Bonne nouvelle pour les universitaires. Le monde du travail s'ouvre enfin pour eux après une période de stagnation qui aura vu un important arrêt de tout octroi d'emploi. Bonne nouvelle pour les universitaires. Le monde du travail s'ouvre enfin pour eux après une période de stagnation qui aura vu un important arrêt de tout octroi d'emploi. Une attente qui n'a trop duré, même si les pouvoirs publics avaient mis en place une batterie de mesures "provisoires durables" destinées à limiter et atténuer les retombées d'une crise économique qui a frappé de plein fouet notre pays. Cette démarche a vraiment pénalisé sévèrement les diplômés en général dont les demandes d'emplois sont systématiquement rejetés. La seule solution qui s'offrait aux universitaires-chômeurs est de décrocher un contrat de pré-emploi auprès de la direction de l'emploi des jeunes, après une attente de plusieurs années. Le calvaire des universitaires- chômeurs semble avoir enfin une fin, puisque le recrutement direct au sein de la Fonction publique devrait reprendre dès le mois de septembre. En effet, les pouvoirs publics ont donné récemment le feu vert pour une réouverture de postes dans la majorité des secteurs relevant de la Fonction publique afin de résorber, un tant soit peu, l'énorme demande qui a découlé de ce gel des recrutements. Une initiative faisant partie d'un plan global qui vise à recruter près de 400.000 demandeurs d'emploi et l'intégration de 44.200 jeunes dans le cadre du Dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP) et près de 30.000 autres dans la formule de Contrat de travail aidé (CTA). L'autre objectif assigné à cette décision est de combler les postes vacants dans les différentes institutions et départements du secteur. Aussi, après évaluation du nombre de postes vacants dans la Fonction publique, la priorité du recrutement sera donnée aux diplômés universitaires qui travaillent dans le cadre du pré-emploi, cela après ouverture des concours nationaux sur titre. C'est donc dans cette perspective que la direction générale de la Fonction publique a adressé tout récemment une correspondance aux différentes directions, leur réclamant les états détaillés sur toutes les opérations de recrutement et de promotion. Ceux-ci doivent être accompagnés d'un rapport sur tous les postes vacants au titre de l'année 2018, dans le but de permettre au gouvernement de libérer un certain nombre de concours dans la Fonction publique, et partant, la titularisation de tous les contractuels. Aussi, cette décision du gouvernement permettra non seulement de combler les postes vacants, mais également de réactiver le dossier de l'emploi dans le secteur public, après deux ans de gel partiel rendu nécessaire par la situation économique du pays induite par la chute des prix du pétrole, et la saturation de l'administration publique en matière d'effectifs. Pour sa part, la direction générale du budget du ministère des Finances a adressé une correspondance à tous les départements ministériels à titre préparatif du lancement des concours de recrutement de l'année budgétaire 2018, portant toujours sur la possibilité d'exploitation de tous les postes de travail vacants dans le cadre de la Fonction publique. Une attente qui n'a trop duré, même si les pouvoirs publics avaient mis en place une batterie de mesures "provisoires durables" destinées à limiter et atténuer les retombées d'une crise économique qui a frappé de plein fouet notre pays. Cette démarche a vraiment pénalisé sévèrement les diplômés en général dont les demandes d'emplois sont systématiquement rejetés. La seule solution qui s'offrait aux universitaires-chômeurs est de décrocher un contrat de pré-emploi auprès de la direction de l'emploi des jeunes, après une attente de plusieurs années. Le calvaire des universitaires- chômeurs semble avoir enfin une fin, puisque le recrutement direct au sein de la Fonction publique devrait reprendre dès le mois de septembre. En effet, les pouvoirs publics ont donné récemment le feu vert pour une réouverture de postes dans la majorité des secteurs relevant de la Fonction publique afin de résorber, un tant soit peu, l'énorme demande qui a découlé de ce gel des recrutements. Une initiative faisant partie d'un plan global qui vise à recruter près de 400.000 demandeurs d'emploi et l'intégration de 44.200 jeunes dans le cadre du Dispositif d'aide à l'insertion professionnelle (DAIP) et près de 30.000 autres dans la formule de Contrat de travail aidé (CTA). L'autre objectif assigné à cette décision est de combler les postes vacants dans les différentes institutions et départements du secteur. Aussi, après évaluation du nombre de postes vacants dans la Fonction publique, la priorité du recrutement sera donnée aux diplômés universitaires qui travaillent dans le cadre du pré-emploi, cela après ouverture des concours nationaux sur titre. C'est donc dans cette perspective que la direction générale de la Fonction publique a adressé tout récemment une correspondance aux différentes directions, leur réclamant les états détaillés sur toutes les opérations de recrutement et de promotion. Ceux-ci doivent être accompagnés d'un rapport sur tous les postes vacants au titre de l'année 2018, dans le but de permettre au gouvernement de libérer un certain nombre de concours dans la Fonction publique, et partant, la titularisation de tous les contractuels. Aussi, cette décision du gouvernement permettra non seulement de combler les postes vacants, mais également de réactiver le dossier de l'emploi dans le secteur public, après deux ans de gel partiel rendu nécessaire par la situation économique du pays induite par la chute des prix du pétrole, et la saturation de l'administration publique en matière d'effectifs. Pour sa part, la direction générale du budget du ministère des Finances a adressé une correspondance à tous les départements ministériels à titre préparatif du lancement des concours de recrutement de l'année budgétaire 2018, portant toujours sur la possibilité d'exploitation de tous les postes de travail vacants dans le cadre de la Fonction publique.