Les services de la sûreté de la circonscription administrative de Dar el-Beïda ont arrêté récemment une femme de ménage, soupçonnée d'une tentative d'enlèvement d'un nouveau-né à l'hôpital d'Aïn-Taya, indique avant-hier un communiqué de la cellule de communication. Les services de la sûreté de la circonscription administrative de Dar el-Beïda ont arrêté récemment une femme de ménage, soupçonnée d'une tentative d'enlèvement d'un nouveau-né à l'hôpital d'Aïn-Taya, indique avant-hier un communiqué de la cellule de communication. L'arrestation de la mise en cause estintervenue dans le cadre d'une enquête lancée au niveau du service de maternitéde l'hôpital d'Aïn-Taya suite à la plainte d'une mère affirmant avoir été réveilléepar un léger bruit aux environs de 2hpour découvrir une femme de ménages'éloignant avec le bébé dans les bras. Suite à cet indicent, le surveillent médical et le directeur de garde de l'hôpital ont déclaré qu'une femme de ménage n'est aucunement autorisée à accéder aux chambres des patientes. Le responsable de l'hygiène de l'hôpital a quant à lui affirmé que la mise en cause n'était chargée que du nettoyagede la salle de travail et non des chambresdes patientes. La femme de ménage s'est justifiée en disant qu'en se rendant aux sanitaires duservice, elle a vu que des gants couvraientle visage du bébé et qu'elle les aenlevé en réveillant la maman.Apres finalisation de la procédure légaleen vigueur, le procureur de laRépublique territorialement compètent aordonné de placer l'accusée sous contrôle judiciaire. L'arrestation de la mise en cause estintervenue dans le cadre d'une enquête lancée au niveau du service de maternitéde l'hôpital d'Aïn-Taya suite à la plainte d'une mère affirmant avoir été réveilléepar un léger bruit aux environs de 2hpour découvrir une femme de ménages'éloignant avec le bébé dans les bras. Suite à cet indicent, le surveillent médical et le directeur de garde de l'hôpital ont déclaré qu'une femme de ménage n'est aucunement autorisée à accéder aux chambres des patientes. Le responsable de l'hygiène de l'hôpital a quant à lui affirmé que la mise en cause n'était chargée que du nettoyagede la salle de travail et non des chambresdes patientes. La femme de ménage s'est justifiée en disant qu'en se rendant aux sanitaires duservice, elle a vu que des gants couvraientle visage du bébé et qu'elle les aenlevé en réveillant la maman.Apres finalisation de la procédure légaleen vigueur, le procureur de laRépublique territorialement compètent aordonné de placer l'accusée sous contrôle judiciaire.