Le dernier rapport du Stockholm International Peace Research Institute (Sipri) spécialisé dans les questions militaires et de Défense classe l'Algérie parmi les rares pays à maintenir la cadence de leurs dépenses militaires. Le dernier rapport du Stockholm International Peace Research Institute (Sipri) spécialisé dans les questions militaires et de Défense classe l'Algérie parmi les rares pays à maintenir la cadence de leurs dépenses militaires. Dans un document diffusé sur le site web de l'institut www.sipri.org, l'Algérie pointe parmi les pays pétroliers comme l'Iran, le Koweït et la Norvège qui résistent au choc pétrolier et continuent à s'équiper en armements malgré la contraction drastiques des recettes. Le rapport souligne en effet "une large diminution" des dépenses militaires dans de nombreux pays exportateurs de pétrole impacté par la chute des revenus du pétrole et les problèmes économiques, comme l'explique Dr Nan Tian, chercheur au programme Amex du Sipri. En revanche, "une minorité" de pays exportateurs de pétrole, comme l'Algérie, l'Iran, le Koweït et la Norvège sont mieux équipés économiquement pour faire face aux chocs pétroliers et pourraient poursuivre leurs projets de dépenses comme en 2016, lit-on dans ce rapport. Plus qu'un maintien de son niveau de dépenses, l'Algérie a même augmenté ses dépenses militaires à hauteur de 2,3 %. Ainsi, la valeur des chats d'armements de l'Algérie attient 10,65 milliards de dollars en 2016. Un niveau qui la place en tête des plus gros budgets de défense en Afrique. Il va de soi qu'au niveau du Maghreb, le Maroc ne supporte pas la comparaison puisque les acquisitions de l'armée nationale représentent à elle seule, plus de la moitié du budget total de la région Afrique du Nord estimé à 18,7 milliards de dollars. L'Algérie "résiste" selon Sipri L'Algérie constitue donc l'une des exceptions des pays pétroliers qui ont tous réduits considérablement leurs budgets de défense. Le rapport soulgine qu'à tire d'exemple, "entre 2015 et 2016, l'Arabie saoudite a enregistré la plus forte baisse des dépenses en valeur absolue de 25,8 milliards de dollars. " Pour autant le royaume wahhabite englué dans sa guerre au Yémen et par procuration en Syrie maintient un budget de défense impressionnant de l'ordre de 63,7 milliards. Les réductions les plus importantes des dépenses militaires en 2016 liées principalement à la baisse des revenus pétroliers, atteignent -56 % au Venezuela - 54% au Soudan du Sud -36 en Azerbaïdjan et en Irak et enfin -30 % en Arabie saoudite. D'autres baisses notables ont été observées également en Angola, en Equateur, au Kazakhstan, au Mexique, en Oman et au Pérou. Au total, les dépenses militaires mondiales en 2016 représentent 2,2 % du PIB mondial, dont les plus élevées (6,0 %) sont signalées au Moyen-Orient même si les données ne sont pas disponibles (Qatar, Emirats arabes unis...). Et les plus basses dépenses sont recensées dans les Amériques, avec une moyenne de 1,3 % du PIB. L'Arabie saoudite, troisième plus grand dépensier en 2015, passe au quatrième rang en 2016. Les dépenses de l'Arabie saoudite ont diminué de 30 % en 2016 de dollars, malgré sa participation continue dans les guerres régionales. Les dépenses militaires de l'Inde ont augmenté de 8,5 % en 2016 à 55,9 milliards de dollars, ce qui en fait le cinquième plus grand dépensier. Dans un document diffusé sur le site web de l'institut www.sipri.org, l'Algérie pointe parmi les pays pétroliers comme l'Iran, le Koweït et la Norvège qui résistent au choc pétrolier et continuent à s'équiper en armements malgré la contraction drastiques des recettes. Le rapport souligne en effet "une large diminution" des dépenses militaires dans de nombreux pays exportateurs de pétrole impacté par la chute des revenus du pétrole et les problèmes économiques, comme l'explique Dr Nan Tian, chercheur au programme Amex du Sipri. En revanche, "une minorité" de pays exportateurs de pétrole, comme l'Algérie, l'Iran, le Koweït et la Norvège sont mieux équipés économiquement pour faire face aux chocs pétroliers et pourraient poursuivre leurs projets de dépenses comme en 2016, lit-on dans ce rapport. Plus qu'un maintien de son niveau de dépenses, l'Algérie a même augmenté ses dépenses militaires à hauteur de 2,3 %. Ainsi, la valeur des chats d'armements de l'Algérie attient 10,65 milliards de dollars en 2016. Un niveau qui la place en tête des plus gros budgets de défense en Afrique. Il va de soi qu'au niveau du Maghreb, le Maroc ne supporte pas la comparaison puisque les acquisitions de l'armée nationale représentent à elle seule, plus de la moitié du budget total de la région Afrique du Nord estimé à 18,7 milliards de dollars. L'Algérie "résiste" selon Sipri L'Algérie constitue donc l'une des exceptions des pays pétroliers qui ont tous réduits considérablement leurs budgets de défense. Le rapport soulgine qu'à tire d'exemple, "entre 2015 et 2016, l'Arabie saoudite a enregistré la plus forte baisse des dépenses en valeur absolue de 25,8 milliards de dollars. " Pour autant le royaume wahhabite englué dans sa guerre au Yémen et par procuration en Syrie maintient un budget de défense impressionnant de l'ordre de 63,7 milliards. Les réductions les plus importantes des dépenses militaires en 2016 liées principalement à la baisse des revenus pétroliers, atteignent -56 % au Venezuela - 54% au Soudan du Sud -36 en Azerbaïdjan et en Irak et enfin -30 % en Arabie saoudite. D'autres baisses notables ont été observées également en Angola, en Equateur, au Kazakhstan, au Mexique, en Oman et au Pérou. Au total, les dépenses militaires mondiales en 2016 représentent 2,2 % du PIB mondial, dont les plus élevées (6,0 %) sont signalées au Moyen-Orient même si les données ne sont pas disponibles (Qatar, Emirats arabes unis...). Et les plus basses dépenses sont recensées dans les Amériques, avec une moyenne de 1,3 % du PIB. L'Arabie saoudite, troisième plus grand dépensier en 2015, passe au quatrième rang en 2016. Les dépenses de l'Arabie saoudite ont diminué de 30 % en 2016 de dollars, malgré sa participation continue dans les guerres régionales. Les dépenses militaires de l'Inde ont augmenté de 8,5 % en 2016 à 55,9 milliards de dollars, ce qui en fait le cinquième plus grand dépensier.