Le président iranien modéré Hassan Rohani pourra briguer un second mandat lors de la présidentielle du 19 mai, sa candidature ayant été retenue par le Conseil des gardiens de la Constitution avec cinq autres, Etat. La candidature de l'ancien président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad a en revanche été rejetée par ce même conseil contrôlé par les religieux conservateurs. Le président iranien modéré Hassan Rohani pourra briguer un second mandat lors de la présidentielle du 19 mai, sa candidature ayant été retenue par le Conseil des gardiens de la Constitution avec cinq autres, Etat. La candidature de l'ancien président ultraconservateur Mahmoud Ahmadinejad a en revanche été rejetée par ce même conseil contrôlé par les religieux conservateurs. Ahmadinejad avait créé la surprise et la confusion le 12 avril en se portant candidat à l'électionprésidentielle malgré l'opposition du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei. Quelque 1.636 candidats, dont 137 femmes, s'étaient inscrits pour concourir lors de cette élection. Mais, le Conseil des gardiens de la Constitution, une sorte de conseil constitutionnel contrôlé par les religieux conservateurs, n'en n'a finalement retenu que six dont celle de Rohani. Parmi les candidats en lice figurent trois conservateurs: Ebrahim Raissi, un proche de Ali Khamenei, l'actuel maire de Téhéran Mohammad Bagher Ghalibaf et Mostafa Mirsalim. Le 1er vice-président de Hassan Rohani Eshagh Jahanguiri, un réformateur proche de M. Rohani, a aussi été autorisé à concourir ainsi que l'ancien ministre Mostafa Hashemitaba. Ahmadinejad avait créé la surprise et la confusion le 12 avril en se portant candidat à l'électionprésidentielle malgré l'opposition du guide suprême, l'ayatollah Ali Khamenei. Quelque 1.636 candidats, dont 137 femmes, s'étaient inscrits pour concourir lors de cette élection. Mais, le Conseil des gardiens de la Constitution, une sorte de conseil constitutionnel contrôlé par les religieux conservateurs, n'en n'a finalement retenu que six dont celle de Rohani. Parmi les candidats en lice figurent trois conservateurs: Ebrahim Raissi, un proche de Ali Khamenei, l'actuel maire de Téhéran Mohammad Bagher Ghalibaf et Mostafa Mirsalim. Le 1er vice-président de Hassan Rohani Eshagh Jahanguiri, un réformateur proche de M. Rohani, a aussi été autorisé à concourir ainsi que l'ancien ministre Mostafa Hashemitaba.