ? "Contrairement à ce qui a été rapporté par une dépêche de l'APS la HIISE n'a pas du tout fait mention des mesures à prendre dans le cas où des partis politiques refuseraient de souscrire à cette injonction car c'est une première étape" souligne, enfin, notre source. En tout cas la HIISE a aussi saisi le ministère de l'Intérieur sur cette question et ce à l'effet de prendre les mesures qui s'imposent. Pour l'illustration la HIISE a mis en garde, à Bordj-Bou-Arreridj, de nombreuses formations politiques, dont certaines sont considérées comme de grosses cylindrées. Il s'agit, notamment, du FFS, de l'Alliance islamiste - Nahda, Adala et El- Bina -, du FNA de Moussa Touati... Il faut dite que ce n'est pas la première fois que la HIISE interpelle les partis politiques à propos du respect de la loi. Lors de la première semaine de la campagne électorale, entamée pour rappel le 9 avril dernier, des dizaines d'écrits ont été, en effet, adressés aux partis politiques. Notons que le premier jour de la campagne électorale la HIISE, qui est une instance constitutionnelle, a lancé un appel à l'adresse de tous les candidats engagés dans la campagne électorale pour les législatives 2017. La HIISE a ainsi invité au respect des lois et règlements régissant le déroulement de la campagne électorale à travers les plages horaires et les espaces désignés à cet effet, sans aucun dépassement ni excès.