Les partis politiques, en lice pour les élections législatives du 4 mai 2017, continuaient hier, au 21e jour de la campagne électorale, à sillonner les wilayas du pays pour défendre leurs programmes respectifs, insistant toujours, lors de leurs meetings sur l'intérêt de se rendre massivement aux urnes, mettant en garde les citoyens contre une "velléité de boycott", qui ne servirait en aucun cas la stabilité du pays. Les partis politiques, en lice pour les élections législatives du 4 mai 2017, continuaient hier, au 21e jour de la campagne électorale, à sillonner les wilayas du pays pour défendre leurs programmes respectifs, insistant toujours, lors de leurs meetings sur l'intérêt de se rendre massivement aux urnes, mettant en garde les citoyens contre une "velléité de boycott", qui ne servirait en aucun cas la stabilité du pays. Il en est ainsi du président du Mouvement de la société de la paix (MSP), Abderrezak Makri, qui considère depuis la wilaya de Chlef, où il animait un meeting populaire, qu'il revient aux citoyens, désirant un changement constructif, de se rendre en masse aux bureaux de vote et choisir les candidats susceptibles de "porter leurs préoccupations" au sein de l'Assemblée nationale (APN) et "défendre leurs intérêts". De Mascara, le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA) Amara Benyounes a affirmé que la participation massive des citoyens aux élections législatives constitue "la meilleure expression" de leur attachement à leur pays et leur désir à fonder des institutions nationales fortes capables de surmonter tous les défis auxquelles ferait face l'Algérie, appelant les électeurs de faire "le choix de candidats" qui oeuvrent à développer leurs wilayas et et "drainer l'investissement nécessaire à leur essor". La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune a, à son tour, appelé les citoyens, à Alger, où elle a animait un meeting, à se rendre massivement aux unes le 4 mai, "en vue d'opérer un changement dans tous les domaines pour l'intérêt suprême du pays". Il en est ainsi du président du Mouvement de la société de la paix (MSP), Abderrezak Makri, qui considère depuis la wilaya de Chlef, où il animait un meeting populaire, qu'il revient aux citoyens, désirant un changement constructif, de se rendre en masse aux bureaux de vote et choisir les candidats susceptibles de "porter leurs préoccupations" au sein de l'Assemblée nationale (APN) et "défendre leurs intérêts". De Mascara, le secrétaire général du Mouvement populaire algérien (MPA) Amara Benyounes a affirmé que la participation massive des citoyens aux élections législatives constitue "la meilleure expression" de leur attachement à leur pays et leur désir à fonder des institutions nationales fortes capables de surmonter tous les défis auxquelles ferait face l'Algérie, appelant les électeurs de faire "le choix de candidats" qui oeuvrent à développer leurs wilayas et et "drainer l'investissement nécessaire à leur essor". La secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune a, à son tour, appelé les citoyens, à Alger, où elle a animait un meeting, à se rendre massivement aux unes le 4 mai, "en vue d'opérer un changement dans tous les domaines pour l'intérêt suprême du pays".