Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé avant-hier jeudi à un mouvement dans le corps des walis et des walis délégués, qui a touché plusieurs wilayas et wilayas délégués. Selon le communiqué rendu public par la présidence de la République 28 wilayas et 7 wilayas déléguées sont concernés par ce mouvement. Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé avant-hier jeudi à un mouvement dans le corps des walis et des walis délégués, qui a touché plusieurs wilayas et wilayas délégués. Selon le communiqué rendu public par la présidence de la République 28 wilayas et 7 wilayas déléguées sont concernés par ce mouvement. Autant dire qu'il s'agit d'un vaste mouvement puisque plus de 50 % de wilayas ont changé de têtes. Cela n'a pas été le cas depuis de très nombreuses années. Pour preuve le dernier mouvement opéré par le chef de l'Etat a été moins important, en tout cas pas de l'ampleur de celui d'avant-hier jeudi. Au tout début du mois d'octobre de l'année écoulée le mouvement dans le corps des walis n'a concerné que 18 wilayas. C'est dire la grande ampleur de ce mouvement à la faveur duquel presque toutes les grandes wilayas du pays ont été touchées. Il s'agit, à titred'exemple, d'Oran, Sétif, Annaba, Tlemcen, Constantine, Batna et Blida. Alger, la capitale, a été épargnée par ce mouvement. Le président de la République a ainsi renouvelle sa confiance au wali Abdelkader Zoukh. Ce dernier, pour rappel, est à la tête de la wilaya d'Alger depuis le mois d'octobre 2013, soit presque 4 années maintenant. Très médiatisé, Abdelkader Zoukh, qui cumule unelongue expérience dans la gestionpuisqu'il a auparavant dirigé plusieurs wilayas comme Oran, Sétif et Msila, est surtout connu pour avoir mené, sur instructions du gouvernement, plusieurs campagne de relogement dans la capitaleen parvenant a juguler, voire même àéradiquer l'habitat précaire. Mais si Abdelkader Zoukh continue de jouir de la confiance du président Bouteflika ce n'est malheureusement pas le cas d'autres walis qui semblent bel et bien avoir fait les fraisde ce mouvement. Autant dire qu'ils ont été sanctionnés et donc débarqués de leurspostes. Ils n'ont donc pas satisfaits auxexigences de leurs fonctions. Pas moins de 5 ou 6 walis sont dans ce lot. L'on peut citer les walis de Constantine, de Djelfa, Chlef, Sétif et Msila. Benhassine Faouzi, wali de Chlef, Maskri Nacer, wali de Sétif, Kamel Abbas, wali de Constantine et Meguedad Hadj, wali de M'sila ont en effet été débarqués moins d'une année après leur désignation dans le cadre du mouvement du mois d'octobre 2016. Autre particularité de ce mouvement et contrairement à un passé tout récent l'on note l'absence totale des permutations. Il y a aussi lieu de mettre en exergue la promotion de nombreuxsecrétaires généraux de wilayas. Ilssont en effet une dizaine à avoir bénéficiéde cette promotion. C'est le cas de Siouda Abdelkhalek, wali de Batna qui était secrétairegénéral de la wilaya de Constantine, de Benyaiche Ali, wali de Tlemcen qui était secrétaire général à la wilaya deBéchar et de Far Bachir, wali de Jijel qui était secrétaire general à la wilaya de Ain Témouchent. IL s'agit aussi de Louh Sif El Islam, wali de Saïda, BelkatebMohamed, wali d'El-Tarf, de Nouicer Kamel, wali de Khenchela, de Badaoui Abbas, wali de Souk-Ahras, de Ahmouda Zine Eddine, wali de Mila, deHadjar Mohamed, wali de Naâma et de Ouinez Labiba, wali d'Aïn Témouchent. Par ailleurs un wali délégué a été promuwali. Il s'agit de Doumi Djillali, le nouveauwali de Tamanrasset qui était walidélégué de Dar El-Beïda. La part réservée àla gent féminine reste très insignifiante.Deux femmes seulement ont été promus walis Ouinez Labiba, à Aïn-Témouchentet Brahimi Nacera, wali à