Un jour après le limogeage du ministre du Tourisme, le mouvement populaire algérien (MPA), le parti auquel appartient le désormais ex ministre Messaoud Benagoune, brise le silence. Un jour après le limogeage du ministre du Tourisme, le mouvement populaire algérien (MPA), le parti auquel appartient le désormais ex ministre Messaoud Benagoune, brise le silence. En effet, dans un long communiqué rendu public hier, le parti d'Amara Benyounés s'explique sur une affaire qui a fait couler beaucoup d'encre. Ainsi si d'emblée le MPA considère que ce limogeage fait partie d' « une procédure constitutionnelle » et « prérogative incontestable du président de la république », il n'en demeure pas moins le parti dégage toute sa responsabilité dans cette scandaleuse affaire, affaire qui fera certainement date dans les annales politiques du pays car jamais un ministre n'a été démis de ses fonctions deux jours après sa nomination. ET au communiqué, qui s'est attaqué à un « media » qu'il accuse d'avoir mené une « campagne infâme et un acharnement violent et indigne à l'encontre de Messaoud Benagoun , du MPA et de son président » de donner de plus amples explications sur cet épisode inédit de la vie politique nationale. « Le MPA tient a rappeler que Monsieur Messaoud , secrétaire général du Mouvement national des étudiants algériens, syndicat agrée après enquête du ministère de l'Intérieur et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, s'est présenté aux élections législatives dans la wilaya de Batna le 4 mai dernier et à ce titre il a satisfait à toutes les obligations légales et il a notamment présenté un casier judiciaire vierge » indique le communiqué du MPA. En somme, pour le parti d'Amara Benyounés Messaoud Benagoun n'était pas, comme l'indique clairement sa cand idature aux législatives, en porte à faux avec les lois de la république et par conséquent, le parti n'a commis aucune faute dans cette affaire. Le MPA enfonce davantage le clou en considérant que sa nomination au sein du gouvernement que « son nom ainsi que d'autres militants du MPA accompagnés de leurs CV ont été proposés depuis plusieurs jours et le choix du Premier ministre s'est porté sur Messaoud Benagoun dont le casier judicaire te le diplôme seront rendus publics ».En d'autres mots si faille il y a, elle est à chercher ailleurs. Et d'ailleurs le MPA est on ne peut plus clair sur cette question. « Dans tous les cas de figure la responsabilité de l'enquête ne peut incomber à notre parti » précise le communiqué. Le MPA réfute aussi les informations selon lesquelles il y aurait eu clash entre l'éphémère ministre et les cadres du ministère, ce qui aurait poussé ces derniers a la démission. « Quant aux pseudos demissions des cadres du ministère du Tourisme, nous rappelons que les passations ont eu lieu au ministère de l'Aménagement du territoire, le vendredi 26 mai et que Monsieur Benagoun a été démis de ses fonctions dimanche 28 mai dans la matinée, donc les fonctionnaires étaient au repos hebdomadaire et il ne devait rejoindre leur bureau au ministère du Tourisme que le mardi 30 mai 2017. De ce fait, il n'avait encore rencontré aucun fonctionnaire du ministére à l'exception de quelques cadres présents lors des passations de consignes » souligne le communiqué. ET au MPA de s'interroger sur l'identité des « commanditaires » de « cette machination diabolique qui a jeté en pâture l'honneur d'un jeune militant dont le seul crime est de vouloir servir le pays ? ». « Qui sont ces commanditaires qui cherchent à tromper l'opinion publique par des contrevérités infamantes ? ». Le communiqué s'interroge aussi sur les journalistes, qui au non de la lutte contre la corruption cherchent à salir un parti politique. A tous ceux là, le MPA martèle : « Non Messieurs, Messaoud Benagoune n'est ni un délinquant ni un corrompu! ». Le MPA dit, enfin, suivre avec « sérénité » l'évolution de cette affaire. En effet, dans un long communiqué rendu public hier, le parti d'Amara Benyounés s'explique sur une affaire qui a fait couler beaucoup d'encre. Ainsi si d'emblée le MPA considère que ce limogeage fait partie d' « une procédure constitutionnelle » et « prérogative incontestable du président de la république », il n'en demeure pas moins le parti dégage toute sa responsabilité dans cette scandaleuse affaire, affaire qui fera certainement date dans les annales politiques du pays car jamais un ministre n'a été démis de ses fonctions deux jours après sa nomination. ET au communiqué, qui s'est attaqué à un « media » qu'il accuse d'avoir mené une « campagne infâme et un acharnement violent et indigne à l'encontre de Messaoud Benagoun , du MPA et de son président » de donner de plus amples explications sur cet épisode inédit de la vie politique nationale. « Le MPA tient a rappeler que Monsieur Messaoud , secrétaire général du Mouvement national des étudiants algériens, syndicat agrée après enquête du ministère de l'Intérieur et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, s'est présenté aux élections législatives dans la wilaya de Batna le 4 mai dernier et à ce titre il a satisfait à toutes les obligations légales et il a notamment présenté un casier judiciaire vierge » indique le communiqué du MPA. En somme, pour le parti d'Amara Benyounés Messaoud Benagoun n'était pas, comme l'indique clairement sa cand idature aux législatives, en porte à faux avec les lois de la république et par conséquent, le parti n'a commis aucune faute dans cette affaire. Le MPA enfonce davantage le clou en considérant que sa nomination au sein du gouvernement que « son nom ainsi que d'autres militants du MPA accompagnés de leurs CV ont été proposés depuis plusieurs jours et le choix du Premier ministre s'est porté sur Messaoud Benagoun dont le casier judicaire te le diplôme seront rendus publics ».En d'autres mots si faille il y a, elle est à chercher ailleurs. Et d'ailleurs le MPA est on ne peut plus clair sur cette question. « Dans tous les cas de figure la responsabilité de l'enquête ne peut incomber à notre parti » précise le communiqué. Le MPA réfute aussi les informations selon lesquelles il y aurait eu clash entre l'éphémère ministre et les cadres du ministère, ce qui aurait poussé ces derniers a la démission. « Quant aux pseudos demissions des cadres du ministère du Tourisme, nous rappelons que les passations ont eu lieu au ministère de l'Aménagement du territoire, le vendredi 26 mai et que Monsieur Benagoun a été démis de ses fonctions dimanche 28 mai dans la matinée, donc les fonctionnaires étaient au repos hebdomadaire et il ne devait rejoindre leur bureau au ministère du Tourisme que le mardi 30 mai 2017. De ce fait, il n'avait encore rencontré aucun fonctionnaire du ministére à l'exception de quelques cadres présents lors des passations de consignes » souligne le communiqué. ET au MPA de s'interroger sur l'identité des « commanditaires » de « cette machination diabolique qui a jeté en pâture l'honneur d'un jeune militant dont le seul crime est de vouloir servir le pays ? ». « Qui sont ces commanditaires qui cherchent à tromper l'opinion publique par des contrevérités infamantes ? ». Le communiqué s'interroge aussi sur les journalistes, qui au non de la lutte contre la corruption cherchent à salir un parti politique. A tous ceux là, le MPA martèle : « Non Messieurs, Messaoud Benagoune n'est ni un délinquant ni un corrompu! ». Le MPA dit, enfin, suivre avec « sérénité » l'évolution de cette affaire.