Le président de l'Assembléepopulaire nationale (APN),Saïd Bouhedja, a dénoncé lundi à Alger "certaines voix, portant de faux jugementsqui tentent de semer le doute sur les institutions de l'Etat et sur sa crédibilité"... Le président de l'Assembléepopulaire nationale (APN),Saïd Bouhedja, a dénoncé lundi à Alger "certaines voix, portant de faux jugementsqui tentent de semer le doute sur les institutions de l'Etat et sur sa crédibilité"... Certaines voix "qui portent de faux jugements et qui dépassent l'éthique politique et tentent, par désespoir, de semer le doute sur les institutions de l'Etat et sa crédibilité ignorent sciemment et pour des raisons obscures la logique constitutionnelle car leur objectif apparent n'est rien d'autre que d'affaiblir les institutions constitutionnelles de l'Etat et de faire reculer le pays avec tous les risques que comporte cette aventure dans l'inconnu", a-t-il en effet déclaré lors de son discours à l'ouverture de la session parlementaire ordinaire. Estimant que révéler les aspects négatifs, de dénoncer les déviations et d'exprimer librement ses points de vue représentaient des phénomènes salutaires qui reflètent l'intérêt que portent les citoyens, la classe politique ainsi que les médias à l'égard des affaires publiques, il a cependant mis en garde contre "les tableaux noirs dressés par certains pour semer le désespoir". "La critique et l'évaluation sont complétement différentes des tableaux noirs dressés par certains et du désespoir qu'ils veulent semer en tentant de porter préjudice aux institutions de l'Etat et à ses symboles et de là, porter atteinte à sa légitimité", a-t-il prévenu. Il a soutenu que "la rentrée sociale et le retour à l'activité dans les différents secteurs se feront bel et bien dans le calme". "Tous les indices indiquent que le retour sera calme, réussi et bénéfique dans toutes les circonscriptions et les institutions publiques et privées, un retour marqué par l'activité, la vitalité et le sérieux", a-t-il rassuré. De ce fait, l'Algérie poursuivra, avec constance et sérénité, son processus de réformes et de développement "initié par le président de la République Abdelaziz Bouteflika qui incarne l'unité de la nation et veille à l'application de son programmeambitieux afin de concrétiser lesaspirations du peuple algérien en matièrede sécurité, de stabilité, de développementet de prospérité". Le président de la République "a étéplébiscité par le peuple algérien à l'issued'un suffrage transparent et démocratique,il est le garant de la constitution et de lasécurité et le fondement de la stabilité", atenu à rappeler M. Bouhedja. C'est lemême ton chez le président du Sénat. Al'ouverture de la session parlementaire,au Conseil de la Nation, son président Abdelkader Bensalah, a profité pour passerquelques messages politiques. Dans une réponse indirecte à certains acteurspolitiques qui revendiquent l'applicationde l'article 102 de la Constitution, portantdestitution du président de laRépublique pour raison de santé, il répond que "le président Bouteflikaassume quotidiennement ses prérogativesconstitutionnelles, contrairement auxrumeurs colportées". Pour le président du Conseil, les auteursde ces rumeurs "cherchent à salir l'imagede l'Algérie". Le président du sénat a en outre clairement signifié que "le président se porte bien, il exerce ses prorogativesconstitutionnelles normalement", Pourlui, le président tire sa légitimité des élections résidentielles de 2014. Certaines voix "qui portent de faux jugements et qui dépassent l'éthique politique et tentent, par désespoir, de semer le doute sur les institutions de l'Etat et sa crédibilité ignorent sciemment et pour des raisons obscures la logique constitutionnelle car leur objectif apparent n'est rien d'autre que d'affaiblir les institutions constitutionnelles de l'Etat et de faire reculer le pays avec tous les risques que comporte cette aventure dans l'inconnu", a-t-il en effet déclaré lors de son discours à l'ouverture de la session parlementaire ordinaire. Estimant que révéler les aspects négatifs, de dénoncer les déviations et d'exprimer librement ses points de vue représentaient des phénomènes salutaires qui reflètent l'intérêt que portent les citoyens, la classe politique ainsi que les médias à l'égard des affaires publiques, il a cependant mis en garde contre "les tableaux noirs dressés par certains pour semer le désespoir". "La critique et l'évaluation sont complétement différentes des tableaux noirs dressés par certains et du désespoir qu'ils veulent semer en tentant de porter préjudice aux institutions de l'Etat et à ses symboles et de là, porter atteinte à sa légitimité", a-t-il prévenu. Il a soutenu que "la rentrée sociale et le retour à l'activité dans les différents secteurs se feront bel et bien dans le calme". "Tous les indices indiquent que le retour sera calme, réussi et bénéfique dans toutes les circonscriptions et les institutions publiques et privées, un retour marqué par l'activité, la vitalité et le sérieux", a-t-il rassuré. De ce fait, l'Algérie poursuivra, avec constance et sérénité, son processus de réformes et de développement "initié par le président de la République Abdelaziz Bouteflika qui incarne l'unité de la nation et veille à l'application de son programmeambitieux afin de concrétiser lesaspirations du peuple algérien en matièrede sécurité, de stabilité, de développementet de prospérité". Le président de la République "a étéplébiscité par le peuple algérien à l'issued'un suffrage transparent et démocratique,il est le garant de la constitution et de lasécurité et le fondement de la stabilité", atenu à rappeler M. Bouhedja. C'est lemême ton chez le président du Sénat. Al'ouverture de la session parlementaire,au Conseil de la Nation, son président Abdelkader Bensalah, a profité pour passerquelques messages politiques. Dans une réponse indirecte à certains acteurspolitiques qui revendiquent l'applicationde l'article 102 de la Constitution, portantdestitution du président de laRépublique pour raison de santé, il répond que "le président Bouteflikaassume quotidiennement ses prérogativesconstitutionnelles, contrairement auxrumeurs colportées". Pour le président du Conseil, les auteursde ces rumeurs "cherchent à salir l'imagede l'Algérie". Le président du sénat a en outre clairement signifié que "le président se porte bien, il exerce ses prorogativesconstitutionnelles normalement", Pourlui, le président tire sa légitimité des élections résidentielles de 2014.