Relizane. Dansce cadre aussi l'on note la nomination deZibouche Fatiha comme wali déléguée de Bouzaréah. Il est aussi à relever que les quatre wilayas, à savoir Annaba, Blida, Oran et Tlemcen, dont les walis ont été nommés ministres par le chef de l'Etat au sein du gouvernement Tebboune, ont désormais de ouveaux walis. Autant dire qu'il s'agit d'un vaste mouvement puisque plus de 50 % de wilayas ont changé de têtes. Cela n'a pas été le cas depuis de très nombreuses années. Pour preuve le dernier mouvement opéré par le chef de l'Etat a été moins important, en tout cas pas de l'ampleur de celui d'avant-hier jeudi. Au tout début du mois d'octobre de l'année écoulée le mouvement dans le corps des walis n'a concerné que 18 wilayas. C'est dire la grande ampleur de ce mouvement à la faveur duquel presque toutes les grandes wilayas du pays ont été touchées. Il s'agit, à titred'exemple, d'Oran, Sétif, Annaba, Tlemcen, Constantine, Batna et Blida. Alger, la capitale, a été épargnée par ce mouvement. Le président de la République a ainsi renouvelle sa confiance au wali Abdelkader Zoukh. Ce dernier, pour rappel, est à la tête de la wilaya d'Alger depuis le mois d'octobre 2013, soit presque 4 années maintenant. Très médiatisé, Abdelkader Zoukh, qui cumule unelongue expérience dans la gestionpuisqu'il a auparavant dirigé plusieurs wilayas comme Oran, Sétif et Msila, est surtout connu pour avoir mené, sur instructions du gouvernement, plusieurs campagne de relogement dans la capitaleen parvenant a juguler, voire même àéradiquer l'habitat précaire. Mais si Abdelkader Zoukh continue de jouir de la confiance du président Bouteflika ce n'est malheureusement pas le cas d'autres walis qui semblent bel et bien avoir fait les fraisde ce mouvement. Autant dire qu'ils ont été sanctionnés et donc débarqués de leurspostes. Ils n'ont donc pas satisfaits auxexigences de leurs fonctions. Pas moins de 5 ou 6 walis sont dans ce lot. L'on peut citer les walis de Constantine, de Djelfa, Chlef, Sétif et Msila. Benhassine Faouzi, wali de Chlef, Maskri Nacer, wali de Sétif, Kamel Abbas, wali de Constantine et Meguedad Hadj, wali de M'sila ont en effet été débarqués moins d'une année après leur désignation dans le cadre du mouvement du mois d'octobre 2016. Autre particularité de ce mouvement et contrairement à un passé tout récent l'on note l'absence totale des permutations. Il y a aussi lieu de mettre en exergue la promotion de nombreuxsecrétaires généraux de wilayas. Ilssont en effet une dizaine à avoir bénéficiéde cette promotion. C'est le cas de Siouda Abdelkhalek, wali de Batna qui était secrétairegénéral de la wilaya de Constantine, de Benyaiche Ali, wali de Tlemcen qui était secrétaire général à la wilaya deBéchar et de Far Bachir, wali de Jijel qui était secrétaire general à la wilaya de Ain Témouchent. IL s'agit aussi de Louh Sif El Islam, wali de Saïda, BelkatebMohamed, wali d'El-Tarf, de Nouicer Kamel, wali de Khenchela, de Badaoui Abbas, wali de Souk-Ahras, de Ahmouda Zine Eddine, wali de Mila, deHadjar Mohamed, wali de Naâma et de Ouinez Labiba, wali d'Aïn Témouchent. Par ailleurs un wali délégué a été promuwali. Il s'agit de Doumi Djillali, le nouveauwali de Tamanrasset qui était walidélégué de Dar El-Beïda. La part réservée àla gent féminine reste très insignifiante.Deux femmes seulement ont été promus walis Ouinez Labiba, à Aïn-Témouchentet Brahimi Nacera, wali à Relizane. Dansce cadre aussi l'on note la nomination deZibouche Fatiha comme wali déléguée de Bouzaréah. Il est aussi à relever que les quatre wilayas, à savoir Annaba, Blida, Oran et Tlemcen, dont les walis ont été nommés ministres par le chef de l'Etat au sein du gouvernement Tebboune, ont désormais de ouveaux walis.