L'affaire des migrants syriens, bloquée à Figuieg au Maroc, a finalement trouvée une issue salutaire pour ces personnes qui souffraient le martyr depuis le 17 avril dernier. En effet l'Algérie vient de décider de les accueillir sur son territoire alors que jusque là ils étaient bloqués. L'affaire des migrants syriens, bloquée à Figuieg au Maroc, a finalement trouvée une issue salutaire pour ces personnes qui souffraient le martyr depuis le 17 avril dernier. En effet l'Algérie vient de décider de les accueillir sur son territoire alors que jusque là ils étaient bloqués. L'annonce a été faite avant-hier jeudi par le porte parole du ministère algérien des Affaires étrangères(MAE), Abdelaziz Benali Cherif. «Le représentant du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), Hamdi Boukhari, a été reçu ce jour au ministère des Affaires étrangères où il a été informé de la décision des plus hautes autorités algériennes d'accueillir, à titre humanitaire, sur son territoire, le groupe de ressortissants syriens, dont une femme enceinte et des enfants, qui se trouve bloqué, depuis le 17 avril dernier à Figuieg en territoire marocain», a indiqué le porte parole du MAE dans une déclaration accordée à l'APS. Selon cette même source « ce geste humanitaire exceptionnel que l'Algérie consent tient compte de la situation particulièrement difficile dans laquelle se trouve ce groupe et procède de la volonté de l'Algérie d'y mettre un terme en ce mois sacré du Ramadan en accueillant sur son territoire les membres de ce groupe de migrants syriens, d'assurer leur hébergement, de leur prodiguer les soins nécessaires et de leur permettre, si tel est leur souhait, de rejoindre d'autres membres de leurs familles, dans le cadre d'un regroupement familial dans d'autres pays ». Pour le porte parole du MAE l'Algérie « consent ce geste par devoir de solidarité avec le peuple frère de Syrie dans l'épreuve qu'il traverse ». Et d'ajouter que « c'est ce même devoir de solidarité qui a conduit l'Algérie à accueillir sur son sol, depuis le début de la crise touchant ce pays frère, plus de quarante mille syriens qui ont bénéficié d'un dispositif leur permettant de jouir de facilités en matière de séjour, de libre circulation, de scolarisation, d'accès aux soins médicaux, au logement et à l'exercice d'activités commerciales ». Cette attitude louable de l'Algérie met ainsi un terme aux souffrances de ces migrants, mais aussi et surtout à une crise qui a envenimé les relations des deux pays voisins. Car le Maroc , fidèle à ses pratiques de provocations, a accusé l'Algérie d'être à l'origine de cette situation puisque Rabat a estimé que ces migrants voulaient accéder à son territoire à partir de l'Algérie . Le Maroc a en effet , selon un communiqué de son ministère des Affaires étrangères, exprimé sa « profonde préoccupation (...) suite à la tentative de 54 ressortissants syriens, entre le 17 et le 19 avril courant, d'entrer illégalement, à partir de l'Algérie, sur le territoire marocain au niveau de la zone frontalière de la ville de Figuig ». Pour le ministère marocain des affaires étrangères l'Algérie « doit assumer sa responsabilité politique et morale à l'égard de cette situation ». Rabat a même poussé l'outrecuidance un peu plus loin puisque l'ambassadeur d'Algérie au Maroc a été convoqué par le ministère des Affaires étrangères. L'Algérie en a fait de même puisque l'ambassadeur du Maroc à Alger a été convoqué au MAE pour lui signifier le rejet total de ces « allégations mensongères » et lui démontrer le caractère « totalement infondé » de ces graves accusations. Le MAE a pointé du doigt « cette propension des autorités marocaines à surabondamment exploiter des drames humains à des fins de propagande hostile ». En vérité ce sont les autorités marocaines qui voulaient faire entrer illégalement ces migrants en Algérie. Peine perdue puisque les autorités algériennes ont fait avorter cette