Un échéancier pour le paiement de leurs arriérés fiscaux et des cotisations sociales, ainsi que de l'annulation des pénalités de retard des projets ont été accordés aux entreprises activant dans le domaine du BTPH, confrontées à des problèmes financiers en raison de la baisse de la commande publique. Un échéancier pour le paiement de leurs arriérés fiscaux et des cotisations sociales, ainsi que de l'annulation des pénalités de retard des projets ont été accordés aux entreprises activant dans le domaine du BTPH, confrontées à des problèmes financiers en raison de la baisse de la commande publique. Le vice-président de l'Association nationale des sociétés algériennes (ANSA), Nabil Hedjazi, qui a annoncé cette mesure, avant-hier, sur les ondes de la radio nationale, a expliqué qu'"une instruction a été donnée par le Premier ministre aux ministres des Finances et celui du Travail, permettant l'établissement d'un échéancier en faveur des entreprises activant dans le domaine du BTPH pour le paiement de leurs arriérés fiscaux et ceux des cotisations de la sécurité sociale". M. Hedjazi a souligné que la décision avait été prise à l'issue d'une rencontre entre les représentants de ces entreprises avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, tenue le 26 avril dernier, durant laquelle une liste de propositions a été remise aux pouvoirs publics pour prendre en charges les problèmes et les préoccupations des opérateurs dans ce domaine. Il a révélé avoir saisi l'occasion de cette rencontre avec le Premier ministre pour l'alerter sur une situation risquant, si elle n'est pas rapidement solutionnée, de jeter à la rue près d'un million de travailleurs du secteur. Estimant que 60% des 3.500 entreprises de BTPH en Algérie, soit près de 2.100 sociétés, sont confrontées à un "sérieux problème" de financement, il a ajouté que les entreprises avaient également trouvé un terrain d'entente avec les walis pour l'annulation des pénalités de retard des projets et la prorogation des délais de réalisation pour "améliorer des conditions de travail des entreprises et la sauvegarde d'un million d'emplois qui sont menacés". Les entreprises ont aussi réclamé leurs dus auprès des maîtres d'ouvrage afin de pouvoir faire face à leurs engagements financiers et poursuivre la réalisation de leurs projets. Selon M. Hedjazi, le niveau de la dette de ces entreprises à l'égard du Trésor public s'élève à 1,5 milliard de DA, précisant que des versements ont déjà été effectués tandis que d'autres devraient se faire dans les jours à venir, permettant aux entreprises de poursuivre leurs activités et la réalisation des projets. Le vice-président de l'Association nationale des sociétés algériennes (ANSA), Nabil Hedjazi, qui a annoncé cette mesure, avant-hier, sur les ondes de la radio nationale, a expliqué qu'"une instruction a été donnée par le Premier ministre aux ministres des Finances et celui du Travail, permettant l'établissement d'un échéancier en faveur des entreprises activant dans le domaine du BTPH pour le paiement de leurs arriérés fiscaux et ceux des cotisations de la sécurité sociale". M. Hedjazi a souligné que la décision avait été prise à l'issue d'une rencontre entre les représentants de ces entreprises avec le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, tenue le 26 avril dernier, durant laquelle une liste de propositions a été remise aux pouvoirs publics pour prendre en charges les problèmes et les préoccupations des opérateurs dans ce domaine. Il a révélé avoir saisi l'occasion de cette rencontre avec le Premier ministre pour l'alerter sur une situation risquant, si elle n'est pas rapidement solutionnée, de jeter à la rue près d'un million de travailleurs du secteur. Estimant que 60% des 3.500 entreprises de BTPH en Algérie, soit près de 2.100 sociétés, sont confrontées à un "sérieux problème" de financement, il a ajouté que les entreprises avaient également trouvé un terrain d'entente avec les walis pour l'annulation des pénalités de retard des projets et la prorogation des délais de réalisation pour "améliorer des conditions de travail des entreprises et la sauvegarde d'un million d'emplois qui sont menacés". Les entreprises ont aussi réclamé leurs dus auprès des maîtres d'ouvrage afin de pouvoir faire face à leurs engagements financiers et poursuivre la réalisation de leurs projets. Selon M. Hedjazi, le niveau de la dette de ces entreprises à l'égard du Trésor public s'élève à 1,5 milliard de DA, précisant que des versements ont déjà été effectués tandis que d'autres devraient se faire dans les jours à venir, permettant aux entreprises de poursuivre leurs activités et la réalisation des projets.