Le représentant permanent adjoint de la Suède aux Nations Unies, Carl Skau, a déclaré à New York que la résolution sur le Sahara occidental, adoptée vendredi par le Conseil de sécurité, envoyait "un signal fort" pour la reprise des négociations en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple sahraoui. "La résolution d'aujourd'hui envoie un signal fort, clair et unifié qu'il est grand temps de reprendre les négociations en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara occidental", a indiqué Karl Skau suite à l'adoption de la résolution prorogeant le mandat de la Minurso d'une année. Le diplomate suédois a relevé que la résolution "appuyait fortement" la proposition du chef de l'ONU de relancer le processus politique avec "une nouvelle dynamique et un nouvel esprit". Se félicitant de l'engagement de l'ONU en faveur de la reprise du processus onusien, M. Skau a indiqué que peu de progrès avaient été réalisés durant les quatre rounds de négociations tenus jusqu'ici. Depuis, le processus politique s'est arrêté malgré les efforts déployés par les secrétaires généraux et les envoyés personnels successifs, a-t-il dit. La résolution appuie le nouvel envoyé spécial qui sera nommé prochainement à redynamiser le processus politique, a-t-il par ailleurs relevé, soulignant que la tenue d'un référendum d'autodétermination du peuple du Sahara occidental doit demeurer sur la table des discussions. M. Skau a précisé que le Conseil de sécurité a réitéré avec cette résolution "son plein appui à la Minurso qui joue un rôle clé un environnement complexe". "La mission a traversé une année difficile et nous nous réjouissons de son retour à la pleine fonctionnalité", a-t-il enchaîné. La Suède a également indiqué que "le chemin vers une solution politique mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple sahraoui se profilait à l'horizon avec l'adoption de cette résolution". La résolution offre, en effet, "la meilleure opportunité, depuis longtemps, de relancer un processus politique inactif depuis près d'une décennie ", a estimé la Suède. "La résolution d'aujourd'hui envoie un signal fort, clair et unifié qu'il est grand temps de reprendre les négociations en vue de parvenir à une solution politique juste, durable et mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple du Sahara occidental", a indiqué Karl Skau suite à l'adoption de la résolution prorogeant le mandat de la Minurso d'une année. Le diplomate suédois a relevé que la résolution "appuyait fortement" la proposition du chef de l'ONU de relancer le processus politique avec "une nouvelle dynamique et un nouvel esprit". Se félicitant de l'engagement de l'ONU en faveur de la reprise du processus onusien, M. Skau a indiqué que peu de progrès avaient été réalisés durant les quatre rounds de négociations tenus jusqu'ici. Depuis, le processus politique s'est arrêté malgré les efforts déployés par les secrétaires généraux et les envoyés personnels successifs, a-t-il dit. La résolution appuie le nouvel envoyé spécial qui sera nommé prochainement à redynamiser le processus politique, a-t-il par ailleurs relevé, soulignant que la tenue d'un référendum d'autodétermination du peuple du Sahara occidental doit demeurer sur la table des discussions. M. Skau a précisé que le Conseil de sécurité a réitéré avec cette résolution "son plein appui à la Minurso qui joue un rôle clé un environnement complexe". "La mission a traversé une année difficile et nous nous réjouissons de son retour à la pleine fonctionnalité", a-t-il enchaîné. La Suède a également indiqué que "le chemin vers une solution politique mutuellement acceptable qui pourvoie à l'autodétermination du peuple sahraoui se profilait à l'horizon avec l'adoption de cette résolution". La résolution offre, en effet, "la meilleure opportunité, depuis longtemps, de relancer un processus politique inactif depuis près d'une décennie ", a estimé la Suède.