Le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, rencontrera le 30 juillet au Palais du gouvernement à Alger, les partenaires du Pacte national économique et social de croissance, UGTA et Patronat, pour examiner ensemble les points à l'organisation de la prochaine réunion de la tripartite, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre. Le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune, rencontrera le 30 juillet au Palais du gouvernement à Alger, les partenaires du Pacte national économique et social de croissance, UGTA et Patronat, pour examiner ensemble les points à l'organisation de la prochaine réunion de la tripartite, a indiqué un communiqué des services du Premier ministre. "Il sera procédé notamment, au cours de cet échange de concertation, à l'examen des points à l'ordre du jour à soumettre à la Tripartite, ainsi que la fixation de la date et du lieu de la tenue de cette rencontre dont l'organisation est prévue prochainement", ajoute le communiqué. Cette prochaine tripartite, qui interviendra après celle tenue en mars dernier à Annaba, sera la première à être présidée par le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune. Le conclave de dimanche prochain réunira, en présence du Premier ministre, les présidents et organisations patronales et le SG de la Centrale syndicale, à savoir l'UGTA, la CGEA, le FCE, l'UNEP, la CNPA, la CIPA, la CAP, le BTPH, l'UNI (CGP-BTPH) et l'AGEA. rônant constamment le dialogue national, Tebboune avait affirmé, lors de la présentation du Plan d'action du gouvernement devant le Parlement en juin dernier, que le gouvernement s'attèlerait "à l'ouverture de canaux du dialogue et de concertation avec toutes les composantes du tissu national, qu'elles soient politiques, syndicales, académiques ou associatives pour expliquer la démarche de l'exécutif, obtenir la confiance et l'adhésion de tous". Tebboune a indiqué, par la même occasion, que "le gouvernement est conscient qu'un consensus autour des questions nationales majeuresfacilitera grandement la réalisation des objectifs tracés dans son Plan d'action pour la mise en oeuvre du programme du président de la République", soulignant l'importanced'atteindre "un consensus nationalpour gérer la crise économique en vue depréserver l'indépendance et la souveraineté nationale dans la prise de décision". Pourrappel, le Pacte national économique et social de croissance avait été signé lors des travaux de la Tripartite tenue en février 2014 à Alger. Ce pacte s'est donné pour objectifs l'accélération du processus desréformes économiques, le développement industriel, l'amélioration du climat desaffaires, le système de santé et de la protection sociale, l'accès au travail et l`amélioration du pouvoir d`achat, ainsi que la sécurité énergétique et l`adéquation du système de formation avec les besoins de l'entreprise. Il est basé sur la volonté duprésident de la République, Abdelaziz Bouteflika, de promouvoir la concertationafin d'atteindre l'épanouissementéconomique. Rappelons que les signatairesde ce pacte ont été le gouvernement, l'UGTA, la Confédération générale desentreprises algériennes (CGEA), le Forumdes chefs d'entreprise (FCE), l'Unionnationale des entrepreneurs publics (Unep),la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), la Confédération des industriels et des producteurs algériens (Cipa), la Confédération algérienne dupatronat (CAP), I'Union nationale desInvestisseurs (Uni), la Confédérationgénérale du patronat BTPH (CGP-BTPH) t l'Assemblée générale des entrepreneurs algériens (AGEA). "Il sera procédé notamment, au cours de cet échange de concertation, à l'examen des points à l'ordre du jour à soumettre à la Tripartite, ainsi que la fixation de la date et du lieu de la tenue de cette rencontre dont l'organisation est prévue prochainement", ajoute le communiqué. Cette prochaine tripartite, qui interviendra après celle tenue en mars dernier à Annaba, sera la première à être présidée par le Premier ministre, Abdelmadjid Tebboune. Le conclave de dimanche prochain réunira, en présence du Premier ministre, les présidents et organisations patronales et le SG de la Centrale syndicale, à savoir l'UGTA, la CGEA, le FCE, l'UNEP, la CNPA, la CIPA, la CAP, le BTPH, l'UNI (CGP-BTPH) et l'AGEA. rônant constamment le dialogue national, Tebboune avait affirmé, lors de la présentation du Plan d'action du gouvernement devant le Parlement en juin dernier, que le gouvernement s'attèlerait "à l'ouverture de canaux du dialogue et de concertation avec toutes les composantes du tissu national, qu'elles soient politiques, syndicales, académiques ou associatives pour expliquer la démarche de l'exécutif, obtenir la confiance et l'adhésion de tous". Tebboune a indiqué, par la même occasion, que "le gouvernement est conscient qu'un consensus autour des questions nationales majeuresfacilitera grandement la réalisation des objectifs tracés dans son Plan d'action pour la mise en oeuvre du programme du président de la République", soulignant l'importanced'atteindre "un consensus nationalpour gérer la crise économique en vue depréserver l'indépendance et la souveraineté nationale dans la prise de décision". Pourrappel, le Pacte national économique et social de croissance avait été signé lors des travaux de la Tripartite tenue en février 2014 à Alger. Ce pacte s'est donné pour objectifs l'accélération du processus desréformes économiques, le développement industriel, l'amélioration du climat desaffaires, le système de santé et de la protection sociale, l'accès au travail et l`amélioration du pouvoir d`achat, ainsi que la sécurité énergétique et l`adéquation du système de formation avec les besoins de l'entreprise. Il est basé sur la volonté duprésident de la République, Abdelaziz Bouteflika, de promouvoir la concertationafin d'atteindre l'épanouissementéconomique. Rappelons que les signatairesde ce pacte ont été le gouvernement, l'UGTA, la Confédération générale desentreprises algériennes (CGEA), le Forumdes chefs d'entreprise (FCE), l'Unionnationale des entrepreneurs publics (Unep),la Confédération nationale du patronat algérien (CNPA), la Confédération des industriels et des producteurs algériens (Cipa), la Confédération algérienne dupatronat (CAP), I'Union nationale desInvestisseurs (Uni), la Confédérationgénérale du patronat BTPH (CGP-BTPH) t l'Assemblée générale des entrepreneurs algériens (AGEA).