Les perspectives de la coopération dans le secteur de l'information et de la communication ont été au menu de l'entretien qui a eu hier à Alger entre le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, et l'ambassadeur d'Espagne en Algérie, Santiago Cabanas. Les perspectives de la coopération dans le secteur de l'information et de la communication ont été au menu de l'entretien qui a eu hier à Alger entre le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, et l'ambassadeur d'Espagne en Algérie, Santiago Cabanas. L'entretien a été l'occasion d'aborder "les relations bilatérales et de coopération entre les deux pays et d'envisager, à l'aune de leur excellence, des perspectives autrement plus engageantes en matière d'échanges multisectoriels, tout particulièrement dans le secteur de l'information et de la communication", indique un communiqué du ministère de la Communication. M. Kaouane a souligné, à ce titre, la présence d'un bureau permanant de l'APS à Madrid et émis le voeu de voir ouvrir un bureau de l'agence espagnole EFE à Alger, ce qui contribuerait, a-t-il relevé, à une "intensification constructive" de la circulation entre les deux pays. Une situationqueM. Cabanas a expliqué du faitd'"arbitrages strictement économiquesde la part d'EFE, mais qui pourrait êtrerevue à la faveur de l'amélioration globalede la situation économique et budgétaire". Il a rappelé, par ailleurs,l'existence de deux instituts Cervantès à Alger et Oran, qui "témoignent d'unegrande volonté d'échange et de coopération".Le dossier des interférencesradioélectriques entre l'Algérie etl'Espagne a suscité le même intérêt lors de cette audience, au cours de laquelle M. Kaouane "a insisté sur la nécessité de prendre en charge ce problème", précisantque les diffuseurs espagnols "doivent prendre les mesures nécessaires pour être en conformité avec laréglementation de l'Union internationaledes télécommunications(UIT)". Prenant acte de cette situation, l'ambassadeur d'Espagne "a expriméson adhésion à la nécessité de voir aboutir un tel dossier dans le respect dela règlementation internationale et aunom des liens forts d'amitié et decoopération qui unissent les deux pays", conclut le communiqué. L'entretien a été l'occasion d'aborder "les relations bilatérales et de coopération entre les deux pays et d'envisager, à l'aune de leur excellence, des perspectives autrement plus engageantes en matière d'échanges multisectoriels, tout particulièrement dans le secteur de l'information et de la communication", indique un communiqué du ministère de la Communication. M. Kaouane a souligné, à ce titre, la présence d'un bureau permanant de l'APS à Madrid et émis le voeu de voir ouvrir un bureau de l'agence espagnole EFE à Alger, ce qui contribuerait, a-t-il relevé, à une "intensification constructive" de la circulation entre les deux pays. Une situationqueM. Cabanas a expliqué du faitd'"arbitrages strictement économiquesde la part d'EFE, mais qui pourrait êtrerevue à la faveur de l'amélioration globalede la situation économique et budgétaire". Il a rappelé, par ailleurs,l'existence de deux instituts Cervantès à Alger et Oran, qui "témoignent d'unegrande volonté d'échange et de coopération".Le dossier des interférencesradioélectriques entre l'Algérie etl'Espagne a suscité le même intérêt lors de cette audience, au cours de laquelle M. Kaouane "a insisté sur la nécessité de prendre en charge ce problème", précisantque les diffuseurs espagnols "doivent prendre les mesures nécessaires pour être en conformité avec laréglementation de l'Union internationaledes télécommunications(UIT)". Prenant acte de cette situation, l'ambassadeur d'Espagne "a expriméson adhésion à la nécessité de voir aboutir un tel dossier dans le respect dela règlementation internationale et aunom des liens forts d'amitié et decoopération qui unissent les deux pays", conclut le communiqué.