énième machination. Notons que tour récemment le haut commissariat aux refugiés de l'Onu a exhorté les deux pays à trouver une solution à ce problème. Une sollicitation qui a trouvé un écho favorable auprès des autorités algériennes et ce au grand soulagement de ces ressortissants syriens . L'annonce a été faite avant-hier jeudi par le porte parole du ministère algérien des Affaires étrangères(MAE), Abdelaziz Benali Cherif. «Le représentant du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), Hamdi Boukhari, a été reçu ce jour au ministère des Affaires étrangères où il a été informé de la décision des plus hautes autorités algériennes d'accueillir, à titre humanitaire, sur son territoire, le groupe de ressortissants syriens, dont une femme enceinte et des enfants, qui se trouve bloqué, depuis le 17 avril dernier à Figuieg en territoire marocain», a indiqué le porte parole du MAE dans une déclaration accordée à l'APS. Selon cette même source « ce geste humanitaire exceptionnel que l'Algérie consent tient compte de la situation particulièrement difficile dans laquelle se trouve ce groupe et procède de la volonté de l'Algérie d'y mettre un terme en ce mois sacré du Ramadan en accueillant sur son territoire les membres de ce groupe de migrants syriens, d'assurer leur hébergement, de leur prodiguer les soins nécessaires et de leur permettre, si tel est leur souhait, de rejoindre d'autres membres de leurs familles, dans le cadre d'un regroupement familial dans d'autres pays ». Pour le porte parole du MAE l'Algérie « consent ce geste par devoir de solidarité avec le peuple frère de Syrie dans l'épreuve qu'il traverse ». Et d'ajouter que « c'est ce même devoir de solidarité qui a conduit l'Algérie à accueillir sur son sol, depuis le début de la crise touchant ce pays frère, plus de quarante mille syriens qui ont bénéficié d'un dispositif leur permettant de jouir de facilités en matière de séjour, de libre circulation, de scolarisation, d'accès aux soins médicaux, au logement et à l'exercice d'activités commerciales ». Cette attitude louable de l'Algérie met ainsi un terme aux souffrances de ces migrants, mais aussi et surtout à une crise qui a envenimé les relations des deux pays voisins. Car le Maroc , fidèle à ses pratiques de provocations, a accusé l'Algérie d'être à l'origine de cette situation puisque Rabat a estimé que ces migrants voulaient accéder à son territoire à partir de l'Algérie . Le Maroc a en effet , selon un communiqué de son ministère des Affaires étrangères, exprimé sa « profonde préoccupation (...) suite à la tentative de 54 ressortissants syriens, entre le 17 et le 19 avril courant, d'entrer illégalement, à partir de l'Algérie, sur le territoire marocain au niveau de la zone frontalière de la ville de Figuig ». Pour le ministère marocain des affaires étrangères l'Algérie « doit assumer sa responsabilité politique et morale à l'égard de cette situation ». Rabat a même poussé l'outrecuidance un peu plus loin puisque l'ambassadeur d'Algérie au Maroc a été convoqué par le ministère des Affaires étrangères. L'Algérie en a fait de même puisque l'ambassadeur du Maroc à Alger a été convoqué au MAE pour lui signifier le rejet total de ces « allégations mensongères » et lui démontrer le caractère « totalement infondé » de ces graves accusations. Le MAE a pointé du doigt « cette propension des autorités marocaines à surabondamment exploiter des drames humains à des fins de propagande hostile ». En vérité ce sont les autorités marocaines qui voulaient faire entrer illégalement ces migrants en Algérie. Peine perdue puisque les autorités algériennes ont fait avorter cette énième machination. Notons que tour récemment le haut commissariat aux refugiés de l'Onu a exhorté les deux pays à trouver une solution à ce problème. Une sollicitation qui a trouvé un écho favorable auprès des autorités algériennes et ce au grand soulagement de ces ressortissants syriens .