Les épreuves du baccalauréat se poursuivent pour le deuxième jour à travers le pays sans incidents majeurs mis à part les tentatives de diffusion de sujets d'examens, les quelques tentatives de fraude signalées et le taux des retardataires en nette progression par rapport à la session de juin 2016 et 2015. Les épreuves du baccalauréat se poursuivent pour le deuxième jour à travers le pays sans incidents majeurs mis à part les tentatives de diffusion de sujets d'examens, les quelques tentatives de fraude signalées et le taux des retardataires en nette progression par rapport à la session de juin 2016 et 2015. Un taux d'absences de 11,39 %, des candidats libres pour la majorité, a été enregistré au premier jour des épreuves du baccalauréat (session juin 2017), a indiqué lundi la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit qui a fait état de 69 tentatives de fraude. "11,39 % de cas d'absence ont été enregistrés au premier jour des épreuves, dont 1,56 % sont des candidats scolarisés", a précisé Mme Benghebrit à l'APS. Elle a rappelé que tout retard enregistré après 9h, privera le candidat de sa participation aux épreuves, précisant que cette mesure "s'inscrit dans le cadre des dispositions adoptées pour sécuriser et garantir la crédibilité du baccalauréat". La ministre avait souligné, à maintes reprises, la nécessité de se présenter à l'examen une demi-heure avant le début des épreuves. Mme Benghebrit a indiqué par ailleurs, que 69 tentatives de fraude ont été enregistrées au premier jour des épreuves, liées essentiellement à l'utilisation du téléphone portable. La première responsable du secteur avait annoncé que des sanctions sévères étaient prévues à cet effet allant de cinq ans d'exclusion pour les candidats scolarisés et de 10 ans pour les candidats libres, avertissant que tout candidat pris en possession d'un téléphone portable sera considéré comme étant en tentative de fraude. Pour rappel, le gouvernement a adopté un plan approuvé par le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales pour sécuriser les lieux des examens outre la réhabilitation du siège régional de l'Office national des examens et concours (ONEC), la réduction du nombre des centres de conservation des sujets, l'installation de brouilleurs et de vidéosurveillance au niveau des centres d'impression des sujets du baccalauréat ainsi que l'interdiction de l'accès des véhicules aux centres d'examen. Les retards ne sont pas admis le jour de l'examen, les portables et tout autre moyen de communication doivent être déposés à l'entrée du centre dans une salle aménagée à cet effet. Des affiches interdisant des appareils comme le téléphone portable, les écouteurs et le bluetooth, ont été collées au niveau des centres d'examen. Des orientations ont été données aux candidats par les enseignants-surveillants et tous ces avertissements sont mentionnés dans les convocations. 761.701 candidats dont 491.298 scolarisés et 270.403 candidats, passent depuis dimanche les épreuves du baccalauréat. Un taux d'absences de 11,39 %, des candidats libres pour la majorité, a été enregistré au premier jour des épreuves du baccalauréat (session juin 2017), a indiqué lundi la ministre de l'Education nationale, Nouria Benghebrit qui a fait état de 69 tentatives de fraude. "11,39 % de cas d'absence ont été enregistrés au premier jour des épreuves, dont 1,56 % sont des candidats scolarisés", a précisé Mme Benghebrit à l'APS. Elle a rappelé que tout retard enregistré après 9h, privera le candidat de sa participation aux épreuves, précisant que cette mesure "s'inscrit dans le cadre des dispositions adoptées pour sécuriser et garantir la crédibilité du baccalauréat". La ministre avait souligné, à maintes reprises, la nécessité de se présenter à l'examen une demi-heure avant le début des épreuves. Mme Benghebrit a indiqué par ailleurs, que 69 tentatives de fraude ont été enregistrées au premier jour des épreuves, liées essentiellement à l'utilisation du téléphone portable. La première responsable du secteur avait annoncé que des sanctions sévères étaient prévues à cet effet allant de cinq ans d'exclusion pour les candidats scolarisés et de 10 ans pour les candidats libres, avertissant que tout candidat pris en possession d'un téléphone portable sera considéré comme étant en tentative de fraude. Pour rappel, le gouvernement a adopté un plan approuvé par le ministère de l'Intérieur et des collectivités locales pour sécuriser les lieux des examens outre la réhabilitation du siège régional de l'Office national des examens et concours (ONEC), la réduction du nombre des centres de conservation des sujets, l'installation de brouilleurs et de vidéosurveillance au niveau des centres d'impression des sujets du baccalauréat ainsi que l'interdiction de l'accès des véhicules aux centres d'examen. Les retards ne sont pas admis le jour de l'examen, les portables et tout autre moyen de communication doivent être déposés à l'entrée du centre dans une salle aménagée à cet effet. Des affiches interdisant des appareils comme le téléphone portable, les écouteurs et le bluetooth, ont été collées au niveau des centres d'examen. Des orientations ont été données aux candidats par les enseignants-surveillants et tous ces avertissements sont mentionnés dans les convocations. 761.701 candidats dont 491.298 scolarisés et 270.403 candidats, passent depuis dimanche les épreuves du baccalauréat.