Plus de 761.000 candidats à l'examen du baccalauréat 2017 sont attendus demain dans 2.518 centres d'examen alors que l'annonce des résultats aura lieu le 15 juillet prochain. Plus de 761.000 candidats à l'examen du baccalauréat 2017 sont attendus demain dans 2.518 centres d'examen alors que l'annonce des résultats aura lieu le 15 juillet prochain. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, donnera le coup d'envoi des épreuves, qui vont durer 5 jours (du 11 au 15 juin), dans les wilayas de Guelma et Souk- Ahras. Les statistiques du ministère de l'Education indiquent que le total des candidats concernés par cette session est de 761.701, en baisse de 56.817 comparativement à la session de 2016 qui a vu la participation de 818.518 élèves. Sur le total inscrit, 491.298 sont des candidats scolarisés et 270.403 postulent en candidats libres, ce qui représente 35,50 % du nombre global alors que le nombre de filles inscrites à ces épreuves représente 54,71%. La ministre de l'Education avait rassuré que les mêmes procédures en vigueur seront appliquées lors de cette session avec la possibilité de choisir entre deux sujets dans chaque matière, précisant que les candidats bénéficieront, s'agissant de la durée des épreuves, de 30 minutes supplémentaires. Afin de préserver la crédibilité de l'examen du baccalauréat et de garantir le principe de l'égalité des chances entre les candidats, la ministre a souligné que des mesures nécessaires ont été prises pour sécuriser l'opération à travers "un protocole extrêmement long et très pointu qui sera mis en oeuvre au niveau local avec la contribution des services de sécurité". Nouria Benghabrit a précisé que la sécurisation de cet examen commence au niveau de l'Office national des examens et concours (Onec) qui a bénéficié cette année d'"une remise à niveau" grâce aux moyens financiers consentis par les pouvoirs publics. Parmi les mesures visant à sécuriser le déroulement de l'examen figurent l'interdiction des téléphones portables, des outils numériques, des écouteurs, des antisèches, etc. S'agissant des sanctions prévues contre les candidats coupables de triche, la ministre avait indiqué que les sanctions varient entre 5 ans d'exclusion pour les candidats scolarisés et 10 ans pour les candidats libres. La Gendarmerie nationale a élaboré pour la circonstance un plan de sécurité spécial pour ces examens en mobilisant les moyens humains et matériels pour le bon déroulement des épreuves. Les centres d'impression des sujets des épreuves seront ainsi sécurisés et les brigades de la sécurité routière de la Gendarmerie nationale renforcées au niveau des différentes routes nationales, communales et de wilayas, notamment celles débouchant sur les zones urbaines avant et pendant le déroulement des examens. Dans le même cadre, le Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a mis en place un dispositif de sécurité à l'occasion des examens de fin d'année scolaire 2016/2017, tous paliers confondus, et dont la mise en exécution est confiée à des brigades au niveau des sûretés des 48 wilayas. Ce dispositif repose sur la mobilisation des services de la police pour sécuriser les centres d'examen pour les trois paliers (primaire, moyen et secondaire) dans les régions urbaines à travers l'ensemble du territoire national, et comporte des mesures sécuritaires pragmatiques visant à garantir la fluidité routière et faciliter le trafic au niveau des grands axes menant vers les centres d'examen, outre les équipes de sécurité spécialisées chargées de l'escorte et la sécurisation des sujets et les copies vers les centres de correction. De son côté, la Protection civile est mobilisée pour la circonstance avec ses services techniques de prévention qui ont effectué des visites au niveau de l'ensemble des établissements scolaires désignés pour accueillir les examens afin de veiller à la conformité des normes de sécurité et garantir la protection des utilisateurs. Il faut rappeler que l'examen du baccalauréat de 2016 a été marqué par l'organisation d'une deuxième session suite à la fuite des sujets notamment dans la filière des sciences expérimentales nécessitant une réorganisation partielle des examens. Le taux de réussite en 2016 était de 49,79 % pour les candidats scolarisés et de 33,7 pour les candidats libres. La ministre de l'Education nationale, Nouria Benghabrit, donnera le coup d'envoi des épreuves, qui vont durer 5 jours (du 11 au 15 juin), dans les wilayas de Guelma et Souk- Ahras. Les statistiques du ministère de l'Education indiquent que le total des candidats concernés par cette session est de 761.701, en baisse de 56.817 comparativement à la session de 2016 qui a vu la participation de 818.518 élèves. Sur le total inscrit, 491.298 sont des candidats scolarisés et 270.403 postulent en candidats libres, ce qui représente 35,50 % du nombre global alors que le nombre de filles inscrites à ces épreuves représente 54,71%. La ministre de l'Education avait rassuré que les mêmes procédures en vigueur seront appliquées lors de cette session avec la possibilité de choisir entre deux sujets dans chaque matière, précisant que les candidats bénéficieront, s'agissant de la durée des épreuves, de 30 minutes supplémentaires. Afin de préserver la crédibilité de l'examen du baccalauréat et de garantir le principe de l'égalité des chances entre les candidats, la ministre a souligné que des mesures nécessaires ont été prises pour sécuriser l'opération à travers "un protocole extrêmement long et très pointu qui sera mis en oeuvre au niveau local avec la contribution des services de sécurité". Nouria Benghabrit a précisé que la sécurisation de cet examen commence au niveau de l'Office national des examens et concours (Onec) qui a bénéficié cette année d'"une remise à niveau" grâce aux moyens financiers consentis par les pouvoirs publics. Parmi les mesures visant à sécuriser le déroulement de l'examen figurent l'interdiction des téléphones portables, des outils numériques, des écouteurs, des antisèches, etc. S'agissant des sanctions prévues contre les candidats coupables de triche, la ministre avait indiqué que les sanctions varient entre 5 ans d'exclusion pour les candidats scolarisés et 10 ans pour les candidats libres. La Gendarmerie nationale a élaboré pour la circonstance un plan de sécurité spécial pour ces examens en mobilisant les moyens humains et matériels pour le bon déroulement des épreuves. Les centres d'impression des sujets des épreuves seront ainsi sécurisés et les brigades de la sécurité routière de la Gendarmerie nationale renforcées au niveau des différentes routes nationales, communales et de wilayas, notamment celles débouchant sur les zones urbaines avant et pendant le déroulement des examens. Dans le même cadre, le Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN) a mis en place un dispositif de sécurité à l'occasion des examens de fin d'année scolaire 2016/2017, tous paliers confondus, et dont la mise en exécution est confiée à des brigades au niveau des sûretés des 48 wilayas. Ce dispositif repose sur la mobilisation des services de la police pour sécuriser les centres d'examen pour les trois paliers (primaire, moyen et secondaire) dans les régions urbaines à travers l'ensemble du territoire national, et comporte des mesures sécuritaires pragmatiques visant à garantir la fluidité routière et faciliter le trafic au niveau des grands axes menant vers les centres d'examen, outre les équipes de sécurité spécialisées chargées de l'escorte et la sécurisation des sujets et les copies vers les centres de correction. De son côté, la Protection civile est mobilisée pour la circonstance avec ses services techniques de prévention qui ont effectué des visites au niveau de l'ensemble des établissements scolaires désignés pour accueillir les examens afin de veiller à la conformité des normes de sécurité et garantir la protection des utilisateurs. Il faut rappeler que l'examen du baccalauréat de 2016 a été marqué par l'organisation d'une deuxième session suite à la fuite des sujets notamment dans la filière des sciences expérimentales nécessitant une réorganisation partielle des examens. Le taux de réussite en 2016 était de 49,79 % pour les candidats scolarisés et de 33,7 pour les candidats libres.